Certains ont peur de moi et de mes écrits sur l’homosexualité… un peu comme ce passant paranoïaque qui culpabiliserait rien qu’à la vue d’une voiture de police alors qu’il n’aurait rien fait… ou comme le passager d’un transport en commun qui saurait pertinemment qu’il est en règle mais qui se sentirait tout de même fautif rien que de voir s’approcher les contrôleurs. Et finalement, sont-ils si justes en actes que cela pour interpréter l’examen de conscience en sentence, en condamnation ? Nul ne se sent coupable si sa conscience ne le condamne pas quelque part pour une autre action mauvaise que celle que la situation semble logiquement appeler.