Couple criminel
NOTICE EXPLICATIVE :
Associés amoureusement pour le crime
Certains ne voudraient voir dans le couple homo qu’amour, petits cœurs, convivialité, et normalité. C’est mal connaître les couples homosexuels fictionnels, davantage réunis pour le sexe pur et dur et dans le crime (… et le camouflage de ce crime) que pour une noble cause. Les duos homosexuels braqueurs de banque, organisateurs de hold-up, malfrats recherchés par la police tels des nouveaux Bonnie & Clyde, meurtriers machiavéliques complotant contre ceux qui empêcheraient leur amour, tueurs de bébés et de personnes âgées, sont légion dans les œuvres homosexuelles, et disent quelque chose de la force de la médisance et de destruction que certains couples homos réels déploient envers eux-mêmes et leur société.
En effet, les unions homosexuelles ne se contentent pas de se faire du mal en interne. Le rejet de la différence des sexes en leur sein a forcément des implications concrètes dans leur rapport aux autres, aux enfants, aux femmes et aux hommes. La différence des sexes concerne et permet toute vie sociale humaine. Le rejet, en amour, de la différence des sexes, aussi. Et comme le rejet de la différence des sexes équivaut au rejet de toute vie humaine, le couple homo en tant que pratique aboutit systématiquement, à plus ou moins long terme, à des violences que le fait de les faire à deux et amoureusement atténuera dans l’esprit des amants homosexuels.
N.B. : Je vous renvoie aux codes « Voleurs », « Amant diabolique », « Doubles schizophréniques », « Homosexualité noire et glorieuse », « Mort = Épouse », « Liaisons dangereuses », « Reine », « Solitude », « Adeptes des pratiques SM », « Témoin silencieux d’un crime », « Défense du tyran », « Homosexuel homophobe », « Homosexuels psychorigides », « Super-héros », « Violeur homosexuel », « Symboles phalliques », « Parricide la bonne soupe », « Tout », « Voyage », et à la partie « Cowboy » du code « Don Juan », dans le Dictionnaire des Codes homosexuels.
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FICTION
Le couple homosexuel fictionnel s’unit très souvent dans le crime : cf. le film « Ossessione » (« Les Amants diaboliques », 1942) de Luchino Visconti, le film « PuPu No Monogatari » (1998) de Kensaku Watanabe, les films « La Corde » (1948) et « L’Inconnu du Nord-Express » (1951) d’Alfred Hitchcock, le film « Guns 1748 » (1999) de Jake Scott, le film « Switchblade Sisters » (1975) de Jack Hill, le film « Frisk » (1995) de Todd Verow, le film « Jeff » (1968) de Jean Herman, le film « Reptile » (1970) de Joseph Mankiewicz, le film « The Maids » (1975) de Christopher Miles, le film « Les Abysses » (1962) de Nico Papatakis, le film « Piège mortel » (1982) de Sidney Lumet, le film « Friends And Family » (2001) de Kristen Coury, le film « Association criminelle » (1955) de Joseph H. Lewis, le film « Cent mille dollars au soleil » (1963) d’Henri Verneuil, le film « Swoon » (1992) de Tom Kalin, le film « J’ai pas sommeil » (1993) de Claire Denis, le film « Vies brûlées » (2000) de Marcelo Piñeyro, le film « Les Diaboliques » (1954) d’Henri Georges Clouzot, le film « La Mala Educación » (« La mauvaise éducation », 2003) de Pedro Almodóvar, le film « Thelma et Louise » (1991) de Ridley Scott, le film « Les Filles du botaniste » (2006) de Daï Sijie (avec le meurtre parricide), les films « Swimming Pool » (2002) et « Amants criminels » (1998) de François Ozon, le film « Collateral » (2004) de Michael Mann (avec Vincent et Max), le film « Le Roi et le Clown » (2005) de Lee Jun-ik, la pièce Doubles (2007) de Christophe et Stéphane Botti, le film « Appointment With Crime » (1946) de John Harlow, le film « Diabolique » (1995) de Jeremiah Chechick, le film « Le Génie du mal » (1959) de Richard Fleischer, le film « Week-end pour Helena » (1970) de Julio Diamante, le film « Tueurs fous » (1972) de Boris Szulzinger, le film « La Sentinelle des maudits » (1977) de Michael Winner, le film « By Hook Or By Crook » (2001) d’Harry Dodge et Silas Howard, le film « Fun » (1994) de Rafal Zielinski, le film « O Corpo » (1991) de José Antonio García, le film « Butterfly Kiss » (1995) de Michael Winterbottom, le film « Les Blessures assassines » (1999) de Jean-Pierre Denis, la pièce Les Fugueuses (2007) de Pierre Palmade et Christophe Duthuron, le roman Dix Petits Phoques (2003) de Jean-Paul Tapie (avec Steve et Rémi), la pièce Les Bonnes (1947) de Jean Genet, le vidéo-clip de la chanson « Addicted To Love » d’Avicii (avec le couples de lesbiennes-gangsters), le vidéo-clip de la chanson « California » de Mylène Farmer (avec les jumelles tueuses), le film « Baise-moi » (2000) de Virginie Despentes, le film « The Living End » (1992) de Gregg Araki, le film « La Cérémonie » (1995) de Claude Chabrol (avec Sandrine Bonnaire et Isabelle Huppert en meurtrières d’une famille de bourgeois), le roman Le Jour du Roi (2010) d’Abdellah Taïa (avec Omar et Khalid planifiant la mort du second), le film « Dérive » (1983) d’Amos Guttman (avec Ilan et son amant), le film « I Love You Phillip Morris » (2009) de Glenne Ficarra et John Requa (avec Steven et Phillip, les amants-gangsters), le film « Niño Pez » (2009) de Lucía Puenzo, le film « Dinero Fácil » (« Argent facile », 2010) de Carlos Montero Castiñera, le film « Una Noche » (2012) de Lucy Molloy (avec Elio et Raul, recherchés par la police), le film « Benzina » (« Gazoline », 2001) de Monica Stambrini (avec le couple lesbien enchaînant les meurtres), le film « Dirty Love » (2009) de Michael Tringe, le film « Boys Don’t Cry » (1999) de Kimberly Peirce, le film « Priscilla, folle du désert » (1992) de Stephan Elliott, le film « Tan De Repente » (2002) de Diego Lerman, le film « On ne choisit pas sa famille » (2011) de Christian clavier (avec le vol d’enfant dans un orphelinat), le film « La Virgen De Los Sicarios » (« La Vierge des tueurs », 2000) de Barbet Schroeder, le vidéo-clip de la chanson « All About Us » de Tatu, la chanson « Beautiful Killer » de Madonna, le film « Facing Mirrors : Aynehaye Rooberoo » (« Une Femme iranienne », 2014) de Negar Azarbayjani (avec le voyage vers Kojoor en taxi entre Adineh l’héroïne transsexuelle F to M voleuse et Rana la femme mariée), le vidéo-clip de la chanson « Addicted to you » d’Avicii, etc.
Le couple homo meurtrier est d’abord une rumeur (de pédophilie, de trafic de drogues, de libertinage, d’assassinat, etc.) : « Je parie que toi et Peggy, vous faites des trucs aux gosses… » (Santiago s’adressant à Doris la lesbienne et sa compagne, dans la pièce Doris Darling (2012) de Ben Elton) ; « Je crois que vous êtes malades toutes les deux. » (Nina l’héroïne lesbienne se faisant manipuler par le couple lesbien Vera/Lola, dans la pièce Géométrie du triangle isocèle (2016) de Franck d’Ascanio) ; « Un gay, c’est ennuyeux. Deux, c’est un appel au meurtre. » (Eytan, un des élèves gays du lycée, dans le film « Love, Simon » (2017) de Greg Berlanti) ; etc.
Mais bien souvent, la rumeur est avérée. Par exemple, dans la pièce Les Escaliers du Sacré-Cœur (1990) de Copi, Mime et Fifi, deux travelos clochards, étranglent un pédé dans une vespasienne. Dans le film « Xenia » (2014) de Panos H. Koutras, Ody et son frère Dany rentrent avec un flingue dans une villa bourgeoise pour y semer la terreur. Dans le film « Drool » (2008) de Nancy Kissam, le mari est tué par le couple de lesbiennes. Dans la pièce On vous rappellera (2010) de François Rimbau, pour une question d’argent, les deux lesbiennes Lucie et Léonore collaborent en cachant une escroquerie dans le milieu artistique. Dans le film « Bayaw » (2009) de Monti Parungao, Rhennan est témoin de la mort accidentelle de Pia, tuée par Nilo. Dans le film « Gun Hill Road » (2011) de Rashaad Ernesto Green, les vols et les crimes du père, Enrique, font miroir à la transsexualité de son fils M to F Michael. Dans le film « Notre Paradis » (2011) de Gaël Morel, Vassili, ancien escort boy sur le retour, et son jeune amant Angelo, jeune prostitué, s’aime et se servent l’un de l’autre comme appât pour agresser des vieux. C’est exactement le même fonctionnement de « couple » qu’on observe entre Henri et Jean dans le film « L’Homme blessé » (1983) de Patrice Chéreau : les deux amants vivent leur idylle sous forme de vengeance et de règlement de comptes. Dans le roman La Douceur (1999) de Christophe Honoré, Steven a 11 ans lorsque, envoûté par Jeremy, un des camarades de colonie de vacances, il se laisse entraîner dans la complicité d’un crime d’une barbarie insoutenable sur un autre enfant du camp. Dans le film « Joe + Belle » (2011) de Veronica Kedar, c’est l’escapade israélienne de deux amantes cherchant à échapper à la police et à se débarrasser d’un corps. Dans la pièce Doris Darling (2012) de Ben Elton, Peggy et Doris la lesbienne tuent le vieux Douglas à coups de marteau : « Mais qu’est-ce que j’ai fait ?!? Je l’ai tué !!! » s’écrit Peggy. Dans le film « Cloudburst » (2011) de Thom Fitzgerald, le « couple » des deux mamies Stella/Dotty prend la fuite de la maison de la retraite pour se marier clandestinement, en toute liberté. Dans le film « Monster » (2003) de Patty Jenkins, les amantes lesbiennes Selby et Aileen tuent des hommes pour se venger des violences qu’ils leur ont fait subir. Dans le one-man-show Au sol et en vol (2014) de Jean-Philippe Janssens, Jeanfi, le steward homo, raconte comment il est sorti avec un certain Fabrice, un « escroc qui l’a ruiné après lui avoir fait vivre une vie de « princesse » : « Il s’est tiré avec la caisse. Plus rien. Une princesse déchue. » Dans le film « Mommy » (2014) de Xavier Dolan, Steve, le héros homosexuel, fait équipe avec sa mère, pour chiper dans les magasins, agresser les autres, fumer ensemble, faire des conneries : « On va faire équipe, nous deux. » (Steve s’adressant à sa mère) Dans le film « Fried Green Tomatoes » (« Beignets de tomates vertes », 1991) de John Avnet, Idgie et Ruth maquillent le meurtre du mari de la seconde, Bennett. Dans son one-man-show Les Bijoux de famille (2015), Laurent Spielvogel joue aux Cours Florent le rôle de Lorenzaccio tuant son amant Alexandre. Dans le téléfilm « Just Like A Woman » (2015) de Rachid Bouchareb, les deux amantes lesbiennes, Marilyn et Mona, fuient ensemble l’homicide involontaire que Mona a commis sur sa belle-mère. Dans le film « Carol » (2016) de Todd Haynes, Carol et Thérèse partent en vadrouille, Carol avec un flingue dans son sac.
Dans le film « Jonas » (2018) de Christophe Charrier, Jonas et Nathan forment un couple dangereux. Nathan empoisonne ses clopes pour rendre malade un de ses camarades de classe homophobe. Et il flirte tellement avec le danger qu’il s’embarque dans une voiture d’un prédateur sexuel à la sortie d’une boîte, et personne ne le reverra plus jamais. À l’âge adulte, Jonas, pourtant le garçon sage à l’adolescence, est devenu un vrai junkie : il est amené au poste de police pour avoir déclenché une baston dans un club gay, The Boys. Il pénètre dans un hôtel de luxe, L’Arthémis, et le standardiste, Léonard, le prend pour un faux doux, un criminel armé, et préfère lui fouiller son sac : « Je sais pas. Je vérifie que t’aies pas d’arme, de couteau. J’en sais rien. Si je reviens et que tout le monde est mort, et que t’as buté tout le monde, on fait comment ? » Il enfreint toutes les règles et fume dans sa chambre d’hôtel. Les deux amants sont finalement devenus des bad boys au contact l’un de l’autre.
Les deux membres du couple homosexuel fictionnel semblent tirer de l’extériorisation criminelle de leur ennui « conjugal » une excitation, une jouissance quasi sexuelle qui les confortent dans l’idée qu’ils sont faits l’un pour l’autre, qu’ils constituent un duo de choc éternel, à la Bonnie & Clyde, qu’ils sont capables d’un grand sacrifice d’amour : « Nous avons été cruels et nous avons été splendides. » (Dorian Gray s’adressant à son amant Basile, suite à la mort de Sybil Vane qui s’est suicidée parce que Dorian l’a répudiée, dans le roman Le Portrait de Dorian Gray (1890) d’Oscar Wilde) ; « Et vous saurez d’emblée qu’il s’agit d’un roman policier, qu’il y a plusieurs crimes et deux coupables mais pas de police (je n’aime pas ça dans les romans policiers) donc, pas de châtiment. » (Copi, Le Bal des Folles (1977), p. 21) ; « Nous sommes unis comme un vieux couple. Pour le meilleur… après le pire. » (Lacenaire s’adressant à son acolyte Avril, associé dans le crime, dans la pièce Lacenaire (2014) de Franck Desmedt et Yvon Martin) ; « Mama, I’m in love with a criminal, and this type of love is irrational, is physical. » (cf. la chanson « Criminal » de Britney Spears) ; « Nous sommes des dieux, Scrotes, et ces deux jeunes hommes sont nos jouets. » (Anthony s’adressant à son amant, par rapport au jeune couple homo naissant Jim/Doyler, dans le roman At Swim, Two Boys, Deux garçons, la mer (2001) de Jamie O’Neill) ; « C’est un genre de Bonnie & Clyde version Clyde & Clyde… » (Georges, le policier parlant du « Gang des Fleuristes » cambrioleurs qui n’est autre que le couple d’amants formé par Bart et Hugo, dans l’épisode 272 de la série Demain Nous Appartient diffusée sur TF1 le 20 août 2018) ; etc.
Et le pire, c’est que certains réalisateurs gays friendly ou homosexuels essaient de nous faire croire en la « beauté » du cynisme, du désespoir, de la folie meurtrière, de l’enchaînement tragique, de ce couple homosexuel uni dans la mort. Par exemple, dans le film « Marguerite » (2015) de Xavier Giannoli, Lucien et son amant Kyril (qu’il surnomme « mon poussin »), fomentent toute une entreprise de foutage de gueule autour de la fausse chanteuse Marguerite.
FRONTIÈRE À FRANCHIR AVEC PRÉCAUTION
PARFOIS RÉALITÉ
La fiction peut renvoyer à une certaine réalité, même si ce n’est pas automatique :
L’expulsion, en amour et en sexualité, de la différence des sexes porte en germe une réelle violence à l’intérieur des « couples » homosexuels et à l’extérieur d’eux. L’acte homosexuel louvoie avec l’homophobie et un engrenage parfois criminel qui semble dépasser les sincérités des deux personnes qui se sont mises d’accord pour le poser. « J’y suis allé pour avoir du sexe avec les hommes. C’est la première chose que j’ai faite. Donc ce gars avec qui j’avais chatté un temps sur Internet était de Flint, dans le Michigan. C’est là-bas que j’ai perdu ma virginité. La capitale mondiale des assassinats, c’est de notoriété publique [rires] [. [ » (Dan, homme homosexuel, dans le documentaire « Desire Of The Everlasting Hills » (2014) de Paul Check) Je vous renvoie par exemple à l’histoire vraie (qui a inspiré le film « Monster ») du « couple » lesbien Aileen Wuornos/Tyria Moore en 1987 aux États-Unis.
On retrouve quelques sombres affaires de crime dans lesquelles des amants homosexuels ont trempé. Par exemple, en 1924, le couple d’amants Nathan Leopold et Richard Loeb (qui inspira le film « La Corde » d’Alfred Hitchcock en 1948) assassina un jeune homme et justifia son crime par une théorie nietzschéenne sur l’Homme supérieur. En 1968, Ramón Novarro fut assassiné par deux frères (Bert et Daniel) qu’il connaissait déjà et qu’il avait payés pour venir chez lui avoir des relations sexuelles. En 1998, aux États-Unis, Aaron McKinney et Russell Henderson, les assassins de Matthew Shepard, prétendument « hétéros », se sont faits passer pour un « couple gay » dans les toilettes du bar Fireside auprès de Matthew, homosexuel déclaré, avant de l’embarquer dans leur camionnette pour le draguer et l’assassiner. Je pense également, en 2019, à ce crime passionnel entre amants dans le Val-de-Marne.
Ces faits divers pourraient être rangés dans le dossier des anecdotes, pourraient paraître isolés et peu représentatifs de l’ensemble des couples homosexuels qui, pour la plupart, n’aspirent à faire de mal à personne et ne sont pas impliqués dans des affaires de mœurs aussi grave. Mais je crois que ce code s’adresse précisément aux unions homos en apparence inoffensives, rangées, douces, fidèles, « intégrées » socialement, car même si « le couple homosexuel criminel » reste avant tout un cliché non-actualisé, il dit quelque chose de la violence et de la nuisance réelles qui se vivent dans tout « couple homo »… et cette violence ressurgit en agressivité, en infidélité, en prostitution, en vol, en humiliation, en militantisme agressif, en injures, en boulimie de « droits LGBT » et de lois qui pour le coup justifient des crimes réels. Ceci est d’autant plus vrai depuis l’approbation du « mariage pour tous » dans certains pays, car cette loi ouvre à la PMA (Procréation Médicalement Assistée) et la GPA (Gestation Pour Autrui), donc au tri d’embryons surnuméraires, au meurtre d’enfant ou de parents, à la création d’orphelins.
Par exemple, lors de sa conférence sur « L’homoparentalité aux USA » à Sciences-Po Paris le 7 décembre 2011, l’avocat Darren Rosenblum raconte comment lui et son copain ont obtenu une enfant par GPA. En l’écoutant, on dénotait dans son discours la culpabilité d’être objectivement dans l’illégalité. Ils habitent actuellement dans le Marais, mais gardent le secret sur la GPA : « J’ai un peu peur d’être maltraité par les gens au moment où je suis avec ma fille. » Ils sont peu fiers du crime symbolique et réel qu’ils ont opéré sur la mère de « leur » petite fille.
Des lois comme le PaCS (Union civile) ou « le mariage pour tous », par la justification de l’expulsion de la différence des sexes qu’elles imposent à l’ensemble d’une société, diffusent une inhumanité qu’il convient de prendre très au sérieux.
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