Je regarde le concert des Enfoirés chaque année, car ils sont un étonnant baromètre social. Et cette année, c’est fou le net virage spiritualiste qu’ils ont pris en direction de la Nouvelle Religion mondiale (Franc-Maçonnerie et satanisme, sur fond d’homosexualité à tous les étages) : ésotérisme, teinte rougeoyante/sataniste de presque tous les tableaux, magie rouge et noire (dite « magie méchante »), mentalisme, dithéisme (manichéisme de l’équilibre, visages coupés en deux), gants blancs dans beaucoup de chansons, réunions de confréries mystiques secrètes, nombreuses références à la Bête, numérologie avec des 666 cachés et tacites, tribalisme, anti-fascisme et Guerre Mondiale, folie pour la transformation, communication avec l’au-delà et les défunts (les zombies ou revenants ont débarqué plusieurs fois), cercles de libertins dix-huitièmistes (masqués, avec clowns démoniaques chantant les démons de minuit), symboles de films d’épouvante, promo de l’adultère et destruction du mariage, bougies maçonniques tout le temps, la Bête et les chimères, transgression de la différence des sexes (et des générations, des espaces, de la différence Créateur-créatures), culte luciférien de la lumière et de l’onirisme, etc. « On fait le show avec le visage ensoleillé, main dans la main pour faire rêver. C’est le message des Enfoirés. Chante pour allumer ces bougies qu’on a laissées dans le noir. » Belle Chaîne d’Union maçonnique finale. Clairement sidérant. L’Antéchrist est sur le point d’arriver avec sa religion antithéiste. Et personne ne voit, ne dénonce. Franchement, pauvre Coluche, il doit halluciner de voir que les Enfoirés, en jouant les Résistants contre le fascisme (alors qu’ils sont l’incarnation de ce dernier, et de la bien-pensance bourgeoise anti-fasciste), sont réellement devenus des enfoirés au sens propre.
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Les ondes, espace des démons
J’ai maintenant la confirmation que les ondes (électromagnétiques, radiophoniques, etc.) – qui passionnent tant actuellement les scientifiques francs-maçons – sont les vecteurs ou les canaux de communication avec les démons ou les esprits des âmes damnées. Même les ondes dites « positives ». Ce soir, dans le film « Le Labyrinthe 2 » diffusé sur TF1, un des personnages (Jorge) a déclaré qu’il lui arrivait d’entendre « sur les ondes papoter les fantômes ». Et j’ai vu dernièrement dans une série espagnole une adolescente qui était contactée par des âmes défuntes qui essayaient d’entrer en communication avec elle via sa C-B radio. Je sais qu’en ce moment, certains scientifiques-médiums cherchent dans les ondes un moyen de rentrer en contact avec des entités énergétiques occultes, et même « extra-terrestres ». Et je vois qu’il s’agit, derrière l’excuse scientifique ou médiatique ou humanitaire/optimiste, d’un spiritisme masqué proche du satanisme.
Star Wars, vitrine publicitaire de la Franc-Maçonnerie à la Grande Loge de France
Je me suis rendu cette après-midi à la « rencontre publique » dédiée à Star Wars intitulée « Force et Lumière », appelée « triangulaires », qui a eu lieu à la Grande Loge de France (rue de Puteaux)… et non au Grand Orient comme au départ je l’avais cru. Ce qui m’a permis de découvrir un niveau temple franc-maçon ! Chose étonnante : contrairement au GODF, il y a sur les lieux de la GLDF énormément de vestiges catholiques, mais soit détournés (des dessins humoristiques de saints devant une photocopieuse, des croix chrétiennes mais sans référence à Jésus, etc.), soit carrément jetés aux oubliettes (par exemple, la Croix du Christ a fini aux toilettes…). Le temple où s’est tenue la triangulaire est une réplique d’une église catholique, mais sans statues (à la place, il y a des écussons), sans transept, avec des vitraux vides d’illustrations.
Je n’aurai pas le temps de faire un descriptif détaillé des trois topos que j’ai entendus. Seul le premier, celui de Frédéric-Pierre Isoz de Bex, qui est ouvertement franc-maçon, a vraiment retenu mon attention. Les deux autres conférences (de Sébastien Galano, puis celle du Dr Stéphane Sarrade, savant qui se présente comme un « optimiste ») étaient moins riches en informations… mis à part l’étonnant développement du chimiste concernant la bière (Cela confirme ce que j’écris sur le bobeauf catho hétérosexuel et également sur la substitution chez les francs-maçons du Sang du Christ par la bière).
Néanmoins, voici quelques points qui m’ont marqués dans cette Opération Séduction, et qui viennent compléter mon article sur les liens entre hétérosexualité, Franc-Maçonnerie et Star Wars :
– L’orgueil intrinsèque à la Franc-Maçonnerie : Frédéric-Pierre Isoz de Bex a dit que le but de l’initié maçon, c’est de « pratiquer la Justice en devenant sa propre Vérité ».
– Les francs-maçons pastichent l’Église Catholique, ne serait-ce que dans les mots et valeurs des bobos cathos : notamment, ils défendent la « transmission » (« La transmission est au centre de l’équilibre de la Franc-Maçonnerie » a déclaré Isoz de Bex), l’« Espérance », la « Vie », la « culture » (qu’ils présentent comme une « contre-culture »), l’« humilité ». La lumière qu’il vénère n’est évidemment pas Jésus mais, selon eux, la « connaissance ».
– Les francs-maçons défendent ouvertement l’homosexualité (et c’est un de leurs combats centraux) : Frédéric-Pierre Isoz de Bex a présenté la passion amoureuse, les sentiments humains, comme l’« Amour » suprême : il a affirmé que « l’amour profane qui unit un homme et une femme, ou un homme et un homme, ou une femme et une femme – peu importe – est l’amour absolu ».
– Il a été question de « transhumanisme » (« L’Homme augmenté »), d' »états de conscience », donc d’expansions de conscience, de sacralisation de la conscience humaine : « L’esprit est supérieur à la matière. » (Sébastien Galano)
– Les francs-maçons honnissent le mot « outil » (logique utilitaire, individualiste, synonyme de « se servir ») pour lui préférer le mot « instrument » (synonyme de « servir »). Dans leur masturbation intellectuelle sophiste, ils aiment bien distinguer des concepts (par exemple « la vie » et « le vivant ») pour prouver qu’ils sont intelligents et gnostiques.
– L’« Imaginaire » (l’autre nom du diable) a été maintes fois répété et est vénéré.
– Dans la pensée franc-maçonne, il n’y a pas du tout de place faite au pardon (contrairement au catholicisme, où l’ennemi reste un frère, est humanisé, recherché et pardonné). Selon Frédéric-Pierre Isoz de Bex, par exemple, « Dark Vador n’est rien. Le mal est anonyme. En Franc-Maçonnerie, pour nous, servir nos mauvais compagnons, c’est nous dissoudre ». L’ennemi est « désubjectivé », annihilé au sens propre du terme : il perd son statut de sujet et de personne.
– La Franc-Maçonnerie refuse l’Esprit Saint et la prière : « La paix ne se gagne pas uniquement par la prière. » (Frédéric-Pierre Isoz de Bex a sorti cette phrase, et a été copieusement applaudi). Elle refuse encore plus l’activité des hommes et des femmes de prière. « L’ascétisme conduit à la mort. » (Frédéric-Pierre Isoz de Bex) Les francs-maçons s’intéressent à l’Apocalypse, qu’ils appellent « Le Livre de Jean », mais écartent son « interprétation confessionnelle » (autrement dit sa version catholique), pour ne voir l’Apocalypse que comme un livre de symboles et de mythes. On sent dans leur discours un profond anticléricalisme, une haine de l’Église Catholique Institution.
– La Franc-Maçonnerie refuse les limites et surtout la notion d’inéluctabilité, d’irréversibilité, d’arbitraire christique, refuse toute idée de finitude, et la radicalité du Jugement Dernier de Jésus. Selon les francs-maçons, rien n’est établi, rien n’est définitif. Ils vouent un culte à l’absence de regrets (il ne faut surtout rien regretter!! Ce serait un terrible aveu de culpabilité !! La culpabilité, vous savez, cette horreur qu’auraient créée les catholiques…), ou bien un culte à la « Deuxième Chance » (leitmotiv du téléfilm Joséphine ange gardien ; bizarrement, il n’est jamais question de la troisième, la définitive, celle donnée par Jésus), un culte au « Il n’est jamais trop tard ». Leur refus du jugement, et plus profondément du Jugement Dernier (où il y aura un « C’est trop tard » qui générera une joie éternelle ou des pleurs et des grincements de dents éternels aussi) est leur orgueil. Il y aura une Fin des fins. Pas de rattrapage (Le rattrapage du purgatoire est déjà le Salut). La Porte du Royaume se refermera (à l’entrée du purgatoire et du Ciel). Et pour toujours. C’est la radicalité de la Croix. C’est la Justice tranchante de la Vérité-Charité qui est Jésus. Il n’y a pas d’Amour sans Justice, sans séparation nette, radicale et définitive entre le Bien et le mal.
Dans l’assistance, quand les questions des néophytes profanes fans de Star Wars étaient trop orientées sur le film en lui-même, et que Star Wars perdait son statut de prétexte publicitaire pour imposer discrètement l’idéologie maçonnique, étaient préposés au recadrement et au recentrement du débat sur l’objectif final – FAIRE CONNAÎTRE LA FRANC-MAÇONNERIE – différents initiés dispersés savamment dans la salle. Ces derniers avaient été, je crois, préalablement briefés à ce dressage, et je parie que la grande majorité des auditeurs profanes n’a vu que du feu à cette manipulation, au lavage de cerveaux, et à l’obsession chez leurs hôtes d’absolument faire fusionner la saga Star Wars avec la « grandeur » de la Franc-Maçonnerie. Beau moment « convivial » de manipulation de masse !
La Franc-Maçonnerie parraine Star Wars… oh quelle surprise…
On (dont beaucoup de cathos tradis beaufs) me prend parfois pour un parano, avec mes histoires d’Antéchrist et de Franc-Maçonnerie. Comme si je les voyais partout où ils ne seraient pas. Mais regardez : ils ne se cachent même plus! Le 3 février prochain, à la Grande Loge de France, ils organisent carrément des portes ouvertes gratos sur le thème de « Star Wars », comme je l’avais annoncé depuis longtemps avec le prisme de l’hétérosexualité. Je pense que j’irai… même si je déteste « Star Wars » et son pouvoir d’attraction beauf hétérosexuel.
La franchise, c’est franc-maçon
Ça peut paraître un raccourci, mais « la franchise c’est franc-maçon ». C’est ce que m’a dit avant-hier de manière ramassée et quasi solennelle une amie aveugle, qui m’a avoué que depuis je l’avais reprise dès qu’elle prononçait l’adjectif « sincère » ou « franc » comme quelque d’absolument positif, ça l’avait perturbée fortement… car elle a passé 20 ans de sa vie à se valoir de la franchise pour agir et parler aux gens, et elle n’avait jamais fait le lien entre franchise et Franc-Maçonnerie avant de m’avoir entendu le faire (Je lui racontais que je relevais toutes les mentions à la « franchise » dans la série « Joséphine Ange-gardien). Ça m’a surpris et émerveillé, sa docilité et sa capacité de synthèse. Elle m’a fait mourir de rire en me déclarant d’un air coquin, sans me fixer du regard: « Maintenant, je ne dirai plus que je suis franche. Plus jamais. Moi, la Franc-Maçonnerie, j’aime vraiment pas ça. Et je veux pas être franc-maçonne ! » C’est vrai. Être franc ou sincère, c’est franc-mac. Soyons au contraire vrais comme Jésus.
Film « Cendrillon » sur M6 : beau miroir du néo-nazisme international actuel
Je regarde pour la première fois, et en direct, « Cendrillon » sur M6. Je ne vais pas pouvoir écrire tout ce que je vois, car sinon, j’y passerais des heures, et je ne peux pas faire des articles sur tout. Mais voilà, c’est incroyable tous les codes bobos, francs-maçons et aussi antéchristiques qu’il y a (notamment sur le digital, le noachisme, l’ésotérisme, la Nouvelle Religion mondiale…) ! Le mot d’ordre, c’est « Il faut être courageux et bienveillant » : c’est une définition exacte de l’humanisme intégral, l’autre nom de la Bête. Il est question de la « Guilde des marchands de tissus », de « force au bout du doigt », de « croire en tout » (et notamment aux fées et au langage des animaux), de la bonté qui sauve le monde, de la jouissance d’être soi-même, de la toute-puissance de la foi et de la magie (et même du pardon), du Prince qui se présente comme un « apprenti » puis un « apprenti Prince qui n’en finira jamais d’apprendre », etc. Et sans s’en rendre compte, les antifascistes moralisants d’aujourd’hui reproduisent ce qu’ils croient dénoncer. Nous revenons en plein temps du nazisme (national-socialisme), sauf que cette fois, c’est l’international-socialisme, à la sauce digitalisée. Vous voulez un exemple, un seul ? Hitler, en son temps, avait interdit la chasse à courre, pour ne pas tuer les animaux… et c’est exactement ce que défend Cendrillon.
Publicité Leroy Merlin : toutes les étapes de la démarche franc-maçonne sont dévoilées
« Avoir un projet. Et un jour, se lancer. S’inspirer. Faire soi-même. Construire sa maison, c’est se construire un peu plus chaque jour. Un projet c’est toute une aventure, ça commence par une idée qui peut venir de vous, de nous et nous serons toujours là pour vous accompagner. Ce ne sera pas toujours facile, mais vous pourrez en être fier. Et nous mettrons toute notre énergie au service de la vôtre pour vous accompagner dans cette aventure. Leroy merlin : et vos projets vont plus loin. » C’est exactement le discours que j’étudie et identifie en Franc-Maçonnerie et dans Joséphine Ange gardien.
Par ailleurs, le 666 commence à faire de plus en plus ouvertement son apparition. Hier soir (30 décembre 2017), lors de l’émission The Wall sur TF1, l’humoriste homosexuel Jean-Phi Janssens, ex-steward, au moment d’introduire ses 3 boules, les a placées dans le chiffre 6, en se signant…
Walt Disney, franc-maçon ?
Wikipedia nous dit que l’appartenance de Walt Disney à la Franc-Maçonnerie est une rumeur insensée. La question n’est pas nouvelle. Mais elle est souvent mal traitée. À mon avis, il ne faut pas chercher la Franc-Maçonnerie chez Disney dans les détails trop matériels ou trop visuels (ex : le positionnement des doigts, les gants blancs de Mickey, les équerres et les compas, le pavé mosaïque, les méchants de Disney étiquetés diaboliques, etc.) mais davantage dans les idées, souvent hyper positives et bien intentionnées.
En effet, ce qui caractérise l’idéologie franc-maçonne (comme je l’explique dans mon livre Homo-Bobo-Apo), c’est, entre autres :
1) le lexique de la lumière (et également celui de la force, de l’électricité, de l’énergie, de l’astrologie).
2) le lexique de la construction et de l’architecture (notamment par le recours à l’alchimie, à l’hermétique et aux déplacements de conscience qui transformeraient le cœur humain en cube d’or). La Franc-Maçonnerie défend l’idée que l’Homme se construirait Lui-même par sa propre sincérité/franchise et se sauverait par ses propres actes de solidarité.
3) le lexique de l’humanisme intégral (les valeurs du Christ mais sans le Christ ; le processus de création, de changement et d’amélioration de l’Homme par Lui-même ; la défense de la paix, mais non celle du Christ ; l’optimisme et l’espoir, remplaçant l’Espérance et la Résurrection) et du spiritualisme intégral (comme si nous étions des anges + manichéisme basé sur le dithéisme, comme si le bien et le mal étaient deux forces antagonistes et complémentaires qui s’équilibreraient l’une l’autre).
4) le primat de la subjectivité personnelle (la franchise, la sincérité, les rêves, les projets, la volonté, les sentiments amoureux, l’impression, la conscience) et l’idéologie du non-renoncement (Pour être libre, il ne faudrait renoncer à rien, ni même au mal et surtout pas à soi-même.
5) l’anticatholicisme, le satanisme et le noachisme (le remplacement de l’Homme par la nature et les animaux ; le retour au temps de Noé).
6) la promotion de l’hétérosexualité (toutes les différences sauf la différence des sexes dans le mariage et sauf la différence Créateur-créatures à travers Jésus et l’Église Catholique) et de l’homosexualité. J’ai développé dans Homo-Bobo-Apo pourquoi l’hétérosexualité était le pilier de la Franc-Maçonnerie mondiale.
C’est exactement cette idéologie que l’on retrouve chez Walt Disney et dans ses films :
1) « Quand on prie la bonne étoile » de Jiminy Grillon est la chanson-phare de l’Empire Walt Disney. Et la Fée bleue qui est priée est la fée Électricité. À ce propos, beaucoup de chaînes d’Union (rituel maçonnique appelé aussi égrégore) sont visibles dans les grands classiques Disney.
2) La toute-puissance de la conscience est parfaitement bien représentée par la figure de Jiminy Grillon, le cricket de « Pinocchio ». D’ailleurs, à l’issue de ce film, comme par hasard, le petit insecte reçoit à la place du cœur une médaille plaquée or (« Magnifique ! De l’or contrôlé ! » s’écrie-t-il).
3) Ce sont les valeurs d’amour, de paix, de justice, de respect, de tolérance, de vie, qui sont défendues par Disney. Mais pas du tout la paix divisante et crucifiante de Jésus. Et bien sûr, Jésus n’est jamais nommé par Walt Disney. Il est juste suggéré : « L’esprit d’amour, l’enfant qui naît, sont des trésors qu’il faut garder. Que la paix soit éternelle. » (cf. « Belle Nuit » de « La Belle et le Clochard ») De même que la Franc-Maçonnerie vise l’amélioration, le changement et la création de l’Homme par Lui-même, Walt Disney est obnubilé par l’amélioration humaniste : « Quand je vais faire un tour, je pense toujours à quelque chose qui ne va pas et à comment cela peut être amélioré. »
4) Il est difficile d’ignorer dans la cosmovision de Walt Disney la prévalence de l’onirisme, du rêve, de la volonté personnelle, de l’esprit d’enfance, sur la réalité. « Si vous pouvez le rêver, vous pouvez le faire. » « Tous nos rêves peuvent devenir réalité, si nous avons le courage de les poursuivre. »
5) Toute l’œuvre de Disney transpire l’ésotérisme, le noachisme et le satanisme. Quand on proposa à Walt de réaliser des films sur la religion, il refusa. Bien que baptisé chrétien (chez les protestants), il ne mettait pas les pieds dans les églises et ne pratiquait pas. En revanche, dans ses Silly Symphonies, il se réfère à la Bible, mais seulement pour s’intéresser à Satan, Hadès, ou bien l’Arche de Noé. Question Franc-Maçonnerie, Walt Disney faisait partie d’une loge franc-maçonne connue : Demolay. Il développa une véritable fascination pour la figure d’Abraham Lincoln, le maître des Droits de l’Homme et des Lumières aux États-Unis : quand son studio créa le premier personnage humain totalement fonctionnel d’audio-animatronic pour la foire internationale de New York (1964-1965), Walt Disney lui donna les traits d’Abraham Lincoln ! Et quand on regarde la Walt Disney Company, tout son fonctionnement et ses codes obéissent au fonctionnement et aux codes d’une obédience franc-maçonne : son noyau d’animateurs (que Disney a lui-même baptisé Les Neuf Sages) avec ses tables de la loi (les 12 principes de l’animation), les imagineers (planificateurs et ingénieurs de Disney), la prépondérance de la magie (blanche, rouge et souvent noire), la place des héros et des légendes, le lexique de la quête, l’invocation d’esprits (parfois des défunts, des marabouts, des génies, des feux follets, des demi-dieux), etc.
6) De plus en plus chez Disney, l’amour n’est plus relié à la différence des sexes, et encore moins au mariage, mais juste au culte de la diversité, des « libertés » (« Libérée, délivrée !!! ») et des différences en elles-mêmes. L’anticonformisme et le désir d’autonomie du héros le poussent à croire en l’auto-suffisance et en sa divinité individuelle qui se diluera dans un grand tout énergétique. Quant à l’homosexualité et à la transidentité, elles sont chaque fois plus visibles chez les personnages secondaires des films Disney.
« Le Crime de l’Orient-Express » de Branagh : film à la plus grande gloire de l’Antéchrist, et annonciateur de la Fin des Temps
Je reviens d’aller voir « Le Crime de l’Orient-Express » (2017) de Kenneth Branagh. Aussi étonnant que cela puisse paraître, c’est un parfait indicateur de l’imminence de la Fin des Temps, mais également un excellent portrait-robot de l’Antéchrist à travers la figure du détective Hercule Poirot, le justicier gnostique et omniscient :
– Comme par hasard, le film démarre à Jérusalem, au Mur des Lamentations (lieu de l’Armageddon final), où se trouvent mis sur le banc des accusés d’un vol de relique (porteuse d’un rubis, placée au Saint Sépulcre) les représentants des trois religions monothéistes du Livre : un rabbin (pour le judaïsme), un prêtre en soutane (pour le catholicisme) et un imam (pour l’Islam). Hercule Poirot, maintes fois appelé accidentellement « Achille » par les personnages du film (comme s’il était un demi-dieu grec), a la tâche de démasquer le coupable de ce vol. Et il désignera finalement le sergent qui lui a confié l’enquête. La caractéristique de l’Antéchrist, c’est qu’il se placera en grand justicier qui épargnera en apparence la forme cultuelle, institutionnelle et rituelle des trois grandes religions mondiales, pour d’une part se désigner un ennemi caricaturalement diabolique (ici, le sergent ; puis Edward Ratchett, l’homme au visage mutilé ; puis enfin l’Humanité pécheresse) qu’il vaincra aux yeux de tous et qui le fera passer pour Dieu, et pour d’autre part écrabouiller secrètement Jésus et l’Église Catholique. Poirot est vraiment présenté comme Jésus lui-même : « Monsieur Poirot, je dois calmer une dispute entre trois religieux. Si vous voulez accomplir un miracle, c’est maintenant. » (Pierre Michel à Poirot). Le début de cette adaptation du « Crime de l’Orient-Express » est une préfiguration de ce qui se passera à la Fin des Temps, à la bataille d’Armageddon qui se déroulera près de Jérusalem, la ville sainte. Jérusalem est l’objet de toutes les convoitises, puisqu’il s’y trouve d’une part le Mur des Lamentations (juifs), l’Esplanade des Mosquées (musulmans) et le Saint Sépulcre (tombeau du Christ pour les catholiques), bref, le Temple de Jérusalem (pour les trois religions). Et l’Antéchrist va arriver en grand ordonnateur pour opérer un soi-disant miracle : celui d’incarner Dieu à la place de Dieu, en séduisant les cultes traditionnels, et en présentant Jésus comme le diable qu’il terrassera en apparences.
– Dans le film, il est fréquemment fait référence à l’eschatologie, c’est-à-dire au Jugement Dernier et à la Fin des Temps (sauf que ce jugement est laissé au détective et non à Jésus). « Le monde se dirige vers sa destruction. » (Poirot). Par exemple, M. Bouc annonce à Poirot qu’il va « voir des gens jusqu’à la Fin des Temps ».
– Hercule Poirot ne se prend pas pour de la merde et n’est pas pris pour de la merde. « Je m’appelle Hercule Poirot. Et je suis sans doute le plus grand détective du monde. » Il se considère comme Dieu. Il voit le monde à l’image de sa propre volonté et de sa connaissance : « J’ai cet avantage de voir le monde tel qu’il devrait être. » Il est même dit que Poirot « voit dans les âmes », est un « détective de génie » (Marie) : « Ça sert à rien de mentir, mon amour. Il peut voir à travers nous. » (Lucy à Serguei en parlant de Poirot) Il se prend pour un grand visionnaire, à l’exactitude mathématique : « J’avais raison dans mes prédictions. » C’est un homme autosuffisant : « Je ne suis jamais mieux que seul. » Il se place en séparateur implacable et méthodique du bien et du mal, sans pardon possible, sans purgatoire : « Il y a un bien, il y a un mal, il n’y a pas de juste milieu. » (Poirot) Il est considéré par le méchant officiel de l’histoire – Ratchett le balafré – comme son Archange : « Je voudrais vous engager pour veiller sur moi. » Non seulement Poirot ne l’aidera pas, mais il laissera faire le meurtre de cet homme par personnes interposées. Ratchett incarne la caricature du mal, avec ses « péchés mignons », et qui sera punie. Mais le véritable Antéchrist, c’est le mal déguisé en vérité, à savoir l’Hercule Poirot de ce film, qui se sert de sa lutte contre un diable fantasmé, pour finalement devenir secrètement ce diable au-dessus de tout soupçon : « On dit des mensonges. Deux personnes s’en rendront compte : votre dieu et Hercule Poirot. » (Poirot) Il est Lucifer, un ange de lumière qui brille par son intelligence et sa connaissance (gnose), à défaut de briller par l’amour de Jésus : « Vous êtes un homme terriblement brillant. » (Caroline Hubbard à Poirot) C’est l’apôtre de l’espoir (« Avec l’espoir au cœur » dit-il), du rationalisme (« J’ai placé un fol espoir sur l’ordre, la méthode et les petites cellules grises » rajoute-t-il), de l’équilibre (« Il me faut apprendre avec le déséquilibre… » concluera-t-il, la mort dans l’âme), de la connaissance absolue et arithmétique (« J’ai toujours été sûr. Trop sûr. Et maintenant, j’ai honte, tel un petit enfant : je ne sais pas. »), de la conscience (« Où est la conscience, alors ? »), de la vérité vraie (« Bouc peut mentir. Moi, je ne peux pas. »), de la paix (à défaut de la paix de Jésus : « Puissions-nous trouver la paix. »).
– L’Antéchrist est cet homme qui s’absout et se culpabilise lui-même, en se rendant détenteur de ses péchés au lieu de les laisser à Jésus. À ce titre, le docteur Arbuthnot imite Poirot : « Mes péchés sont les miens. Et je les paierai seul. »
– Bouc est l’assistant de Poirot. Un nom pareil, ça ne s’improvise pas ! Le bouc est l’animal traditionnel du diable.
– La Bête de l’Apocalypse est parfois visible dans le film : c’est le dragon du kimono rouge, ou bien encore le train. D’ailleurs, Hercule Poirot incarne cet esprit maléfique habitant le robot d’acier : « Je sens quelque chose de malfaisant dans ce train. » (Poirot)
– On retrouve dans ce film le jargon classique de la Franc-Maçonnerie : lexique de la lumière et de l’alchimie (« Vous règlerez la flamme maintenant. » dit Poirot à Bouc ; « On cherche la vérité de l’intérieur et non de l’extérieur. », Poirot), lexique de l’architecture (« Pour bien sonder la nature humaine, il faut les bons outils. » déclare Poirot), lexique de l’humanisme intégral (progressiste et mélioratif : « Nous devons être meilleurs que les bêtes. », Poirot), lexique du superprimitivisme (ex : Ratchett est antiquaire ; et tout le film est placé sous le sceau de l’archéologie).
– Le personnage qui a tout manigancé pour tuer Ratchett, c’est la Veuve (Michelle Pfeiffer). Et comme par hasard, le Fils de la Veuve est le mythe fondateur de la Franc-Maçonnerie, comme l’explique parfaitement Jean-Claude Lozac’hmeur. « C’est elle, Lucifer, et nous devons tomber. » (Pilar).
– Hercule Poirot est fasciné par la division… tout comme le Diviseur. « J’ai touché du doigt la fracture de l’âme humaine. » Il s’attache à prouver l’ambiguïté paradoxale du mal, sa fêlure, sans pour autant la guérir. Il est irrésistiblement aspiré par le génie des grands criminels, au point de compatir/louvoyer avec lui.
– À l’issue du film, Poirot est le diable conviant à sa table ses 12 disciples (comme une Sainte Cène inversée), qui sont tous des assassins qu’il finit par absoudre de leur crime collectif. « Il y avait le bien. Il y avait le mal. Maintenant, il y a vous. » (Poirot à toute sa petite cour de criminels archétypaux sans identité et sans psychologie, cour qui échappera à sa justice divine) ; « Il n’y a pas d’assassins ici. » (idem).
– Poirot représente véritablement l’Antéchrist dans la mesure où il est cet Ambassadeur de la justice sans amour. D’ailleurs, à la fin, il quitte l’Orient-Express sans avoir rendu service à la Vérité et sans avoir fait appliquer la justice. Les criminels se séparent de leur gourou flegmatique et muet à propos du meurtre réel qui a été commis : « Vous êtes le seul à pouvoir apporter la justice. » (Bouc à Poirot)
« Le Crime de l’Orient-Express », même si c’est un mauvais film, est très instructif. Je ne suis pas sûr que beaucoup de spectateurs allant le voir identifieront le sous-texte antéchristique, franc-maçonnique et eschatologique. Beaucoup n’y verront qu’une énième adaptation « class » de l’œuvre d’Agatha Christie. Mais je m’adresse aux autres – aux non-snobs – et aux croyants en Jésus. Car Jésus n’a jamais été aussi proche, et autant annoncé par les œuvres cinématographiques les plus anodines qui soient.
Qui a écrit le discours du Pape François sur l’Europe ?
Qui écrit les discours papaux ? Parce que là, le Pape doit se réveiller sérieusement car il marche à la botte des francs-maçons de la Curie.
Je me penche par hasard sur le discours du Pape François, donné il y a 3 jours, devant la COMECE (Commission des Épiscopats de la Communauté Européenne) et juste après le cardinal Marx (ça ne s’improvise pas, un nom pareil… ! En plus, ce cardinal applaudit Emmanuel Macron, et est lui-même applaudi par les journalistes « chrétiens » francs-maçons tout droit sortis des écoles d’ingénieurs des Arts et Métiers… : tout va bien). Et franchement, vous voulez mon ressenti profond ? Je suis affolé. J’espère que ce n’est pas le Pape en personne qui rédige ses discours. Ou alors on est mal. Je crois plutôt que ce sont les cardinaux les plus francs-maçons qui soient qui les lui pondent… et que le Pape, pour l’instant, ne tilte pas. J’ai écrit, dans mon dernier livre Homo-Bobo-Apo : « Le Pape François continuera à diriger tant bien que mal l’Église. À un moment donné, il se laissera piéger par les traîtres qui l’entoureront et prendra une mauvaise décision. J’ai appris par une personne en odeur de sainteté, que prochainement, la très grande majorité des évêques allait signer un contrat avec le Gouvernement Mondial… et que seuls deux ou trois d’entre eux auront la force de s’y opposer. Le Pape finira par s’en rendre compte et cherchera à faire marche arrière. » (p. 308) Je ne pensais pas que ce serait si vrai si vite !
J’ai lu en entier son 5e discours du 28 octobre dernier, et ce qui ressort, c’est qu’il emprunte tout le lexique de la Franc-Maçonnerie. Il faut savoir que la Franc-Maçonnerie mondiale appuie son idéologie de la construction, de l’amélioration et du Salut de l’Homme par Lui-même et par ses propres actes de solidarité, sur 3 lexiques principaux : la lumière, l’architecture (construction) et l’humanisme intégral (les valeurs du Christ sans le Christ). Dans le récent discours du Pape, c’est un festival franc-maçon :
– Il emploie (j’ai compté) 10 fois le verbe « construire ». Rien que ça… (« se construiront », « construit », « construire », « contribuer à construire » « un lieu de dialogue, à la fois sincère et constructif » « le rôle positif et constructif de la religion », « constructif », « Dans un cas, on détruit les ponts et dans l’autre, on construit des murs », « la construction d’un monde toujours plus humain », « construisent les maisons ».
– Le Pape parle Lumières. Il appelle à « éclairer la voie de l’avenir de l’Europe ». Le champ lexical de la lumière et du tissu, comme je l’écris dans mes livres sur la Franc-Maçonnerie, vont souvent de pair : « Sans éducation, la culture ne se forme pas et le tissu vital des communautés se dessèche. »
– Le Pape centre tout son discours sur l’Homme et ses valeurs humanistes, sans jamais parler de Jésus (L’humanisme intégral, je le rappelle, est l’autre nom de la Bête de l’Apocalypse) : « défis », « processus » ; « valoriser les différences », « œuvrer pour promouvoir la personne humaine dans sa perfection, ainsi que pour assurer le bien de la société terrestre et la construction d’un monde toujours plus humain » ; « ‘Développement’ est à entendre dans le sens que le bienheureux Paul VI a donné à ce mot : ‘Pour être authentique, il doit être intégral, c’est-à-dire promouvoir tout homme et tout l’homme.’ » ; « Ce qui compte pour nous, c’est l’homme, chaque homme, chaque groupement d’hommes, jusqu’à l’humanité tout entière. », « développement humain »,
– Le Pape dit des phrases au mieux apprises, au pire incompréhensibles : « Personne et communauté sont donc les fondements de l’Europe que, en tant que chrétiens, nous voulons et pouvons contribuer à construire. Les pierres de cet édifice s’appellent : dialogue, inclusion, solidarité, développement et paix. » ; « Être dirigeant exige des études, de la préparation et de l’expérience. » ; « Redevenir une communauté solidaire signifie redécouvrir la valeur de son propre passé, pour enrichir le présent et transmettre à la postérité un avenir d’espérance. » ; « [Nous devons] affirmer le droit à la paix. C’est un droit. » (Depuis quand la Paix est un « droit » ?) ; « Être artisans de paix signifie se faire promoteurs d’une culture de la paix. Cela exige l’amour de la vérité, sans laquelle il ne peut y avoir de relations humaines authentiques, la recherche de la justice, sans laquelle l’oppression est la norme prédominante dans n’importe quelle communauté. » ; « La paix exige de la pure créativité. » ; « avoir le courage de travailler pour poursuivre pleinement le rêve des Pères fondateurs d’une Europe unie et unanime, une communauté de peuples désireux de partager un destin de développement et de paix. » ; « En ce temps, les chrétiens sont appelés à redonner une âme à l’Europe, à réveiller sa conscience, non pas pour occuper les espaces – ce serait du prosélytisme – mais pour encourager les processus qui créent de nouveaux dynamismes dans la société. » (Un carambar pour celui qui est capable d’interpréter le sens de cette phrase ! Et le mot « processus » est la ritournelle du Gouvernement Mondial) ; « changer le monde ».
– On retrouve dans le discours papal tout le lexique des architectes : « (Re)penser l’Europe. Une contribution chrétienne à l’avenir du projet européen » ; « modelées » ; « civilisation » ; « ruines » ; « ville » ; « Empire » ; « l’édification commune » ; « Nous sommes appelés à édifier une Europe dans laquelle on peut se rencontrer et échanger à tous les niveaux » ; « polis » ; « ériger » ; « Œuvrer pour une communauté inclusive signifie édifier un espace de solidarité. » ; « transmettre aux jeunes les instruments matériels et culturels pour affronter l’avenir », « tâche », « développement des civilisations » ; « travail », « se renouveler » ; « construire » ; « inventif », « construisent les maisons », « fondamentales », « travailleurs », « entreprise », « ressort », « développement », « œuvrer », « travailler », « fondateurs de l’Europe » ; « les travaux ». Il ne manquait plus que le mot « chantiers » et la boucle était bouclée !
– Il est question à deux reprises d’un « cercle », comme s’il se fondait une petite loge. Sans compter les occurrences du mot « communauté » : « appartenance à une communauté »
– Même saint Benoît est transformé par le Pape en Grand Architecte ! : « Saint Benoît a été messager de paix, artisan d’union, maître de civilisation. »
Bref, ce qui est appelé une « contribution des chrétiens » (mot répété 4 fois) est en réalité une véritable collaboration avec le Gouvernement Mondial, avec la Franc-Maçonnerie (basée sur l’humanisme intégral, la communication et la solidarité). Et la majorité des prêtres européistes – et inconsciemment francs-maçons – jubile. Mon Dieu, réveillez-nous de ce cauchemar dans lequel nous rentrons. Moi, j’appelle le Pape ou les cardinaux qui le côtoient (les rares qui sont honnêtes) à se réveiller sérieusement et à arrêter de se laisser manipuler.