Moi, quand j’allais au Forum des métiers organisé par mon collège ou mon lycée, j’en ressortais toujours bredouille ou déprimé parce que je ne voyais pas de métier qui corresponde vraiment à ce que mon coeur voulait. Pourtant, je devinais mes talents et savais que cette indécision professionnelle était positive, que mon insatisfaction n’était pas du caprice ou de la paresse.
Et puis, le jour où j’ai entendu de la bouche de saint Paul et de la Bible que « mendiant », « priant », « prophète » ou « apôtre » étaient des métiers, j’ai arrêté de complexer. Sans être un poids pour les autres, il est important de savoir qu’il existe des métiers qui sont des vrais travaux pas rémunérés par « le monde ». Merci Jésus d’avoir pensé aux tordus psycho-rigides comme moi.