J’ai une nouvelle preuve que le Seigneur Jésus me parle à travers ses (imbéciles de) prêtres catholiques ! Le petit miracle s’est produit pas plus tard qu’hier. Le matin même, en regardant mon calendrier sur mon téléphone, j’ai vu que c’était le 8 juin. La date me rappelait vaguement quelque chose, mais je ne la remettais pas, et suis passé à autre chose. Plus tard, je me suis rendu à la confession à l’église saint Sulpice à Paris. Je suis tombé sur un prêtre sexagénaire qui a démarré en me parlant de mon baptême, de mon identité de baptisé. Chose rare car je n’avais jamais entendu parler du baptême dans un confessionnal. Et il en remettait une couche : il a dû répéter le mot « baptême » au moins 7 fois, et même en conclusion de sa prise de parole. Je l’ai écouté en silence, religieusement. Au départ, je me suis demandé : « Mais pourquoi il me parle de mon baptême tout le temps ? C’est bizarre… » Et tout d’un coup, la date du jour m’est revenue : le 8 juin, c’est le jour où j’ai été baptisé. C’est le jour de mon baptême que j’avais oublié et qui était rappelé à mon bon souvenir par ce prêtre qui ne me connaissait pas et qui, à la fin, m’a demandé gentiment mon prénom juste avant de me donner l’absolution. Quand j’ai compris que c’était Jésus qui me parlait à travers ce prêtre (Avec Lui, j’ai laissé depuis longtemps tomber la thèse de la caméra cachée…), je me suis mis à pleurer à chaudes larmes. Le prêtre, en face, continuait son laïus, persuadé que je pleurais de tristesse ou à cause de mon sentiment de culpabilité, sans soupçonner une seule seconde qu’il tombait juste avec ses paroles « accidentelles » et ignorantes. Alors chers amis prêtres, que vous en soyez conscients ou pas, je vous avertis juste que vous êtes les porte-paroles et les messagers fidèles du Christ. Même si vous ne vous en rendez pas compte, que vous ne le faites pas exprès, et que vous n’agissez pas toujours comme Il le voudrait. Vous n’avez aucun mérite, si ce n’est celui de vous en rendre compte.