Rien qu’en constatant comment l’homosexualité est un prétexte publicitaire, un alibi pour imposer tout et n’importe quoi au niveau législatif et amoureux (euthanasie, libertinage, trafic d’enfants, prostitution, contraception, etc.), une fausse révolution, un pur produit du porno et de la société matérialisme consumériste, le cache-misère mondial de tous les égoïstes je-m’en-foutistes et des gouvernants hypocrites qui nous accueillent avec un grand sourire (pour nier les souffrances réelles des gens), toute personne homosexuelle finit forcément par se rendre compte à un moment ou l’autre qu’elle est le dindon de la farce, le couillon utile (et utilisé), l’alibi des marchands et des despotes les plus répugnants, le consommateur bassement flatté, et peut aisément comprendre la vacuité et la superficialité de sa propre tendance sexuelle.
Cyniquement, les plus anars et les plus lucides des personnes homosexuelles (c’est-à-dire quasiment toutes les personnes homos), s’inventent une originalité dans la marginalité et une posture d’outsiders anti-system bohèmes, pour sauver la face, noyer leur vexation d’être des moutons de panurge, et pour se prouver que l’amour homosexuel est quand même authentique et n’est pas un produit. Mais c’est faux. Fétichisme et Homosexualité ont toujours été, y compris au temps de Jésus, des faux frères liés par les pieds et les poings.