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L’Hétérosexualité est la Bête de l’Apocalypse


 

En ce moment, la Bête apparaît partout et ne se cache même plus. Monstres, zombies, dragons, spectres, robots extra-terrestres, animaux tantôt féroces tantôt gentils… La Bête est devenue en un rien de temps notre personnalité, notre modèle mondial, notre maîtresse, notre amante, notre arme secrète, notre conscience, et l’icône de la diversité, de l’identité et de l’Amour pluriels, donc en gros l’ambassadrice de l’hétérosexualité.
 

 

En effet, l’hétérosexualité est le culte des différences, de toutes les altérités au niveau de la sexualité. D’ailleurs, comme vous allez le découvrir dans cette vidéo, il est étonnant de voir le nombre de films et de pubs actuels qui célèbrent la Bête, notamment la Bête technologique, ainsi que son image et sa marque ou griffe (le fameux « 666 » sur la main droite et sur le front, autrement dit la puce électronique décrite dans le livre biblique de l’Apocalypse, en Jn chapitre 13), en lien avec l’homosexualité. Homosexualité qui sera rarement nommée – elle est juste suggérée sur un panel de variété – mais qui portera le nom social et marketing masqué de l’hétérosexualité, à savoir la « diversité » (et suivent après, bien d’autres nom : « pluralité », « variété », « », « respect », « égalité », « tolérance », etc.).
 

 

 

 

 

Pour comprendre que l’hétérosexualité est le diable déguisé en différence des sexes et en diversité, et qu’elle est l’homosexualité cachée, revenons d’abord aux origines du concept.
 

1) Étymologie et histoire de l’hétérosexualité :
 

 

Quand je vous dis « hétérosexualité », vous entendez en réalité deux mots : « hétéro », qui vient du grec, et qui signifie « autre » ; et « sexualité », qui vient du latin « secare » (couper) et qui signifie également « autre ». En fait, en prononçant ce mot salade qui mélange du grec et du latin, sans le savoir, vous dites deux fois la même idée (autre/autre) : c’est un terme-piège qui contient sa propre redondance. Si nous étions logiques, pour parler de la différence homme-femme, nous ne devrions utiliser que le vocable « sexualité ». Mais comme, depuis 150 ans, le monde a perdu le sens de la sexualité et du Réel, il confond la sexualité avec l’hétérosexualité, cette dernière renvoyant à un comportement sexuel (en général violent) et à une orientation sexuelle calquée sur l’homosexualité. C’est historique, ce que je vous dis : le terme « homosexualité » a été créé pour la première fois en 1868, et le terme « hétérosexualité » un an après, en 1869 : 69, c’est facile à retenir… Maintenant, dans la tête des gens, y compris des catholiques, l’hétérosexualité équivaut à la différence des sexes, serait son synonyme ; et le monde ne se diviserait plus entre hommes et femmes, mais entre hétéros et homos (et les bis, pour faire la navette de l’hétérosexualité vers l’homosexualité).
 

Autre-Autre ! L’hétérosexualité, en gros, c’est une sexualité ou altérité forcée. D’ailleurs, les hétéros sont des caricatures vivantes et cinématographiques de la virilité et de la féminité, de la parenté. L’hétérosexualité n’est pas forcément opposée à la formation d’une famille. Elle peut être le support d’une idéologie familialiste et nataliste (La Manif Pour Tous l’a bien prouvé, puisque tous ses slogans étaient hétérosexuels : ils prônaient la différence en soi, la différence des sexes en soi, l’enfant et la famille comme des absolus et des fétiches). Mais en tout cas, l’hétérosexualité défend un mariage de façade et imposé, une différence des sexes productive et procréative mais sans amour.
 

 

Plus globalement, l’hétérosexualité défend les différences en soi. Elle est une sacralisation de l’ensemble des altérités au niveau de la sexualité, donc une célébration de toutes les sexualités, y compris l’homosexualité, au détriment de la différence des sexes et de la différence Créateur/créatures à savoir Jésus et l’Église Catholique. D’ailleurs, vous tapez « hétérosexualité » ou « diversité » sur Internet : vous ne tombez que sur des trucs homos. En réalité, l’hétérosexualité n’est qu’une pansexualité (le préfixe « pan » en grec signifie « tout »).
 

 

Déjà, l’origine historique du terme « hétéro » est bisexuelle : à la fin du XIXe siècle, les personnes qui se déclaraient « hétéros » – c’est écrit sur les manuels scientifiques de l’époque – se définissaient elles-mêmes comme des personnes attirées par les deux sexes, et défendaient « l’amour libre », en deçà des institutions d’Église et d’État. On retrouve aujourd’hui une forte résurgence de cette bisexualité historique du terme « hétéro » puisque vous remarquerez que ceux qui se présentent comme « hétéros » sont en réalité très gays friendly, très bisexuels, pro-mariage gay, et font parfois des coming out à la surprise générale. Ce sont eux, et non les personnes homos, qui ont défendu le « mariage » homo. Nous, on n’a rien demandé ! L’hétérosexualité est le pilier idéologique de l’homosexualité, son jumeau terrible et son alibi. Toutes les lois pro-gays sont adoptées au nom de « l’hétérosexualité » (c’est ce qui vient de se passer au Chili : Madame Bachelet, pour imposer le « mariage gay » à tous, s’est avancée avec le mot « hétérosexualité » pour revendiquer une « égalité » et une équivalence entre hétérosexualité et homosexualité… et le pire, c’est que cette équivalence est réelle ! ; en 2013 en France, Madame Taubira s’était également value de « l’hétérosexualité » pour justifier le « mariage homo », dans le journal La Croix : « Je ne me vois pas refuser l’adoption aux couples homos puisqu’elle est donnée aux couples hétéros. »).
 

 

 

 

À ce propos, le « lobby LGBT » n’a jamais été le lobby gay, contrairement à ce que les militants pro-Vie et les médias croient : le lobby LGBT, c’est le lobby hétéro. J’en tiens pour preuve que les seules institutions internationales défendant les « droits homos » dans le monde (Gay Straight AllianceGSA – à Bruxelles, aux Pays-Bas, aux États-Unis ; ILGA en Suisse et partout dans le monde) ne parlent quasiment jamais d’homosexualité, se présentent au contraire sous la bannière de la diversité, de l’égalité, des phobies ou de la lutte contre les discriminations ; et les rares fois où ils sont attaqués et taxés de prosélytisme homosexuel, ces organismes sortent leur joker de l’hétérosexualité. Erwann Binet, François Hollande, Najat Vallaud-Belkacem, Justin Trudeau, par exemple, s’annoncent hypocritement comme des défenseurs de la cause gay parce qu’ils seraient des « hétéros désintéressés ». « LGBT » (Lesbien, Gay, Bi, Trans) et « hétérosexualité », ça rime. Et le « H » d’Hétérosexualité est paradoxalement la seule lettre qui manque à ce sigle à rallonge, car elle englobe tacitement toutes les autres lettres, en fait.
 

 

Chose curieuse : la diversité hétérosexuelle prend très souvent dans les films la forme ludique du Rubik’s Cube (vous savez, ce cube à 6 faces colorées des années 80 ; en gros, sous prétexte de diversité, on nous met en boîte, le monde est transformé en cube et en puce). Ou bien elle prend la forme esthétique de l’arc-en-ciel, la forme romantique de « l’amour », la forme solidaire de la « diversité », ou bien la forme révoltée et pseudo engagée de la « rébellion » et de la « lutte contre les discriminations et contre les règles ». Dans les médias et le langage, il existe plusieurs synonymes d’« hétérosexualité » : pluralité, diversité, variété, différences, ouverture, changement, discriminations, droits, égalité, chances, rêves, amours, passions, rébellion, anticonformisme et anti-règles, etc. Beaucoup de catholiques nous bassinent actuellement avec leur dénonciation de l’idéologie du Gender, cette idéologie qui remplace le sexe par le genre, et qui nierait la différence des sexes… mais ils n’ont toujours pas compris que le Gender d’une part était une idolâtrie pour la différence des sexes (non une haine ou un rejet), et d’autre part que le Gender était l’hétérosexualité, c’est-à-dire le culte des différences et du ressenti/de la volonté individuels (Je suis qui je veux, j’aime qui je veux, et ma perception, mes sentiments, ma subjectivité, ma volonté personnelle, mes bonnes intentions, mes projets, sont rois !). Elle est un totalitarisme de l’individualisme tout-puissant. L’hétérosexualité est le culte à la différence. On est en plein dedans actuellement. Comme par hasard, la dernière cérémonie de l’Eurovision en 2017 avait choisi pour slogan « Celebrate Diversity ». L’hétérosexualité est le dieu « Diversité ». Selon sa logique, toute différence serait bonne en soi (même des différences mauvaises, même des fausses identités). L’hétérosexualité, c’est l’idolâtrie pour l’altérité… en sachant que « l’Autre » est un des noms du diable dans la Bible… donc elle est bien un culte satanique.
 

 

 

Pour résumer, l’hétérosexualité est, je le dis très sérieusement, le diable déguisé en différence des sexes. Les rares fois où j’entends le mot surgir pendant mes conférences, je sais que le diable sort de sa cachette, et que la personne qui s’énerve contre moi n’a que l’argument de l’« hétérosexualité » comme excuse pour contredire mon discours sur l’homosexualité ou pour quitter la salle. Elle ne sait pas encore que j’ai créé en 2013 un blog CUCH – Catholiques Unis Contre l’Hétérosexualité – en parallèle de l’Araignée du Désert, blog qui n’est absolument pas une blague. Je le sais et je peux le prouver : ceux qui défendent l’hétérosexualité ont un rapport blessé et haineux avec leur identité, la sexualité, le mariage et l’Église Catholique, et essaient de maquiller cette vengeance en justifiant l’homosexualité et les lois pro-gays. La gravité de l’Union Civile (qui est le mariage gay = ces deux lois incarnent la même réalité intentionnelle de justification de « l’amour » homo en tant qu’« amour universel ») repose principalement sur le fait que le partenariat civil est la première loi mondiale basée sur l’hétérosexualité, et qui a inauguré une nouvelle humanité, un nouvelle sexualité : l’Union Civile est une déshumanisation (y compris des personnes homos) de l’Humanité par voie légale. C’est pourquoi nous ne pouvons pas nous dire contre le « mariage gay » et pour l’Union Civile. Ces deux lois sont symboliquement homicides et homophobes.
 

 

Enfin, je crois que l’hétérosexualité est le pilier idéologique inconscient de la Franc-Maçonnerie internationale, puisque les loges francs-maçonnes défendent l’altérité absolue, l’anticonformisme total, et toutes les différences sans distinction. « Les différences sont nos richesses » bêlent les initiés. D’ailleurs, personne ne sera étonné qu’Emmanuel Macron, l’un des pontes de la Franc-Macronnerie mondiale, prétende (je le cite) « défendre la différence complète et radicale » (il a déclaré cela le 13 mars 2017 sur le plateau du Journal Télévisé de TF1). Et lors de son passage à Delhi, il a même appelé la jeunesse indienne à « n’acceptez aucune règle ». Avec Macron, on est en plein dans la rhétorique de l’hétérosexualité qui nie les vraies différences fondatrices de l’Humain (la différence des sexes et la différence Créateur-créatures), et donc dans la Franc-Maçonnerie.
 

 

Et si tout ce que je vous dis vous paraît capillotracté, ou parano, croyez au moins l’Église Catholique. Jusque dans les années 1975, les pères conciliaires du Concile Vatican II continuaient de condamner l’hétérosexualité comme une « perversion » et une sexualité hors mariage, au même titre que l’homosexualité active. L’Église Catholique n’a jamais défendu l’hétérosexualité. Le problème est qu’aujourd’hui, elle ne la dénonce pas non plus comme le diable en personne. C’est pourquoi il nous faut parler de l’hétérosexualité quand même, y compris si c’est un mot pourri et impropre à qualifier la sexualité. Sinon, au nom d’un humanisme intégral, d’un purisme de la Vérité autour du discours théologique sur la sexualité et le corps, nous ne nommons plus le mal, nous le laissons faire, et nous répétons le rengaine du monde boboïsé qui nie autant qu’il promeut ce libertinage généralisé qu’est l’hétérosexualité, en tenant le propos relativiste suivant : « Homo, hétéro, bis, tout ça, ce sont des étiquettes marchandes : c’est trop sexuel, c’est des comportements, c’est pas des identités. L’hétérosexualité, l’homosexualité, c’est l’amour tout court, c’est la diversité, c’est à l’appréciation de chacun. » L’hétérosexualité existe, au moins en tant que croyance et en tant qu’idéologie politisée planétaire. Nous ne devons pas mépriser le terme, mais au contraire, en encourager l’étude. C’est elle le nœud du problème, la planque mondiale du diable.
 

2) L’hétérosexualité, c’est la Bête de l’Apocalypse :
 

L’hétérosexualité, comme je le disais, est un culte à la différence (au détriment de la différence des sexes couronnée par l’Amour, et au détriment de la différence Créateur-créatures, c’est-à-dire l’Église et Jésus). D’ailleurs, la Bête dans l’Apocalypse, a plein de têtes, donc est en soi figure de diversité, d’altérité, d’hétérosexualité. C’est un diamant étincelant et multifacettes, asexué, si vous préférez.
 

 

Sexologiquement et anthropologiquement parlant, la Bête (de l’Apocalypse), je crois d’une part que c’est la transgression du Réel (et de ses 4 rocs : différence des sexes, différence des générations, différence des espaces et différence Créateur-créatures) à travers la technologie, je crois d’autre part que c’est l’hétérosexualité (dans son sens bisexuel puis dans le sens du culte de l’altérité absolue au détriment de la différence des sexes – mariage aimant homme-femme – et de la différence Créateur-créatures – à savoir Jésus et l’Église Catholique).
 

 

 

 

 

Tout ceci est illustré dans les films actuels parlant précisément de la Bête : par exemple « Lucy » (2014) de Luc Besson (avec cette féminité virile qui s’achève en Bête robotique ectoplasmique), « Closet Monster » (2015) de Stephen Dunn, « The Last Girl » (2016) de Colm McCarthy, « L’Apparition » (2018) de Xavier Giannoli, « La Bête curieuse » (2016) de Laurent Perreau, « Power Rangers » (2017) de Dean Israelite (avec Force Jaune qui se trouve être lesbienne), « The Jane Doe Identity » (2017) d’André Ovredal, « La Belle et la Bête » (2017) de Bill Condon, « Wonder Woman » (2017) de Patty Jenkins, « Le Crime de l’Orient-Express » (2017) de Kenneth Branagh, « Star Trek » (2017) de Bryan Fuller (ce réalisateur est d’ailleurs ouvertement homo ; et plusieurs personnages de la série puis du film sont également homos : Zackary Quinto, George Takei), et là, le dernier Guillermo del Toro « La Forme de l’eau » (2018) ainsi que le dernier Steven Spielberg « Ready Player One » (2018) que je viens d’aller voir au ciné (un monument franc-maçon !) et où tout ce que je viens d’énumérer est nettement lisible.
 

 

 

 

 

Par exemple, dans le film « L’Apparition » de Giannoli, Jacques, joué par l’acteur Vincent Lindon, prend la jeune voyante Anna pour une lesbienne, lui propose de vivre son hétérosexualité ou son homosexualité latente, sur fond de recensement biométrique de rétines. Dans « Le Crime de l’Orient-Express », le train est figuré comme une Bête technologique démoniaque habitée par un Edward Ratchett (interprété par Johnny Depp) séducteur et androgyne. Dans « The Last Girl », la gamine zombie Mélanie, une humaine bestiale, et son institutrice Miss Justineau, tombent amoureuses et forment un couple intergénérationnel dit « christique », sur fond de guerre virale high-tech et d’hymne au dépassement des différences. Dans le film « Wonder Woman », dont l’héroïne est une icône gay bien connue, féminisme, homosexualité, et technologie sont au menu. Dans le téléfilm « La Bête curieuse », il est question des bracelets électroniques inquisiteurs, présentés comme la Bête ; et l’homosexualité féminine y est promue à travers le personnage de Céline.
 

 

 

 

Dans le film « La Belle et la Bête », la Bête est le personnage central et la technologie agit sous la forme de la magie et des images de synthèse… et comme par hasard, le personnage du Fou fait son coming out ! Dans « The Jane Doe Identity », la Bête satanique est incarnée par une sorcière androgyne qui sème la terreur dans une morgue. Dans le film « La Forme de l’eau », on nous fait croire que la Bête est plus humaine que les humains, et qu’une grande histoire d’Amour peut naître entre une femme mortelle (Elisa) et un amphibien, avec en toile de fond une transgression de toutes les différences du Réel : Giles, le meilleur ami d’Elisa, est un vieil homosexuel, draguant les petits jeunes et vivant à travers ses films en noir et blanc. Tout concorde pour relier Bête-Technologie-Homosexualité-Armageddon.
 

 

 

 

 

Dans le film « Ready Player One », l’hétérosexualité bisexuelle est promue avec force : la Bête technologique défend et génère de l’homosexualité (entre Artemis et Kira au bal des zombies, par exemple, et même entre Parzival et Artemis qui tombent amoureux sans savoir si dans la vie réelle ils correspondent à la sexuation de leurs avatars virtuels). Et tout le film tourne autour de la promotion de la variété (au sens de « diversité » mais également au sens musical et culture pop du terme), donc de la promotion de l’hétérosexualité. D’ailleurs, le personnage masculin virtuel d’Aech est interprété par une femme noire, Helen, looké lesbienne ou transgenre. Dans le film « Armageddon » (1998) de Michael Bay, le personnage de la Carotte est homosexualisé (il est dit qu’il est « toujours en chaleur ») et joue devant le psy de la NASA au Rubik’s Cube. Enfin, dans les chansons de Mylène Farmer, le culte de l’altérité (je pense en particulier aux chansons « Monkey Me », « L’Autre », « Sans Logique », « J’ai essayé de vivre », le clip de « City of Love »), autrement dit l’hétérosexualité, rend bestial et homosexuel, et entraîne à la damnation satanique : « Aucune déraison. Je suis dans la peau d’une autre. C’est mon autre Moi, c’est Monkey, l’animal-là, je connais ses pas, c’est Monkey Moi, je suis Monkey Me. » « Souffrir qu’une autre en moi se glisse. » « Moi j’ai tant voulu l’Autre. Ave, milliers d’âmes anonymes, ave. »
 

 

 

Comme vous pouvez le constater, énormément de films traitant ou représentant la Bête défendent comme par hasard la bipolarité hétérosexualité-homosexualité. C’est pourquoi je vous dis très sérieusement que l’hétérosexualité est le diable. Elle est la Bête. Et que tous ceux qui confondent la différence des sexes avec la Bête sont en réalité apostats, des suiveurs de la Bête, et font inconsciemment partie de la Franc-Maçonnerie, même s’ils se disent catholiques et opposés à la Franc-Maçonnerie.
 

 

 

Le but ultime de l’hétérosexualité, prônant la différence et la liberté absolue, pour repousser les limites de l’Humain, c’est non seulement de transgresser la différence des sexes, mais aussi de transgresser la différence Créateur-créatures. Autrement dit de faire autoriser la bestialité (l’« amour » entre l’Homme et la Bête), de nous faire coucher avec des animaux (c’est déjà le cas au cinéma avec « La Forme de l’eau ») ou d’être des animaux, de nous faire avec des robots (dans la série Franky, par exemple, est simulé l’amour entre des humains et des androïdes extraterrestres) et d’être des cyborg, de nous faire coucher avec des anges (esprits énergétiques) et d’être des anges. Le monde essaie de nous faire croire que nous pouvons aimer d’amour la Bête (je l’ai à nouveau constaté le 23 avril 2018 en regardant l’épisode 199 de la série Demain Nous Appartient sur TF1, face à Lucie – interprétée par Lorie – qui se persuade qu’elle est capable d’être vraiment amoureuse du « monstre » et tueur en série Marc Véry). La question est celle-ci : Et vous, seriez-vous capables, par amour, d’aimer la Bête, par-delà les codes, la raison, la morale et même le Bien ? Et même si c’est Satan ? C’est pourquoi – et je vais vous le prouver – l’hétérosexualité, dans le sens bisexuel du terme, est la Bête.
 

Pour compléter mon explication, je vous invite à regarder la suite de cette vidéo qui est intitulée « Les 4 armées à Armageddon pour la Fin des Temps », car ça parlera justement de la Bête « Hétérosexualité » qui réunit toutes les nations du monde pour une bataille finale en Terre Sainte.

 
 

Cet article bénéficiera bientôt d’une vidéo sur Youtube, intégrant une série de 15 entretiens tournés en avril 2018 à Lourdes avec la journaliste Nathalie Cardon, et dans le droit fil de mon livre Homo-Bobo-Apo. Voici les articles de chacun d’eux :
 

1 – « Les 11 messages subliminaux diffusés dans l’émission ‘The Voice’ »

2 – « Le Synode des jeunes : la cata »

3 – « Le raz-de-marée de la transidentité » (transsexualité)

4 – « Le Boom des pastorales d’accompagnement des personnes homosexuelles dans l’Église »

5 – « Mylène Farmer, Grande Architecte de la Franc-Maçonnerie gay friendly »

6 – « Pourquoi La Manif Pour Tous est un vrai désastre »

7 – « Pourquoi parler d’homosexualité dans les établissements scolaires est Mission Impossible »

8 – « L’homosexualité dans la série de TF1 Demain Nous Appartient »

9 – « Je me suis ridiculisé publiquement : Comment vivre avec cette honte ? »

10 – « L’Hétérosexualité est la Bête de l’Apocalypse »

11 – « Les 4 armées de la Bataille finale d’Armageddon »

12 – « Visite maçonnique de Macron aux Bernardingues »

13 – « Les 12 obsessions des cathos bobos de la Réacosphère »

14 – « Homosexualité, la priorité niée dans l’Église »

15 – « Définition de la bisexualité »

Livre Homo-Bobo-Apo en audio et lu par son auteur !

Allez, GO ! Mon livre HOMO-BOBO-APO en audio et lu par moi, c’est encore autre chose ! ^^ Pour les flemmards ou ceux qui aiment ma voix et ce que je raconte. Vous pouvez l’écouter en voiture, dans le métro, en repassant votre linge ou en donnant le sein. C’est pratique !
 
 

Vidéo 1 (Introduction) :
 

 

Vidéo 2 (Chapitre 1 sur la définition de l’homosexualité) :
 

 

Vidéo 3 (chapitre 1 sur l’hétérosexualité)
 

 

Vidéo 4 (chapitre 1 sur l’homophobie)
 

 

Vidéo 5 (chapitre 1 sur l’homosexualité dans le monde)
 

 

Vidéo 6 (chapitre 1 sur l’homosexualité dans l’Église Catholique)
 

 

Vidéo 7 (chapitre 1 sur la continence)
 

 

Vidéo 8 (chapitre 1 sur le cas Jérémy)
 

 

Vidéo 9 (chapitre 1 sur le coup de gueule aux frères cathos homos)
 

 

Vidéo 10 (chapitre 2 sur la Franc-Maçonnerie et le boboïsme)
 

 

Vidéo 11 (chapitre 2 sur la Nouvelle Religion mondiale)
 

 

Vidéo 12 (chapitre 2 sur la Nouvelle Religion mondiale, la suite)
 

 

Vidéo 13 (chapitre 2 sur la Nouvelle Religion mondiale, la suite encore)
 

 

Vidéo 14 (chapitre 2 sur la Religion naturelle)
 

 

Vidéo 15 (chapitre 2 sur l’Être un oiseau de lumière)
 

 

Vidéo 16 (chapitre 2 sur le Cube et les Pierres vivantes)
 

 

Vidéo 17 (chapitre 2 sur l’expansion de conscience)
 

 

Vidéo 18 (chapitre 2 sur les racines chrétiennes de la Franc-Maçonnerie)
 

 

Vidéo 19 (chapitre 2 sur les attaques de la Franc-Maçonnerie contre l’Église Catholique)
 

 

Vidéo 20 (chapitre 2 sur les cathos bobos)
 

 

Vidéo 21 (chapitre 2 sur le bobo catho branché)
 

 

Vidéo 22 (chapitre 2 sur les bobos cathos d’extrême droite)
 

 

Vidéo 23 (chapitre 2 sur les cardinaux conservateurs francs-maçons)
 

 

Vidéo 24 (chapitre 3 sur Faut-il parler des Fins dernières ?)
 

 

Vidéo 25 (chapitre 3 sur « La Bête est partout »)
 

 

Vidéo 26 (chapitre 3 sur les signes météorologiques de la Fin des Temps)
 

 

Vidéo 27 (chapitre 3 sur l’Apostasie dans l’Église Catholique et les suicides de prêtres)
 

 

Vidéo 28 (chapitre 3 sur les apparitions et les avertissements de la Vierge Marie pour la Fin du Monde)
 

 

Vidéo 29 (chapitre 3 sur l’Avertissement et le Déroulement des Fins dernières)
 

 

Vidéo 30 (chapitre 3 sur les persécutions anti-catholiques, le Schisme dans l’Église Catholique et le meurtre du Pape François)
 

 

Vidéo 31 (chapitre 3 sur les fléaux météorologique et viral)
 

 

Vidéo 32 (chapitre 3 sur la Blockchain et la digitalisation)
 

 

Vidéo 33 (chapitre 3 sur les dangers de la Blockchain)
 

 

Vidéo 34 (chapitre 3 : La Blockchain est-elle diabolique ?)
 

 

Vidéo 35 (chapitre 3 : Attention à la puce anti-puce)
 

 

Vidéo 36 (chapitre 3 : Comment combattre la Blockchain ? + Crise économique + Islam et panmongolisme)
 

 

Vidéo 37 (chapitre 3 : Troisième Guerre mondiale, Antéchrist et Europe)
 

 

Vidéo 38 (chapitre 3 : Macron est-il l’Antéchrist ?)
 

 

Vidéo 39 (chapitre 3 : Le faux prophète)
 

 

Vidéo 40 (chapitre 3 : Les deux témoins, le Roi de France, et le Troisième Temple de Jérusalem)
 

 

Vidéo 41 (chapitre 3 : La Bataille d’Armageddon)
 

 

Vidéo 42 (chapitre 3 : Les Trois Jours de Ténèbres… et la destruction des 2/3 de l’Humanité)
 

 

Vidéo 43 (chapitre 3 : Le Jugement Dernier, le Millénium, et les deux Résurrections)
 

 

Vidéo 44 (Conclusion)
 

 

Vidéo 45 (Annexes + Top 10 des plus grosses conneries sorties par les « catholiques » sur l’homosexualité)
 

 

Vidéo 46 (Épilogue : « Homosexualité : Et si l’Église avait tort? »)
 

Homosexualité, compagne de la Bête


 

Je crois avoir compris qui est la Bête (de l’Apocalypse) : c’est la transgression du Réel (et de ses 4 rocs : différence des sexes, différence des générations, différence des espaces et différence Créateur-créatures) d’une part, ainsi que l’hétérosexualité (dans son sens bisexuel puis dans le sens du culte de l’altérité absolue au détriment de la différence des sexes – mariage aimant homme-femme – et de la différence Créateur-créatures – à savoir Jésus et l’Église Catholique). Et cette Bête satanique veut prendre sa revanche sur Jésus (après sa défaite sur la Croix il y a 2000 ans) en conviant la terre entière sur le lieu de sa défaite (passée à ses yeux ; future et définitive en réalité) : Israël (l’Armageddon). Tout ceci est illustré dans les films actuels parlant précisément de la Bête : « Closet Monster » (2015) de Stephen Dunn, « La Momie » (2017) d’Alex Kurtzman, « Lucy » (2014) de Luc Besson, « The Last Girl » (2016) de Colm McCarthy, « L’Apparition » (2018) de Xavier Giannoli, « World War Z » (2013) de Marc Forster, « La Bête curieuse » (2016) de Laurent Perreau, « Power Rangers » (2017) de Dean Israelite, « The Jane Doe Identity » (2017) d’André Ovredal, « La Belle et la Bête » (2017) de Bill Condon, « Wonder Woman » (2017) de Patty Jenkins, « Le Crime de l’Orient-Express » (2017) de Kenneth Branagh, « Star Trek » (2017) de Bryan Fuller, et là, le dernier Guillermo del Toro « La Forme de l’eau » que je viens d’aller voir au ciné (un monument franc-maçon !) et où tout ce que je viens d’énumérer est lisible. Au moins dans « L’Apparition », « La Forme de l’eau », « Wonder Woman », « Le Crime de l’Orient-Express », « The Jane Doe Identity », le carton d’invitation vers la Terre Sainte, en lien avec une Bête technologique gay friendly, est clairement donné. Par exemple, dans « L’Apparition » de Giannoli, Jacques, joué par l’acteur Vincent Lindon, prend la jeune voyante Anna pour une lesbienne, lui propose de vivre son hétérosexualité ou son homosexualité latente, et finit son enquête en pleine zone de l’Armageddon, à l’intersection d’Israël, de l’Arabie Saoudite, de l’Irak et de la Syrie (un panneau signalétique est filmé en plein cœur du désert). Dans « Le Crime de l’Orient-Express », le train est figuré comme une Bête technologique démoniaque habitée par un Edward Ratchett (interprété par Johnny Depp) séducteur et androgyne ; et le film débute au Mur des Lamentations. Dans « The Last Girl », la jeune zombie Mélanie, une humaine bestiale, et son institutrice Miss Justineau, tombent amoureuses et forment un couple dit « christique », sur fond de guerre virale high-tech. Dans le film « Wonder Woman », dont l’héroïne est une icône gay bien connue, féminisme, homosexualité, technologie et sionisme sont au menu. Dans le téléfilm « La Bête curieuse », il est question des bracelets électroniques inquisiteurs, présentés comme la Bête, et l’homosexualité féminine y est promue à travers le personnage de Céline. Dans le film « La Belle et la Bête », la Bête est le personnage central et la technologie agit sous la forme de la magie et des images de synthèse… et comme par hasard, le personnage du Fou fait son coming out ! Dans « The Jane Doe Identity », on retrouve dans la bouche de la Bête satanique – incarnée par une sorcière androgyne qui sème la terreur dans une morgue – des manuscrits de la Mer morte cousus ou avalés. Dans le film « La Forme de l’eau », on nous fait croire que la Bête est plus humaine que les humains, et qu’une grande histoire d’Amour peut naître entre une humaine (Elisa) et un amphibien, avec en toile de fond une Guerre Froide technologiste entre États-Unis et Russie centrée sur Israël (« Les Russes détestent les juifs mais ils adorent leurs gadgets » dit cyniquement le méchant du film, Richard Strickland), ainsi qu’une transgression de toutes les différences du Réel (Giles, le meilleur ami d’Elisa, est un vieil homosexuel, draguant les petits jeunes et vivant à travers ses films en noir et blanc). Tout concorde pour relier Bête-Technologie-Homosexualité-Armageddon.
 

Dans une majeure partie de la production cinématographique actuelle, l’homosexualité est particulièrement corrélée à la Bête technologique, présentée comme gentille et comme « victime de l’intolérance aux différences » des anti-diversités, et au sionisme. Le lien entre hétérosexualité et transhumanisme, c’est qu’à travers la promotion de l’homosexualité et de la Différence/Diversité, la Bête veut tuer l’Homme et le transformer en animal, en robot et en ange. C’est ça l’idée de fond. Et il est assez hallucinant que beaucoup de films actuels, sans même que les réalisateurs se soient concertés entre eux, s’acheminent vers la Terre Sainte, avec cette optique de défendre la « diversité » (bisexuelle), en mettant en scène un combat final entre homosexualité et hétérosexualité (entendue pour le coup comme « différence des sexes »), entre un monde dit « d’Amour » et l’Église Catholique (considérée pour le coup comme le mal suprême). Le plus incroyable – et c’est flagrant dans le film « L’Apparition » – est que les bobos francs-maçons libertins et relativistes prétendent avoir la foi, et prétendent être plus catholiques que les catholiques, plus croyants que les croyants. Je me suis longtemps demandé par quel « hasard » l’Humanité allait converger vers l’Armageddon. Eh bien je crois que je tiens une élément de réponse : les antithéistes ont réellement la prétention, en détruisant la religion, d’en créer une autre, plus authentique, et de rendre un culte à Dieu (mais un dieu qui n’est pas Jésus-Christ). Dans leur tête, il faut aller à l’Armageddon pour opérer ce déicide « divin ». Le diable et son armée font le mal et détruisent le Bien, non pas gratuitement, mais pour se présenter à leurs propres yeux comme un nouveau bien réparateur, restaurateur, justicier, sauveur et encore plus divin que Dieu-même. Il est donc logique que la Bête technologique pro-diversité et gay friendly envoie les faire-parts pour l’Armageddon. Aveuglée par son orgueil, elle voit sa défaite comme une victoire. Elle tente le tout pour le tout. Elle pense n’avoir plus rien à perdre. Tout lui serait permis (même le mal) et tout serait purifié, sous prétexte d’Affirmation de Soi, de Justice, et de Lutte contre le « mal » (mal entendu comme le « rejet de toute différence »… y compris le rejet du mal !).

Publication de mon nouveau livre : HOMO-BOBO-APO !


 

Chers amis,
 

J’ai l’honneur de vous présenter mon nouveau livre : Homo-Bobo-Apo ! Vous pouvez le télécharger en version papier payante dans la boutique Kindle, ou bien le lire gratuitement ici sur écran sur le lien suivant (HBA français). L’épilogue du livre (« Homosexualité : Et si l’Église avait tort ? ») a été rajoutée dans le PDF et l’audio. Par ailleurs, vous pouvez également commander la couverture en poster, si vous voulez 🙂 : elle a été réalisée par le talentueux graphiste Rael-Miguel ! Vous pouvez aussi écouter en audio sur YouTube.
 

Mon livre devait être publié initialement aux éditions Pierre Téqui… mais comme visiblement on ne peut plus toucher aujourd’hui ni aux mouvements pro-Vie ni aux évêques, je le publie en auto-édition. Vu l’état actuel du journalisme et des maisons d’édition dits « catholiques », je ne me battrai pas. Ce n’est pas grave: c’est même un honneur pour moi d’avoir été refusé à cause de ma critique du cardinal Sarah, très franchement !
 

Comme ce livre est censuré, vous devinez bien que vous êtes ma seule communication et pub. Je compte sur vous pour le faire connaître. D’autant plus que je doute, vu les thématiques abordées (homophobie, Franc-Maçonnerie à l’intérieur de l’Église, Fin des Temps), que je sois invité en conférence ou sur des plateaux télé.
 

J’aurais aimé avoir le temps de traduire ce livre en espagnol avant mon voyage au Pérou du 1er au 10 octobre (la traduction est à 21 % : HBA español). Mais ça semble compromis. Dommage car il clarifie et synthétise tous mes livres et mon blog.
 

 

Conflit Iran-Israël à travers le cas libanais


 

Je viens d’écouter sur France Culture une émission passionnante sur l’Arabie Saoudite (en lien avec le cas libanais). Émission que je vous conseille de réécouter en podcast. Ça recoupe complètement ce que j’ai écrit à la fin de mon livre Homo-Bobo-Apo à propos du conflit mondial final entre les musulmans (bloc Iran) et les juifs sionistes (bloc israélio-américano-saoudien)… et les chrétiens (bloc libano-européen + les juifs bons et les musulmans bons) pris en étau entre les deux.

Merci Françoise Breynaert !

Franchement, sans saint Irénée, saint Augustin, saint Pierre, et surtout sans la religieuse Françoise Breynaert, jamais je n’aurais pu approcher la complexité du déroulement du Jugement Dernier, et faire la différence entre le « Royaume des Justes » (Salut partiel du Millenium et première Résurrection), le « Millenium » (Purgatoire ou alors anti-chambre de l’enfer), la « Seconde Mort » (ou Salut in extremis) et la « Résurrection de la Chair » (Vie éternelle). C’était le gros bordel dans ma tête avant ce soir. Merci Françoise !! Tu as un look de bonne soeur en civil, mais tu assures quand même !! 😉
 

N’achetez plus et ne vendez plus, la Bête (Blockchain) s’en charge pour vous


 

Des publicités du bitcoin Ethereum nous engagent actuellement à rentrer dans la Blockchain (à travers l’appli eToro) et à y devenir trader pour que, par sécurité et bénéfice matériels, nous n’ayons plus à nous soucier de ce que nous allons acheter ou vendre. Quand je vous disais que la Blockchain était la « Marque de la Bête » dont nous parle l’Apocalypse de saint Jean, sans laquelle nous ne pourrons – si nous nous y soumettons – « plus rien acheter ni vendre » car elle se chargera de tout cela à notre place…
 

« À tous, petits et grands, riches et pauvres, hommes libres et esclaves, l’image de la Bête fait mettre une marque sur la main droite ou sur le front, afin que personne ne puisse acheter ou vendre, s’il ne porte cette marque-là. » (Ap 13, 16-17)

Interview exclusive de 2h à bâtons rompus entre Nathalie Cardon et Philippe Ariño le 27 décembre à Lourdes !

 

Voici une interview exclusive de 2h. Ça passe finalement très vite. Discussion à bâtons rompus entre la journaliste Nathalie Cardon et moi le 27 décembre 2016 dernier à Lourdes, autour de trois thématiques tabous et explosives : l’homosexualité, le boboïsme et l’Apocalypse. C’est tout frais, tout chaud. À déguster sans modération :-).
 

… et pour se consoler de la disparition de beaucoup de mes vidéos Youtube qui se trouvaient sous le nom et la chaîne de mon ancienne adresse mail, désormais inaccessible et désactivée.
 

Flash infos apocalyptique de la semaine

 

Je vous propose ici un petit tour d’horizon de ce que j’ai observé cette semaine comme signes des temps derniers :
 
 

1 – Comme je vous l’écrivais déjà concernant la collaboration des « catholiques » intégristes de Civitas (ils riront de lire « intégristes », mais tant pis) au Gouvernement Maçonnique Mondial, la dernière interview d’Alain Escada sur TV Libertés (non, ce n’est pas le dernier sketch des Inconnus) ou encore la défense chevaleresque de Philippe de Villiers de l’Anneau de Jeanne d’Arc (de Là-Haut j’imagine déjà la pauvre sainte en pétard… et sans mauvais jeu de mots !) confirment que les faux prophètes du catholicisme profitent en ce moment de la grande confusion régnant dans notre beau pays de France pour jouer avec notre nostalgie passéiste de la sainteté, avec notre imaginaire moyen-âgeux (je n’ai pas dit « médiéval », vous aurez remarqué), avec nos fantasmes de changement et de royauté chrétienne. Ils font comme les bobos (bourgeois-bohèmes), version anars avec chevalière : le Christ est remplacé par la « chrétienté », c’est-à-dire par un patrimoine culturel mythique et spiritualiste (ils bouffent le Christ par les « racines »), par un messianisme conquérant et vidé de Charité. À ceux qui ont des oreilles, qu’il leur soit donné d’écouter.
 

 
 

2 – J’ai vu récemment un monument de boboïsme ou de noachisme (cette « religion naturelle » émotionnaliste et techniciste que le Gouvernement Mondial dirigé par l’Antéchrist s’apprête à mettre en place dans notre monde) à travers cette vidéo de la reprise de la chanson « Africa » de Toto par la chorale Angel City Chorale (un nom luciférien pareil, ça ne s’improvise pas !). Ces mises en scène de Communion universelle « mettront les poils » à plus d’un. Moi, personnellement, elles m’agressent. Et je n’y reconnais pas le Christ ni le Bien.
 

 
 

De catholique, il n’y a que la grande Croix en déco. Pour le reste, Jésus n’est plus annoncé, et commence à être travesti/assaisonné avec les imitations humaines de la Nature (les humains se mettent à être la pluie, le tonnerre, les animaux, les étoiles, le Cosmos…), avec un humanisme intégral world et apparemment « solidaire » (cf. voir les dangers de l’humanisme intégral exposés dans mon article sur l’Antéchrist).
 
 

3 – En ce moment, les télés, les artistes, les partis politiques sur lesquels repose le boboïsme, commencent à nous faire croire en l’existence d’un « au-delà » extra-terrestre. À travers notamment la pan-mythologie (l’Égypte Ancienne en tête) et le super-primitivisme (un retour à l’âge de pierre, mais sans Jésus et sans la Croix). Voyez la percée de ces néo-scientologues « écolos intégraux » même dans la campagne présidentielle US : ils draguent Hillary (= Il a ri). Je n’ai pas beaucoup d’argent, mais quand même une grande envie d’aller voir le nouveau film « Gods Of Egypt » qui vient de sortir au cinéma.
 

 
Apo 1 Cleopatra
 
 

4 – En constatant la récupération du lexique catholique pour des enseignes et des combats qui n’ont rien à voir (François Hollande ou le FN qui nous parlent d’« Espérance », des savons qui s’appellent limite « Saint Esprit », le développement d’un spiritualisme déchristianisé, ou bien encore des boutiques bien-être genre Nature et Découvertes qui nous invitent à « ressusciter », etc.), on a toutes les raisons de penser que « c’est la minute difficile » (expression que j’emprunte à Jean Cocteau). Oui, elle arrive très vite. Tout le boboïsme repose sur un Humain divinisé, qui se créerait lui-même par son savoir-faire, son intelligence, ses actions de solidarité, ses émotions narcissiques, la jouissance de son bien-être et de son immanence, sa perception d’un dieu énergétique « cosmique ». « Rana : une seule Vérité, le goût. » Et on y est !
 

 
Apo Esprit Saint
 
 

5 – Les primaires des élections présidentielles 2017 en France s’annoncent désertiques quant aux propositions cohérentes et aux candidats crédibles. Même Jean-Frédéric Poisson (PCD : Parti Chrétien Démocrate), qui a eu le courage de dire publiquement (cette semaine) son opposition à l’Union Civile, n’a pas compris sur quoi repose le « mariage pour tous », l’« abrogation » dont il parle tant, ni même l’Union Civile : à savoir l’hétérosexualité et la croyance en « l’amour homo ». Il ne parle jamais de ces deux piliers, ne parle jamais d’homosexualité ni d’hétérosexualité. Pour l’instant, il s’enlise donc comme les autres dans le jargon de l’humanisme intégral (idéologie très dangereuse, même si elle vante « l’écologie », « la Vie », « l’Humain ») et dans les slogans crypto-cathos pas assumés (« bienveillance », « valeurs », « convictions », « Vérité », etc.). Prêchi-prêcha creux. Une Union Civile sans filiation, ça ne peut pas exister ; une abrogation d’Union Civile sans dénonciation de l’hétérosexualité, non plus ! Quant à Jésus, Monsieur Poisson n’en parle pas davantage : il Le remplace par Ses valeurs, par un passé messianique et traditionnel aussi réel que fantasmé, par un catholicisme culturel et fort (patrimoine spirituel nommé « chrétienté », « identité chrétienne », « racines chrétiennes », etc.). PCD, tu n’auras pas ma voix.
 
 

6 – Rubrique Exhortation papale. Ouf. ! Ça fait du bien de voir des gens qui réfléchissent (… en Italie ; parce qu’en France, en ce moment, laisse béton). Un ami italien vient de m’écrire : « Amoris Laetitia it’s like a mirror in which everybody can find itself. But not Christ. » Je lui réponds avec mon pauvre niveau anglais : « Like horoscop. » Il s’esclaffe : « ahahah yes. » Il a même réussi à tout comprendre de ma réponse n°103 qui résume mon avis sur l’exhortation!
 

Pendant ce temps-là, Aleteia se transforme en vendeurs du Temple #AmorisLaetitia. Jolie gamme de cartes postales. Tout va bien. Les médias cathos jouent leur rôle.
 
Apo 2 Cartes postales
 

Et le « mariage gay » passe en Colombie (feu pays catholique) dans l’indifférence générale De ça, bien sûr, le Pape François ne parle pas et ne dénonce pas.

 
 

7 – Page littéraire, maintenant, avec trois monuments de boboïsme catho (version « nana bobo anar de droite » qui ne se dit ni de droite ni catho, mais qui revendique de draguer la droite et les cathos, de faire partie des néo-réacs, et qui même annonce triomphalement la mort du féminisme : trop original et subversif…) qui viennent de sortir : Adieu Mademoiselle d’Eugénie Bastié, Une jeunesse sexuellement libérée de Thérèse Hargot, et Adieu Simone » de Gabrielle Cluzel. Je suggère à leurs auteures – pardon… à leurs auteurs – de lire, si ce n’est pas déjà fait, les codes bobos 38-39-55 de mon livre Les Bobos en Vérité. Ça urge.
 

Sans transition aucune : plus j’assiste aux messes de l’église Saint-Roch, plus je me dis que très peu de femmes ont leur place dans les médias, en politique, et même en lecture d’Évangile. Les lectures expressives de la Bible, façon Comédie Fraaaançâââise, ça ne marche pas. Je comprends pourquoi, au long des siècles, les femmes ont été rares dans les postes d’oralité, aux affaires étrangères et extérieures. Elles sont meilleures en intériorité, en écoute et en parole gardée/méditée dans le cœur, que les hommes, qui sont faits pour la Parole déclamée. Il n’y a que des exceptions à ma remarque, me direz-vous. Mais voilà, je vois cette tendance. Et je la dis. Un texte biblique est plus beau lu par un homme.
 
 

8 – Je sais maintenant pourquoi saint Antoine de Padoue et Jésus ont insisté pour que j’aille exceptionnellement hier (samedi 9 avril) à la messe de Saint Louis d’Antin de 17h (même si j’étais explosé de fatigue) : pour recevoir Jésus, mais aussi pour que j’entende l’annonce de la conférence sur le « Purgatoire » (lieu où nous passerons tous plus ou moins rapidement les jours précédant notre mort) mercredi 13 avril prochain à 15h30, dans les salles paroissiales. Merci Jésus ! Et à vos agendas ! Un ami m’a donné une belle image pour comprendre le purgatoire : « Le Purgatoire, c’est un peu comme quand tu vois une très belle fille et que tu te dis… non, je ne peux m’en approcher, je suis trop moche pour elle… je dois aller me relooker. »
 
 

9 – J’ai remarqué dans le Nouveau Testament que les rares fois où Jésus sollicite saint Philippe, c’est pour l’éprouver douloureusement avant de le soulager, lui poser des fausses questions qui ressemblent à des vraies, pour blaguer sérieusement avec Lui, le tester sur sa Foi. « ’Seigneur, montre-nous le Père ; cela nous suffit.’ Jésus lui répond : ‘Il y a si longtemps que je suis avec vous, et tu ne me connais pas, Philippe ?’ » (Jean 14, 9) ; « Jésus dit à Philippe: ‘Où pourrions-nous acheter du pain pour qu’ils aient à manger?’ Il disait cela pour le mettre à l’épreuve. Car Il savait bien, Lui, ce qu’Il allait faire. » (Jean 6)
 

Maintenant que je vois comment Jésus s’y prend avec mon Saint Patron, je me surprends à sourire dès que je souffre, que je suis tourmenté intérieurement, ou quand je Le vois sur une icône ou sur la Croix. Je sais qu’Il joue le mort ou la persécution, quand en réalité Il me fait une discrète facétie, Il me regarde.
 
 

10 – Jeudi 7 avril, alors que je montrais quelques signes de découragement intérieur (mon ordinateur qui me lâche la veille, des tentations amoureuses exceptionnelles, etc.), je me suis rendu à la messe de 8h à Notre-Dame de Paris. Ce fut incroyable. Tout ce dont j’avais besoin m’a été donné en surplus. Une homélie d’un jeune prêtre béninois, le père Sosthène Godjo, qui a eu l’inspiration de nous dire que seul le nom de Jésus compte, que seule la relation à Jésus compte (plus encore que ses commandements, que sa théologie, que le sens de ses paroles, que les grands débats). C’est tout simple. Dites JÉSUS. « Je vais peut-être vous scandaliser en disant ça. Mais l’essentiel, c’est la personne de Jésus. C’est le nom de Jésus. C’est la relation à Jésus. Pas ses commandements. Pas la connaissance de ses préceptes. » Merci père Sosthène. Merci Jésus.
 
 

11 – J’ai été quelque peu halluciné de la prose indignée de certaines Drama Queens cathos (qui par ailleurs défendent l’Union Civile sans problème) à propos d’un passage radiophonique sur RCF de l’évêque de Pontoise. Parce que ce dernier n’a pas hurlé contre la pédophilie exactement comme les autres loups à l’extérieur et dans l’Église, qu’on l’amène au bûcher !! Alors tout mon soutien à Mgr Lalanne. Pour moi, il n’y a eu aucun dérapage de sa part (distinguer la faute du péché, c’est subtil mais c’est du Verlinde). En revanche, l’hystérie des communicants cathos actuels autour de son soi-disant « problème de com », de son « manque d’accessibilité et de clarté », de sa « maladresse » et de sa soi-disant « connerie » (car si les gens d’aujourd’hui ne comprennent pas les choses intelligentes et parfois nuancées qu’on leur dit, c’est nous les cons et les « gaffeurs » maintenant !), ça, oui, c’est un début de vrai dérapage.
 
 

12 – Je termine ce flash-infos par ces images prises en France et en Europe, et qui exhalent un parfum de guerre civile européenne dont je ne me réjouis pas, et contre laquelle je prie. Car la seule solution, plus que jamais, c’est la prière, dorénavant.
 
Apo 3 Guerre civile deux
 
Apo 3 Guerre civile un
 
Apo 3 Guerre civile trois
 
Apo Lévy Europe

La Bête dit de plus en plus qui elle est

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Croyez-vous que la Bête (de l’Apocalypse) se cacherait ? Pas du tout. Elle agit de plus en plus à visage découvert, en se disant que « plus c’est gros plus ça passe », que la honte de sa défaite cuisante contre le Christ sera miraculeusement effacée et blanchie par l’exhibition de sa fierté décontract et de sa monstruosité, par une soi-disant « transparence » ou « franchise » par rapport à son identité. Après s’être longtemps caché pour agir dans l’ombre et fomenter son imposture dans des loges, l’Antéchrist s’imagine qu’en s’affichant toujours davantage tel qu’il est, en annonçant cash son nom et ses chiffres (666), il sacrera son innocence et deviendra insignifiant et familier aux yeux du monde.
 
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