Quand la parole d’un ami m’a blessé, même s’il a fait mal involontairement, je me dis que je suis mal placé pour être triste car c’est exactement ce que je fais (en pire) à Jésus quand je ne tiens pas promesse à mes prières et que je ne n’obéis pas à Ses commandements. Avant d’être triste pour moi, je devrais ressentir la tristesse du Christ à cause de moi. C’est le meilleur moyen pour me responsabiliser dans l’affliction qui me victimisait au départ, et surtout pour me rappeler la Miséricorde consolatrice de Dieu. Il souffre bien plus du mal que je Lui fais que de tout le mal que les humains pourront m’infliger.