Retrouvez la seconde partie sur ce lien.
En passant à côté du Musée Quai Branlette (le Papillon Antéchrist)
Plan de la visite (qui amène l’Humanité de la diversité au nihilisme)
Toutes ces questions sans la vraie origine, la vraie essence et le vrai but de l’existence humaine – à savoir Jésus – sont forcément des postures sans fond et sans réponse.
Le Verbe s’est fait chair, c’est sûr, mais pas avec des mots de la société virtuelle et sentimentale – « Imaginer », « Aimer » – sinon en Jésus
La confusion entre l’héritage/l’héritier (l’ADN ou l’Homme qui le porte) et celui qui les a donnés (Jésus).
Transformation et évolution : c’est NKM qui a écrit le texte ?
Les questions esthétisées, les questions-postures qui croient se valoir à elles-mêmes et se supplanter aux réponses
Fondamentalisme de l’évolution (évolutionnisme darwiniste), Monisme (nous serions un grand Tout cosmique) et Gnose maçonnique avec l’Homme qui se prend pour l’Arbre de la Connaissance
Le propre d’un héritage ou d’un cadeau, c’est de ne pas appartenir à celui à qui il est offert. Le receveur n’est pas le concepteur ni le Créateur
Certes. Mais ça ne veut pas dire que nous ne sommes pas créés, ni que nous ne sommes pas à l’image de Dieu
La Vierge Marie est là comme une croyance potentielle, comme une théorie ou une hypothèse cosmogonique parmi d’autres ou pour certains, mais pas du tout comme la mère du monde et de tous les Hommes. Elle semble mise à l’honneur dès le début de l’expo, alors qu’en réalité, elle est alignée sur le bouddhisme et d’autres systèmes mythiques expliqués de manière objective et encyclopédique.
C’est le carton de présentation placé sous la statue de la Vierge. Objectivation froide et distante. Zéro émerveillement, zéro Amour, zéro universalité. Alors que pourtant, l’Incarnation de Jésus en Marie mériterait une vraie ovation… et pas seulement l’exposition de la Vierge dans sa version dixneuvièmiste à l’eau de rose, ni même une mise en avant de Marie par rapport à Jésus : ça devrait être Jésus prems !
Message nataliste typiquement La Manif Pour Tous ou typiquement « mariage pour tous » et pro-GPA : car non, nous ne sommes pas tous appelés à être parents, géniteurs (exemples : les célibataires, les couples stériles, les veufs, les ados). Et non, tous les modèles « parentaux » ne se valent pas d’être « différents »
Homme davantage animalisé que divinisé
« Nous sommes le fruit du hasard et d’une évolution » : Voilà, je crois que le message est clair. Cette expo élimine toute idée de transcendance, de Providence, d’origine divine, pour nous imposer une conception productionniste, aléatoire, nihiliste et déterministe de l’Homme. Fondamentalisme de l’évolutionnisme darwinienne. L’humain ne serait une chaîne de réactions énergétiques sans cause.
Cryogénie ou Humain miniaturisé : c’est la signature de la Franc-Maçonnerie
Animisme, Monisme, Noachisme et théisme agnostique : selon les Francs-Maçons humanistes, l’Homme est transformé Nature et en Dieu (sans le Christ).
Exposition prise en flagrant délit de bovarysme, c’est-à-dire de désincarnation de l’Homme et d’idolâtrie littéraire.
Constructivisme à tous les étages et relativisme culturel : il n’y aura pas d’essence humano-divine en l’Homme. Ce dernier ne serait que la résultante de constructions culturelles subjectives et polymorphes indéfinissables… Y compris la différence des sexes n’existerait pas. Le Gender s’invite carrément au Musée de l’Homme… et le pire, c’est qu’il se présente comme « scientifique » !
L’idéologie du Genre remplace la réalité du sexe anatomique par le mot « genre », pour défendre tacitement l’idée préconçue que l’homme aurait de tout temps dominé et maltraité la femme, bref une vision conflictuelle de la différence des sexes
Même la différence des générations et la différence des espaces sont, à l’instar de la différence des sexes, relativisées/gommées dans l’exposition.
Ben oui, les femmes sont des victimes, c’est bien connu…
Selon ces idéologues, il n’y aurait pas de différences et donc inégalités biologiques (car ils moralisent les différences – et notamment la différence des sexes – en jugement de valeurs et de personnes qu’elles ne sont pas)
Avec eux, on tombe dans le subjectivisme/constructionnisme le plus complet.
Le plus marquant, c’est que les idéologues du Gender ont tendance à opposer le biologique et le culturel, comme si ces deux domaines n’étaient pas harmonieusement complémentaires en l’être humain.
Au nom de la critique (parfois justifiée) du déterminisme essentialiste/substancialiste, les promoteurs du Gender basculent dans le « tout culturel » et le « tout relatif »…
On se croirait dans un cours « anti-clichés sexistes » de Najat Vallaud-Belkacem (comme si on nous avait raconté depuis notre plus tendre enfance que « les garçons ça ne pleure pas » : Personnellement, jamais entendu ça de ma vie… mais bon…)
Tout pour nous faire croire que nous aurions grandi dans un mimétisme aliénant dans lequel notre pensée et notre personne seraient prisonniers et dont il faudrait s’affranchir pour être libres.
Changer le mot pour changer la réalité qu’il recouvre : c’est exactement la tentation du nominalisme (XIIIe siècle)
Le paradoxe de ce Musée qui prétend revenir aux origines de l’Homme, c’est qu’elle Le virtualise et le transforme en hologramme…
Même le Verbe de Dieu incarné par Jean-Baptiste criant dans le désert est animalisé, bonoboïsé et déchristianisé…
Glory-hole (Comme c’est poétique)
Je suis un autre… La schizophrénie altermondialiste encouragée par Le Musée de l’Homme
La langue universelle et l’Homme polyglotte : grands dadas de la civilisation babélienne
L’Humanité-mosaïque-multiculturelle est un fantasme schizoïde du boboïsme
L’être humain est mis sous verre.
On prétend nous dire d’où vient l’Homme, mais au lieu de ça, on nous parle du comment il a évolué. Le processus au lieu (et en place) de son origine : Dieu.
Pour eux, l’arrivée de l’Homme n’est absolument pas marquée d’une pierre blanche : elle est un accident, une étape comme une autre dans l’évolution du vivant.
Encore l’Arche…
Toujours l’Arche !
Au lieu de redonner à Dieu la première place, c’est le continent lointain (et donc le super-primitivisme) qui l’emporte.
Le boboïsme met tout au pluriel pour ne rien considérer.
La virtualisation de l’anthropologie : quel paradoxe
L’Homme croit pouvoir revenir à son origine par la technologie…
Tableau exposé au Musée et montrant un Mammouth effrayant les humains-chasseurs. (cf. Code 23 – « La Nature me domine et prouve ma méchanceté d’être humain. » dans Les Bobos en Vérité)
Au lieu de parler de la Préhistoire et de son sens, on nous montre comment elle est vue et traitée artistiquement, ses copies, déformations et instrumentalisations.
Au lieu de nous donner une direction, on nous sert à nouveau une évolution, un processus, une chaîne de transformation… Ils ne répondent pas à la question.
Sans transition, et sans même avoir défini d’où venait l’Homme et vers quoi il va, ils le jettent dans le tourbillon accéléré du progrès, de la modernité, de la globalisation.
Là encore, on nous décrit un symptôme grossissant pour ne pas parler de la cause ou des faits qu’il illustre.
Camionnette-bus avec écrit en gros « Société musulmane ». Non, vous ne rêvez pas.
Vue de profil
Portière arrière. Made in Gouvernement Mondial
Après nous avoir convaincu de l’entrée de l’Homme dans un processus (dont les tenants et aboutissants ne sont jamais définis), les idéologues évolutionnistes s’amusent maintenant à décrire ce dernier comme dangereux et à prévenir que ses limites sont indiscernables.
Comme pour l’expo du Zizi sexuel, la réflexion est remplacée par l’expérience ludique et anecdotique, folklorique.
Les Maghrébins : les dindons de la farce
Ce Musée est un hymne à l’hétérosexualité (= absolutisation des différences… au détriment de la différence des sexes et de la différence Créateur-créatures)
Non seulement on nous fait peur mais ensuite, on nous dicte les solutions à mettre impérativement en place pour freiner le processus de développement humain qu’on nous a imposés…
Ce n’est pas l’Homme qui serait limité, mais ses ressources…
Curieusement, l’éloignement de Jésus et la vision scientiste et progressiste de l’Humanité conduisent au désenchantement et au mépris du Monde et de l’Homme. Après avoir joué aux scientifiques, les idéologues progressistes se servent de leurs excès pour mépriser l’Homme. Car au fond, leur humanisme est homicide.
Illustration de la Tour de Babel post-moderne.
Humour bobo avec le « ou pas », et les symboles solaires maçonniques.
Tyrannie de l’évolution, du changement, du progrès, de la transformation (sans finalité autre que le perfectionnement de l’Homme par lui-même).
Homme augmenté (transhumanisme)
Pour finir, biométrie (mécanique du corps humain robotisé)
Cyborg
Vers une hybridation de l’Homme avec la machine
Question démagogique posée à la fin : on s’évade vers l’imaginaire participatif…
Voir mon code bobo n°15 « Mosaïque multiculturelle » dans Les Bobos en Vérité… ou comment devenir des milliards de héros anonymes connectés les uns aux autres mais isolés les uns des autres…
Culte de l’altérité (parité, mixité, hétérosexualité, diversité…), et de l’Autre (= Satan)
Jargon messianique franc-maçon (« Sentinelles », « construction », « mains », etc.) où la Nature (= les racines) est en réalité la Technologie (= la connexion des fils électriques). Effrayant. La puce manuelle est là.
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Les Libertaires ont un « message » à vous délivrer : Votre liberté n’a de limite que celles que vous vous imposez