Comme je l’ai dit dans mon documentaire « Les Folles de Dieu » et dans mes écrits, « Dès qu’il y a de l’or, l’homosexualité n’est pas loin ! ». Eh bien ça s’est vérifié encore ce soir dans le téléfilm « Vivre sans eux » de Jacques Maillot diffusé sur France 2. Le couple homo Gabriel/Aurélien possède une « voiture d’or » (c’est ainsi que Gabriel la surnommait), et l’intrigue se centre sur celle-ci. C’est dingue. Je ne fais pas exprès de voir. Mais je vois !
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Les jeux auribles de Facebook
Très signifiant, ces nouveaux jeux vidéos d’applis Facebook, où l’on voit des guerriers coulés dans le béton et la lave pour devenir auriques. La Bête de l’Apocalypse est en réalité le processus alchimique visant à transformer l’être humain en or, et plus spirituellement, en héros. L’héroïsme est tout simplement le titre brillant d’une réalité beaucoup plus monstrueuse : le lucre, la cupidité, le carriérisme. Si on nous traite de héros, c’est pour mieux nous fétichiser, nous aurifier/horrifier.
Or : la Loi
Je viens de trouver ce jeu de mots extrêmement signifiant. Il l’est à plusieurs titres : parce que le Gouvernement Mondial veut nous couvrir d’or pour tuer l’Homme en lui donnant l’illusion de l’enrichir et de le déifier ; et d’autre part, parce que l’or donne au carriériste qui s’y soumet l’impression de rebellitude, d’être hors-la-loi. L’or est donc bien la LOI mondiale qui se renie elle-même, se désolidarise d’elle-même ou semble s’opposer à elle-même. AlORs un conseil : ne soyez pas Or la Loi.
Podcast audio sur l’anti-catholicisme dans les dessins animés des années 1980 en France
Voici un podcast de décryptage des dessins animés des années 1980 diffusés sur les chaînes de télé françaises (Youpi l’école est finie ! sur La Cinq, Récré à deux sur Antenne 2, Amuse trois sur FR3, Le Club Dorothée sur TF1, etc.), avec l’angle insolite du catholicisme : « L’anti-catholicisme dans les dessins animés des années 80 ».
Philippe Ariño vous démontre que cela fait au moins 40 ans que les dessins animés jeunesse nous poussent à mépriser Jésus et la religion catholique, au profit de la religion énergétique.
Ce podcast se découpe en 3 parties :
1 – Les dessins animés clairement anti-catholiques
2 – Les dessins animés de la Nouvelle Religion mondiale, fondés sur l’Énergie et l’Or
3 – Les rares dessins animés « cathos-friendly » voire carrément cathos.
Vous pouvez retrouver d’autres podcasts de décryptages de Philippe, sur Youtube, comme par exemple celui sur les goûts musicaux homosexuels, celui sur la série Manifest, celui sur la série Sex Education ou encore celui du discours alchimique du Cardinal Sarah.
L’épigraphe maçonnique et alchimique du Cardinal Sarah
Un ami, qui a acheté le dernier livre du Cardinal Sarah, m’envoie à l’instant en capture d’écran la 1ère page, sans me dire l’auteur, et pour que je le devine. Et je vous promets que je n’en savais rien, et que dans mon décryptage de la conférence du prélat (que j’ai posté il y a 10 jours, qui parle de l’obsession du Cardinal pour l’or, et qui décrit son discours alchimique), je ne connaissais pas cette épigraphe dans laquelle il parle de l’or et de Franc-Maçonnerie. CQFD.
Pourquoi le Cardinal Sarah dit de la merde ? (et surtout, pourquoi la plupart des catholiques l’avalent ?)
Mon décryptage de la conférence du 26 mai 2019 du Cardinal Sarah à l’église Saint-Urbain à la Garenne-Colombes :
Anne Hidalgo vient en loge maçonnique
Encore une fois, Nuit des Musées très instructive à Paris. Je suis allé au Musée de la Minéralogie tout d’abord, où j’ai à nouveau appris plein de choses sur l’or et l’alchimie.
Puis j’ai fini avec une nouvelle visite en Franc-Maçonnerie, au Grand Orient de France. Durant la visite, au moment des questions en grand groupe, j’ai créé un désagréable effet de surprise quand j’ai posé la question gênante et tapé dans le mille : « Est-ce que vous avez déjà pratiqué des égrégores ? ». Pris de court, le guide a essayé de sauver la face devant le groupe : « Comment vous connaissez ça, vous ? ». Les égrégores, pour ceux qui ne connaissent pas, sont les séances de spiritisme qui n’en portent pas le nom et qui créent des décharges électriques lucifériennes. Il m’a résumé l’égrégore ainsi : « L’intelligence collective est supérieure à la somme des quotients intellectuels des initiés rassemblés. » Merci la Franc-Maçonnerie ! ^^
Pour finir, je vous envoie un tract que j’ai réussi à prendre dans le hall, annonçant la venue de la Maire de Paris Anne Hidalgo à une tenue blanche privée maçonnique. Mais là encore, comme diraient les catholiques de mauvaise foi qui continuent de nier mes constats et de voir que la Franc-Maçonnerie est au pouvoir qu’ils lui ont cédé, je dois certainement faire preuve d’un « symbolisme paranoïaque » (pour reprendre l’expression de Xavier Guillaume)…
La Franc-Maçonnerie expliquée à la crêpière
Ce midi, j’explique en 5 minutes ce qu’est la Franc-Maçonnerie et l’idolâtrie mondiale actuelle pour alchimie à Virginie mon amie la vendeuse de crêpes en bas de chez moi, car elle voulait savoir. J’ai pris trois exemples qui lui ont parlé : la série de TF1 Manifest (avec les colliers d’or incas, les bijouteries…), la choré de Bilal Hassani ce soir à l’Eurovision (avec son masque d’or), et Joséphine ange gardien (J’ai oublié de lui parler des « Crevettes pailletées » ou de la pub Hermès de Céline Dion). Elle était folle de joie de comprendre et d’avoir les clés. Elle m’a dit « En fait, on n’est pas éveillés !!! ».
L’alchimie et les nombreuses références auriques francs-maçonnes dans le film « Les Crevettes pailletées »… même si personne ne les aura vues et ne les dénoncera
(La lecture de ce billet est à compléter avec mon article sur les « Goûts musicaux homosexuels » ; et vous pouvez retrouver tous les codes homos aperçus dans le film « Les Crevettes pailletées » dans mon Dictionnaire des Codes homosexuels, en particulier le code sur l’attraction des personnes homos pour l’or.)
Le film « Les Crevettes pailletées » (2019) de Cédric le Gallo et Maxime Govare vient de sortir dans les salles de cinéma françaises. Et il est annoncé comme LE film homo et gay friendly de l’année, teintant les prochaines Gay Pride d’un parfum de délire, de bonne humeur mais aussi de militantisme-bidon intitulé « lutte contre l’homophobie dans le sport » (une priorité nationale… oui, tout à fait…).
Je ne me prononcerai pas sur les intentions du film ni sur sa qualité. D’autres journalistes, qui ne savent pas ouvrir leurs yeux ni penser avec leur tête, s’en chargeront à ma place. Personnellement, il n’y a que le factuel qui m’intéresse, et le contenu concret du film. Pas ce que les gens veulent en faire pour applaudir – ou descendre plus bas que terre – les personnes homosexuelles (en l’occurrence nous) et la production « artistique » qui parlent d’elles.
Et « Les Crevettes pailletées », comme tout film ou émission de télé de propagande franc-maçonne qui se sert de la communauté homosexuelle comme poule aux œufs d’or (sans jamais régler nos réels problèmes et nous considérer) pour construire des carrières et pour briller de mille feux électriques et pailletés, se base sur l’alchimie. L’alchimie, c’est concrètement la (prétention de) transformation du plomb en or (alchimie opérative) ; mais c’est aussi, de manière plus symbolique (alchimie mystique, spéculative), la prétention chez l’Homme, aidé par le diable luciférien et ses entités énergétiques, de se transformer lui-même en (veau d’)or, de convertir son cœur de chair en cœur de pierre dorée (la quête de la Pierre philosophale défendue par les francs-maçons), de se créer soi-même et de créer l’Humanité, la Divinité et l’Amour par sa propre volonté, ses propres moyens et actions, par ses bonnes intentions et sensations.
Et le film de Le Gallo et Govare est truffé de références à l’alchimie… même si la brillance éclatante de ce business aurique, électrique et solaire (car le Gouvernement Mondial de l’Antéchrist entend ni plus ni moins remplacer Dieu « Jésus » par le dieu « Électricité » et le dieu « Soleil » – donc un héliocentrisme – comme je le démontrerai abondamment dans mon prochain livre sur la série populaire Joséphine ange gardien) se fait passer pour une pluie magique de confettis scintillants, pour un touchant hommage au kitsch et à la pétillance d’une communauté LGBT colorée, chaleureuse et persécutée.
Exemples d’alchimiques tirés du film :
1 – Le titre et l’affiche du film font clairement référence à l’or.
2 – Mathias Le Goff porte un tatouage d’une couronne dorée.
3 – La piscine est l’espace alchimique, narcissique, par excellence, la bulle hermétique dans laquelle les personnages sont plongés pour être dissouts et transformés en or, pour être soi-disant purifiés de leur impureté « homophobe ». L’un d’un personnage homo, Joël, conseille même symboliquement à Mathias Le Goff d’être immergé dans le bassin rainbow (« C’est une autre piscine. Différente. »), bien plus efficace que la piscine olympique chlorée hétérosexuelle et macho : « Monsieur Propre a la bouche sale… »
4 – Le cri de guerre de l’équipe LGBT (« On va vous décortiquer ! On est les crevettes pailletées ! ») est plutôt un slogan de bouchers ou de savants fous biologistes disséquant froidement leurs cobayes sur une table d’opération qu’un slogan de sportifs…
5 – Les personnages homosexuels sont décrits comme dorés. Par exemple, Elsa, la femme de Mathias (et « fille à pédés » par excellence), sermonne son mari en mettant la communauté homo sur un piédestal d’or : « Des amis gays, j’en ai plein. Ce sont des gens brillants et extrêmement raffinés. »
6 – Certains héros sont transformés en objets. Par exemple, Fred, le transsexuel, est appelé « Frigo » par Alex. Les déménageuses (l’équipe lesbienne) a pour cri de guerre « On va vous déménager ! ».
7 – Plusieurs des personnages homosexuels portent un soleil sur leur tee-shirt : Jean, Xavier, etc. Et Fred, le trans, est toujours habillé avec des costumes à paillettes, particulièrement lors de l’enterrement final où il est carrément couvert d’or ; et il chausse des bottes d’or remontant très haut.
8 – Pour sauver sa réputation et sa « carrière » (… de pierre) de sportif de haut niveau (« Ma carrière est finie… »), Mathias Le Goff entraîne une équipe de nageurs gays et/ou trans.
9 – Dans la chorégraphie mise en place par Fred (le trans) pour son équipe, il y a un mouvement qui renvoie à la fameuse étape alchimique de la « poudre de projection » : « Et là, POUSSIÈRE D’ÉTOILE ! » commande-t-il à ses danseurs en maillot de bain.
10 – Il est question de la Bête technologique : les bonnets de bain des joueurs des « Crevettes pailletées » (représentant des casques), les surnoms que s’échangent certains personnages (« Tu viens ma puce ? » dit Mathias à sa fille Victoire), etc.
11 – Jean, l’un des nageurs gays, prend des cachetons contre son cancer.
12 – Le noachisme (idéologie déiste et antéchristique d’un retour de l’Humanité à la première alliance avec Dieu sans en passer par Jésus) est très présent dans le film : Joël à un moment donné fait mention de l’Arche de Noé ; et l’un des deux jumeaux de Cédric se prénomme Noé.
13 – Fred (le trans) confectionne des combis de natation ainsi que des porte-clés dorés.
14 – La fusion et l’énergie (solaire, électrique, sportive) sont suggérées dans le film comme des processus chimiques et relationnels dont on attend les alliages et les effets inattendus : « Un groupe de pédés, confinés dans un bus, dans la chaleur de l’été… c’est sûr il va se passer des trucs ! » (Vincent). Le voyage (ou road trop) est envisagé comme un rite initiatique et gnostique de transformation : « C’est dingue comme ce voyage nous apprend sur nous-mêmes. » (Cédric). On retrouve la fusion en bouche d’Alex à la fin du film : « Mes amis : Show-Time ! »
15 – Xavier se fait teindre les cheveux en blond et tatouer l’anus ; Cédric porte à un moment donné une perruque blonde.
16 – Fred (le trans) loue sur le chemin vers la Croatie une auberge autrichienne qu’il présente comme une « perle architecturale ».
17 – Il y a des animaux empaillés dans le restaurant autrichien dans lequel l’équipe fait une halte. Et dans l’hôtel, Jean s’est endormi avec une tête de cerf serrée contre lui.
18 – Dans son play-back sur la chanson « Sous le vent » de Garou et Céline Dion, Jean, l’un des héros homos, chante qu’il a « trouvé son étoile » ; et Vincent, travesti en Céline Dion, porte une robe pailletée.
19 – Pendant son rappel des règles de base du water-polo, Mathias emploie le jargon de l’alchimie, comme un chef de chantiers face à ses ouvriers. « C’est quoi la base du water-polo ? » demande-t-il à Alex. Ensuite, il interpelle Vincent agressivement (« Vincent, quand on est à l’attaque et que le demi fait une traversée, les coéquipiers font quoi ? ») ; ce dernier se risque à une réponse interrogative (« Ils collent leurs défenseurs… ? ») et se fait immédiatement casser par Mathias (« Non !! Ils se décalent tous d’un poste pour déstabiliser le bloc ! »). Enfin, l’entraîneur s’en prend à Fred (« Fred, c’est quoi la meilleure façon de faire un pressing ? »), et n’apprécie pas son humour et son amateurisme (« Euh… le nettoyage à sec ?) puisqu’il le gratifie d’un violent jet de ballon. Tout cela pour dire que tous les conseils de l’entraînement sont alchimiques et hermétiques : « Ce qui est compliqué pour vous, c’est de vous concentrer. Il vous fait la concentration d’un joueur d’échecs ! » Il est également question de « diagos », de « lasso », donc du champ lexical lumino-textile, caractéristique de la Franc-Maçonnerie.
20 – Les produits chimiques dans le film sont en lien avec la sexualité : l’équipe de joueurs de water-polo s’arrête dans une station d’essence où Vincent manque de se faire violer. Et plus tard, Joël sortira avec un homme étranger en lui parlant d’essence.
21 – Fred (le trans) est spécialisé dans les produits cosmétiques : « Les filles comme moi ont appris très tôt à masquer un cocard. » confesse-t-il en maquillant Cédric.
22 – On aperçoit beaucoup le soleil, qui est même filmé en gros plan et désigné comme l’origine de l’action.
23 – Dans le bus, l’équipe des Crevettes pailletées fait brûler des fumigènes colorés roses et bleus.
24 – Pendant le trajet en autocar, les personnages traversent des tunnels éclairés par des néons jaunes et orangés.
25 – Le présentateur des Gay Games est un homme travesti qui a peint sa barbe en or et qui s’habille avec des robes pailletées de diva vénéneuse.
26 – La discothèque-piscine où se rendent les protagonistes ressemble à un véritable laboratoire alchimique. Tous portent sur le visage des paillettes dorées. Il y a des salles où la glace et le feu se confrontent, parfois avec des bougies, comme dans un sauna libertin transformé en temple. On voit aussi des bulles sphériques en plastique flottant sur l’eau de la piscine. Autour des piscines, entre personnes homos, ça discute carrière, or et commerce de fluides électriques/spermiques. Par exemple, Vincent prend du poppers. Joël, quant à lui, avoue que sa transphobie remonte à un vieux conflit qu’il a eu avec une personne transsexuelle d’une association pour laquelle ils se disputaient le poste de trésorier. Tout de suite après cet aveu, par l’entremise de Fred qui le fait passer pour un magnat de la finance, il se fait brancher (c’est le cas de le dire !) par un charmant athlète étranger, avec qui il négocie un plan cul sur fond de contrat pétrolier : « On est pareils, lui sussure le Slave, on mise sur le pétrole, sur le gaz. Je veux te sucer. ». Joël et son bel étalon finissent de signer leur contrat alchimique dans une chambre d’hôtel, en s’insultant de « sale capitaliste ».
27 – La Nouvelle Religion mondiale héliocentrique (solaire) et aurique s’appuie en général sur deux civilisations antiques en particulier (et c’est très marqué dans Joséphine ange gardien) : l’Égypte antique et l’Empire inca. Eh bien « Les Crevettes pailletées » n’échappe pas à la règle puisque pendant la scène de la beuverie en boîte homo, on aperçoit des personnages déguisés en dieux ou en notables incas. Et dans le générique final du film nous sont montrées des photos de l’équipe historique de la véritable équipe des Crevettes pailletées dans lesquelles ils sont tous costumés en Égyptiens antiques. CQFD… On les voit aussi avec un ballon de water-polo jaune.
28 – Toujours dans les scènes de bacchanales homosexuelles, l’expérience de l’immersion dans la piscine par Vincent est électrique : il est tellement shooté au poppers qu’il finit sous l’eau en train d’apercevoir des sirènes, puis ses hallucinations s’achèvent par un flash.
29 – Mathias, le personnage central du film, malgré ce qu’il prétend pour salir sa prétention, et malgré la place qui est laissée par les autres personnages à la bonne intention (« Moi, je préfère perdre avec ceux que j’aime plutôt que de gagner tout seul. » affirme son joueur vedette Jean), est jusqu’à la fin (tout comme les réalisateurs) dans une optique carriériste. Il déclare quasiment à l’issue du film que « Gagner, c’est sa vie. ». De plus, sa fille adolescente s’appelle Victoire. Et au bout du compte, l’équipe des Crevettes pailletées finit, sinon par remporter les Gays Games, du moins par remporter soi-disant le cœur des téléspectateurs mais également les prix et les trophées des festivals cinématographiques.
30 – Lors des derniers matchs des Gay Games, Fred (le trans) fournit des énergisants à ses camarades nageurs en les biberonnant avec une boisson jaune.
31 – Les personnages sont animalisés. Par exemple, ils s’auto-surnomment « les crevettes pailletées ». Et à la fin du film, les nageurs croates sont comparés à « des bestiaux ».
32 – La traduction anglaise qui a été choisie pour représenter l’équipe des Crevettes pailletées aux Gays Games est non pas affiliée à l’or mais au soleil, preuve que ce film est au service de la Nouvelle Religion mondiale héliocentrique : nos chères crevettes sont appelées les « Shiny Schrimps » (ce sera d’ailleurs le titre anglais du film). No comment.
33 – Dans la scène finale de l’enterrement de Jean, le prêtre gay friendly porte en ceinture un cordon doré (… accessoire tout simplement inexistant chez les prêtres catholiques dans la vie réelle).
34 – Au moment de cette cérémonie (je n’ose même pas dire messe) mortuaire païenne grotesque, Fred (le trans) est la grande prêtresse. Il est habillé d’une combinaison « or » et porte un collier ressemblant à une parure égyptienne antique.
35 – Comme je le disais un peu plus haut, dans le générique final du film, on nous montre quelques clichés de l’équipe historique des Crevettes pailletées. Il y a effectivement la photo où tous les membres sont déguisés en Égyptiens parés d’or. Mais on les voit aussi poser dans les bassins avec des mannequins en plastique jaune. Et – comble du fétichisme électrico-alchimico-aurique –, la chanson qui clôture le film est celle d’Eddy de Pretto (le chanteur homo bobo qui a la cote en ce moment), « Tu seras viril », où il est question d’« étincelle » et d’un commandement de brillance qui est à la fois décrié et suivi à la lettre (« Tu brilleras par ta posture physique. »).
Voilà voilà. Alors en résumé, au-delà des intentions ou des avis sur le film, je tenais personnellement à en rester au film en lui-même et à vous dire ce que j’avais vu. Les gens gays friendly se font du fric et de l’or sur notre dos, à nous personnes homosexuelles, avec malheureusement, la complicité d’un grand nombre d’entre nous. Et c’est non seulement scandaleux mais homophobe. Une des rares à avoir identifié cette homophobie gay friendly (même si ce n’est pas avec les bons arguments), c’est la youtubeuse Ronde Queer. Merci à elle.
Or et homosexualité : la recette arrive avec « Les Crevettes empaillées »
Oh… je sens que je vais aller voir ce film qui sort à la fin du mois ! « Les Crevettes pailletées ». Avec tous les indices qu’il semble y avoir entre alchimie (or) et homosexualité (et en plus, on y retrouve le comédien noir David Baiot, qui joue Stan dans l’épisode 81 de Joséphine ange gardien, et qui incarne régulièrement des rôles de gays à l’écran : dans le film « Jonas » (2018) de Christophe Charrier ou encore dans la série Ainsi soient-ils sur ARTE), je ne devrais pas m’ennuyer. L’Humanité veut se couvrir d’or au nom de l’homosexualité ? : je ne vais pas me taire ni rejoindre la confrérie invisible des orpailleurs.