Quand je dis que l’homosexualité est un désir machiste peinturluré de rose (donc un désir homophobe, idolâtre, contre lui-même, et hyper violent), je pèse mes mots! Il est un élan d’identification à l’hyper-virilité du violeur tout-puissant asexué cinématographique (= l’androgyne Superman) ET de l’hyper-féminité de la victime violée cinématographique (= la femme fatale), qui cherche à fuir les limites de la sexuation femme/homme, les limites du Réel, sa condition humaine de créature, et l’existence de Dieu. Inconsciemment, le roi invisible de toute personne homosexuelle est un ange violeur féminisé jouant la victime. Qu’on le veuille ou non, le désir homosexuel est super machiste (ou, si vous préférez, misogyne, misandre, misanthrope). En somme, il nie la fragilité et les limites humaines, l’incarnation de l’Amour. Il veut être Amour sans corps, sans actes, sans identité humaine, sans différences. Il ne chante la différence que dans l’idée. Mais concrètement, il la rejette… en commençant par la différence des sexes.
Pour vous prouver le machisme de l’homosexualité, je vais prendre un exemple tout bête. Regardez, dans la population mondiale, quelle catégorie de populations peut vraiment désirer un groupe comme les Pussycat Dolls, soit dans le but de le posséder sexuellement, soit dans le but de s’y identifier sexuellement : les gros beaufs hétéros ET les personnes homosexuelles.
N.B. : Dans mon livre Homosexualité sociale (déc 2008, Éd. L’Harmattan), pour illustrer la phrase de René Girard dans Mensonge romantique et Vérité romanesque « La démocratie est une vaste cour bourgeoise dont les courtisans sont partout et le monarque nulle part », j’avais déjà parlé de « Ce monarque féminisé, confortablement installé derrière ses écrans de télévision, que nous ne voyons que de dos tant il/elle est lâche« , qui gouverne nos sociétés matérialistes-bisexuelles, et qui est un peu la « Reine anonyme » (1992) de Gonzalo Suárez.