Je regarde le concert des Enfoirés chaque année, car ils sont un étonnant baromètre social. Et cette année, c’est fou le net virage spiritualiste qu’ils ont pris en direction de la Nouvelle Religion mondiale (Franc-Maçonnerie et satanisme, sur fond d’homosexualité à tous les étages) : ésotérisme, teinte rougeoyante/sataniste de presque tous les tableaux, magie rouge et noire (dite « magie méchante »), mentalisme, dithéisme (manichéisme de l’équilibre, visages coupés en deux), gants blancs dans beaucoup de chansons, réunions de confréries mystiques secrètes, nombreuses références à la Bête, numérologie avec des 666 cachés et tacites, tribalisme, anti-fascisme et Guerre Mondiale, folie pour la transformation, communication avec l’au-delà et les défunts (les zombies ou revenants ont débarqué plusieurs fois), cercles de libertins dix-huitièmistes (masqués, avec clowns démoniaques chantant les démons de minuit), symboles de films d’épouvante, promo de l’adultère et destruction du mariage, bougies maçonniques tout le temps, la Bête et les chimères, transgression de la différence des sexes (et des générations, des espaces, de la différence Créateur-créatures), culte luciférien de la lumière et de l’onirisme, etc. « On fait le show avec le visage ensoleillé, main dans la main pour faire rêver. C’est le message des Enfoirés. Chante pour allumer ces bougies qu’on a laissées dans le noir. » Belle Chaîne d’Union maçonnique finale. Clairement sidérant. L’Antéchrist est sur le point d’arriver avec sa religion antithéiste. Et personne ne voit, ne dénonce. Franchement, pauvre Coluche, il doit halluciner de voir que les Enfoirés, en jouant les Résistants contre le fascisme (alors qu’ils sont l’incarnation de ce dernier, et de la bien-pensance bourgeoise anti-fasciste), sont réellement devenus des enfoirés au sens propre.
Archives par mot-clé : homosexualité
God is a cube
Le Seigneur Jésus fait bien les choses. Hier soir, je me trouvais au concert de Marguerite (au passage, plaisir de retrouver Jean-Charles Wintrebert ; et d’entendre pendant l’entracte la chanteuse m’avouer qu’elle avait écouté le matin même avec plaisir ma chanson « Catholicisme meilleur chemin de Vérité »), et comme par hasard, Il m’a mis à la table d’un développeur de jeux vidéos hyper drôle, Marc, qui va prochainement sortir un jeu dont le nom tape exactement dans le mille de mon chapitre 2 de Homo-Bobo-Apo à propos de la tentative du Gouvernement Mondial de transformer l’Homme en cube de rationalité divine : God is a Cube ! J’ai vu aussi Fabrice Hadjadj… qui enchaîne les conférences de Carême partout. Nous ne sommes pas du même monde. J’y ai vu le danger de la mondanité et de l’installation d’un apostolat (par certains aspects utile) dans un statut de conférencier ou d’orateur, qui ne m’attire pas du tout et que je suis heureux de ne pas connaître. Car c’est un véritable détournement de la Vérité, sous couvert de L’annoncer. Et je dis cela sans jalousie aucune. Ce qui est bien dans l’apostolat de l’homosexualité, c’est qu’il est tellement pauvre et détesté y compris des catholiques, tellement risqué et incompris, tellement ingrat et peu lucratif, qu’il ne risque pas de nous faire tomber dans le boboïsme, le business, la posture conférencière, l’esbroufe et la mondanité, et de nous faire prendre le melon. Il nous humilie et nous met le nez dans la poussière très vite. Impossible, quand on le mène correctement, de s’y installer, et de se construire une chaire universitaire douillette.
Enfin, une amie (Lili) m’envoie ces mots si justes de saint François de Sales, qui s’appliquent à la perfection à la relation homo : « Il y a certains amours qui semblent extrêmement grands et parfaits aux yeux des créatures, qui devant Dieu se trouveront petits et de nulle valeur. La raison est que ces amitiés ne sont point fondées en la vraie charité, qui est envers Dieu, mais seulement en certaines ententes et inclinations naturelles. » Quelle actualité !
La sarahisation de Courage : Ça vous étonne ? Moi, pas du tout !
Les personnes homosexuelles chrétiennes planquées de Courage ont trouvé leur maître : le cardinal Sarah. Celui qui transforme l’homosexualité en non-sujet, en « accompagnement », et la continence en abstinence, celui qui étouffe l’apostolat de l’homosexualité (qui lui ferait de l’ombre) sous des concepts catholiquement corrects (« chasteté », « sainteté », « sexualité », « amitié », « Vérité », etc.) que personne ne remettra en cause. Ça vous étonne ? Moi, pas du tout. Je ne participerai plus à cette mascarade homophobe et ne mettrai plus jamais les pieds à Courage.
Aux Césars, Nahuel Pérez Biscayart justifie l’avortement au nom de sa défense d’un « droit à l’avortement »
Ce qui est terrible, c’est qu’il y en a qui maquillent l’avortement par une défense d’un « droit à l’avortement », pour finalement justifier le premier. Et en plus, sous couvert d’homosexualité ou de lutte contre le harcèlement (alors que l’avortement EST un harcèlement, en plus d’être un acte et non un droit). Nahuel Pérez Biscayart, toutes les personnes homosexuelles – dont je fais partie – ne vous félicitent et ne vous permettent pas.
La polémique autour des conférences Courage à Bayonne et Pau en mars prochain
Même si cet article du Monde est plein de contre-vérités et de raccourcis sur l’association Courage, il pointe néanmoins du doigt un réel problème à Courage : la tiédeur de cette association (qui effectivement verse dans une novlangue puritaine – « personne à tendance homosexuelle » -, dans l’ « accompagnement » et non la vocation ni l’apostolat ni l’analyse socio-politique approfondie de l’homosexualité) ainsi que la négligence de la dimension sociale, mondiale, culturelle, personnifiée (Comme les membres de Courage sont des personnes homos planquées, la seule personne publique – beaucoup plus attaquable qu’une personne homo – vers qui se retourner est l’accompagnant en titre : le père Louis-Marie Guitton), sacramentelle, eschatologique, vocationnelle, joyeuse et sainte, ecclésiale, de l’homosexualité. J’ai envie de dire « Bien fait pour les responsables de Courage » : ils récoltent la monnaie de leur pièce. Je ne leur souhaite évidemment pas ces attaques. Mais ils font preuve d’une homophobie inconsciente, matinée d’accompagnement, d’écoute et de bons sentiments pieux : et cette homophobie va leur revenir en boomerang d’une manière ou d’une autre. Il faudrait plutôt laisser la place aux personnes homos continentes réelles plutôt que de parler à notre place, ou de « nous accompagner », et vous verrez que les catholiques ne seront pas attaqués, et que ces conférences auront lieu dans la paix. Seul le témoignage par la Personne directement concernée par l’homosexualité désarme. Et actuellement, les catholiques et l’Église désavouent complètement les personnes homosexuelles continentes publiques, les méprisent et les ignorent. J’en sais quelque chose ! Donc oui, je ne vais pas pleurer sur le sort réservé au père Guitton. Il l’a alimenté. Nous n’avons pas à être accompagnés : vous devez nous écouter et vous laisser enseigner par nous, les personnes homosexuelles, qui avons plein de choses à vous apprendre de notre monde, de l’homosexualité, de l’Église et de Jésus.
N.B. : Courage passe pour la version extrémiste de DUEC (Devenir Un En Christ : tout aussi nul que David et Jonathan) même si, dans le fond, étant donné que la défense de la continence y est timide (pas de réelle continence sans l’apostolat), Courage tend dans les faits à ressembler à DUEC. Courage suit le droit fil de la conception sarahienne (cardinal Sarah) et hétérosexiste de l’homosexualité : l’homosexualité est considérée comme un « douloureux problème à étouffer » et un « non-sujet ». Ce qui compterait, c’est la Loi naturelle, l’identité (et sa restauration) masculine/féminine et divine, la sexualité dans son ensemble, la sortie de l’homosexualité, les concepts cathos qui font bien (« sainteté », « chasteté », « Croix », etc.).
Homosexualité, compagne de la Bête
Je crois avoir compris qui est la Bête (de l’Apocalypse) : c’est la transgression du Réel (et de ses 4 rocs : différence des sexes, différence des générations, différence des espaces et différence Créateur-créatures) d’une part, ainsi que l’hétérosexualité (dans son sens bisexuel puis dans le sens du culte de l’altérité absolue au détriment de la différence des sexes – mariage aimant homme-femme – et de la différence Créateur-créatures – à savoir Jésus et l’Église Catholique). Et cette Bête satanique veut prendre sa revanche sur Jésus (après sa défaite sur la Croix il y a 2000 ans) en conviant la terre entière sur le lieu de sa défaite (passée à ses yeux ; future et définitive en réalité) : Israël (l’Armageddon). Tout ceci est illustré dans les films actuels parlant précisément de la Bête : « Closet Monster » (2015) de Stephen Dunn, « La Momie » (2017) d’Alex Kurtzman, « Lucy » (2014) de Luc Besson, « The Last Girl » (2016) de Colm McCarthy, « L’Apparition » (2018) de Xavier Giannoli, « World War Z » (2013) de Marc Forster, « La Bête curieuse » (2016) de Laurent Perreau, « Power Rangers » (2017) de Dean Israelite, « The Jane Doe Identity » (2017) d’André Ovredal, « La Belle et la Bête » (2017) de Bill Condon, « Wonder Woman » (2017) de Patty Jenkins, « Le Crime de l’Orient-Express » (2017) de Kenneth Branagh, « Star Trek » (2017) de Bryan Fuller, et là, le dernier Guillermo del Toro « La Forme de l’eau » que je viens d’aller voir au ciné (un monument franc-maçon !) et où tout ce que je viens d’énumérer est lisible. Au moins dans « L’Apparition », « La Forme de l’eau », « Wonder Woman », « Le Crime de l’Orient-Express », « The Jane Doe Identity », le carton d’invitation vers la Terre Sainte, en lien avec une Bête technologique gay friendly, est clairement donné. Par exemple, dans « L’Apparition » de Giannoli, Jacques, joué par l’acteur Vincent Lindon, prend la jeune voyante Anna pour une lesbienne, lui propose de vivre son hétérosexualité ou son homosexualité latente, et finit son enquête en pleine zone de l’Armageddon, à l’intersection d’Israël, de l’Arabie Saoudite, de l’Irak et de la Syrie (un panneau signalétique est filmé en plein cœur du désert). Dans « Le Crime de l’Orient-Express », le train est figuré comme une Bête technologique démoniaque habitée par un Edward Ratchett (interprété par Johnny Depp) séducteur et androgyne ; et le film débute au Mur des Lamentations. Dans « The Last Girl », la jeune zombie Mélanie, une humaine bestiale, et son institutrice Miss Justineau, tombent amoureuses et forment un couple dit « christique », sur fond de guerre virale high-tech. Dans le film « Wonder Woman », dont l’héroïne est une icône gay bien connue, féminisme, homosexualité, technologie et sionisme sont au menu. Dans le téléfilm « La Bête curieuse », il est question des bracelets électroniques inquisiteurs, présentés comme la Bête, et l’homosexualité féminine y est promue à travers le personnage de Céline. Dans le film « La Belle et la Bête », la Bête est le personnage central et la technologie agit sous la forme de la magie et des images de synthèse… et comme par hasard, le personnage du Fou fait son coming out ! Dans « The Jane Doe Identity », on retrouve dans la bouche de la Bête satanique – incarnée par une sorcière androgyne qui sème la terreur dans une morgue – des manuscrits de la Mer morte cousus ou avalés. Dans le film « La Forme de l’eau », on nous fait croire que la Bête est plus humaine que les humains, et qu’une grande histoire d’Amour peut naître entre une humaine (Elisa) et un amphibien, avec en toile de fond une Guerre Froide technologiste entre États-Unis et Russie centrée sur Israël (« Les Russes détestent les juifs mais ils adorent leurs gadgets » dit cyniquement le méchant du film, Richard Strickland), ainsi qu’une transgression de toutes les différences du Réel (Giles, le meilleur ami d’Elisa, est un vieil homosexuel, draguant les petits jeunes et vivant à travers ses films en noir et blanc). Tout concorde pour relier Bête-Technologie-Homosexualité-Armageddon.
Dans une majeure partie de la production cinématographique actuelle, l’homosexualité est particulièrement corrélée à la Bête technologique, présentée comme gentille et comme « victime de l’intolérance aux différences » des anti-diversités, et au sionisme. Le lien entre hétérosexualité et transhumanisme, c’est qu’à travers la promotion de l’homosexualité et de la Différence/Diversité, la Bête veut tuer l’Homme et le transformer en animal, en robot et en ange. C’est ça l’idée de fond. Et il est assez hallucinant que beaucoup de films actuels, sans même que les réalisateurs se soient concertés entre eux, s’acheminent vers la Terre Sainte, avec cette optique de défendre la « diversité » (bisexuelle), en mettant en scène un combat final entre homosexualité et hétérosexualité (entendue pour le coup comme « différence des sexes »), entre un monde dit « d’Amour » et l’Église Catholique (considérée pour le coup comme le mal suprême). Le plus incroyable – et c’est flagrant dans le film « L’Apparition » – est que les bobos francs-maçons libertins et relativistes prétendent avoir la foi, et prétendent être plus catholiques que les catholiques, plus croyants que les croyants. Je me suis longtemps demandé par quel « hasard » l’Humanité allait converger vers l’Armageddon. Eh bien je crois que je tiens une élément de réponse : les antithéistes ont réellement la prétention, en détruisant la religion, d’en créer une autre, plus authentique, et de rendre un culte à Dieu (mais un dieu qui n’est pas Jésus-Christ). Dans leur tête, il faut aller à l’Armageddon pour opérer ce déicide « divin ». Le diable et son armée font le mal et détruisent le Bien, non pas gratuitement, mais pour se présenter à leurs propres yeux comme un nouveau bien réparateur, restaurateur, justicier, sauveur et encore plus divin que Dieu-même. Il est donc logique que la Bête technologique pro-diversité et gay friendly envoie les faire-parts pour l’Armageddon. Aveuglée par son orgueil, elle voit sa défaite comme une victoire. Elle tente le tout pour le tout. Elle pense n’avoir plus rien à perdre. Tout lui serait permis (même le mal) et tout serait purifié, sous prétexte d’Affirmation de Soi, de Justice, et de Lutte contre le « mal » (mal entendu comme le « rejet de toute différence »… y compris le rejet du mal !).
On peut tous être tendres : ce n’est pas pour autant de l’Amour
On peut tous être gentil, attentionné, doux et tendre avec quelqu’un en particulier. On peut tous tomber follement/sincèrement amoureux d’une (ou de plusieurs) personne de qualité et éprouver des sentiments forts pour elle, se sentir bien et être drôle/respecté avec elle, ressentir une profonde affection, avoir une préférence et un coup de coeur pour quelqu’un, donner des caresses, faire des cadeaux, être romantique, etc. Ça peut même se passer très bien au lit, sans d’ailleurs que la génitalité soit l’obsession du couple. J’ai envie de dire que, même si cela reste rare, intense, sincère, exceptionnel, et semble valoir le coup d’être vécu, c’est somme toute quelque chose de facile, de possible, de commun à tous, et à la portée de tous. Ça n’est pas un scoop, et ça ne veut rien dire de la prétendue « exceptionnalité » ou du prétendu « amour » qui se vivrait. On peut tous « tombés en passion amoureuse », et être, l’espace de quelques jours ou quelques mois, agréables, « transportés » (sur un nuage!) par une personne proche. Mais est-ce cela, aimer vraiment ? Non. C’est juste ressentir à deux des sentiments et des sensations plaisantes, se faire du bien et se donner du plaisir. C’est du respect humain, de la complicité humaine. Tout simplement.
Or aimer en Vérité, c’est autre chose. C’est accueillir la différence des sexes et la différence Créateur-créatures. Autrement dit, c’est expérimenter concrètement la Croix de Jésus, et connaître Jésus qui est l’Amour même. C’est supporter le mal. C’est accueillir dans sa vie un Mystère qui dépasse nos sensations et notre bien-être, et qui pour un temps ne nous attirera pas que du bien. Alors effectivement, tout lien sincère, plaisant et sentimental, n’est pas de l’Amour. Cela est particulièrement manifeste dans les relations amoureuses homosexuelles, qui, sans être de l’Amour, peuvent être l’occasion pour chacun de nous d’être « adorables ».
Top 24 des phrases les plus stupides que j’ai entendues de la bouche des catholiques concernant l’homosexualité (et malheureusement, la liste n’est pas exhaustive…)
Voici mon Top 20 des phrases les plus stupides que j’ai entendues de la bouche des catholiques concernant l’homosexualité (et malheureusement, la liste n’est pas exhaustive…)
1 – « La différence est une richesse. »
2 – « L’hétérosexualité doit être respectée et défendue comme la structure d’amour et de famille la plus épanouissante pour l’être humain, comme l’a fait l’Église Catholique jusque-là. »
3 – « Grâce à nos vulnérabilités, nous sommes plus forts. »
4 – « L’Union Civile est ce qui permettra d’éviter le mariage gay. »
5 – « Je défends la vie, de sa conception jusqu’à sa mort naturelle. »
6 – « Je suis de droite. »
7 – « L’homosexualité, c’est de l’Amour quand même. »
8 – « L’Église accueille suffisamment les personnes homosexuelles et a déjà dit l’essentiel sur l’homosexualité dans le Catéchisme. »
9 – « En tant que catholiques, nous devons lutter contre toute forme de discriminations. »
10 – « Le mariage est une réalité naturelle, et c’est un homme et une femme. » ; « Une famille, c’est un papa, une maman et un enfant. »
11 – « Le problème du mariage gay, c’est qu’il prive l’enfant d’un de ces deux parents biologiques. »
12 – « Tout enfant a besoin d’être conçu et élevé par ses deux parents biologiques, a le droit de connaître ses origines. »
13 – « Il ne faut plus parler d’hétérosexualité et d’homosexualité. Cela réduit l’être humain à ses comportements sexuels. Nous devons parler de sexualité tout court. D’humanité. » ; « Personne ne se réduit à sa sexualité. »
14 – « Je crois en la complémentarité homme-femme. »
15 – « Le lobby gay est une terrible dictature idéologique qui s’impose même aux personnes homosexuelles elles-mêmes. »
16 – « Nous devons défendre un monde de Paix, de justice, où l’Homme est au centre, et en particulier les plus fragiles. »
17 – « Le problème posé par le mariage gay, c’est surtout l’enfant. Et le fait de donner légalement le mot ‘mariage’. »
18 – « L’homophobie n’existe pas. C’est un mot de la novlangue pour victimiser les personnes homosexuelles et imposer une censure dans les débats. C’est un alibi et un piège fallacieux. »
19 – « Les catholiques, dans leur ensemble, ne sont pas homophobes. »
20 – « L’homosexualité est une blessure, voire une impasse, une maladie, un péché grave. »
21 – « Qui suis-je pour juger ? »
22 – « Nous devons défendre nos racines chrétiennes, notre culture ; nos valeurs et notre identité catholiques. »
23 – « Nous ne sommes pas francs-maçons puisque nous sommes contre la Franc-Maçonnerie. »
24 – « Nous devons proposer un accompagnement aux personnes homosexuelles, les appeler à la chasteté et à la sainteté. »
Je pense que je répondrai et corrigerai chacune de ces bêtises lors de ma prochaine conférence, en Belgique, le 19 mars prochain.
L’anticléricalisme actuel attaque les prêtres sur la pédophilie pour en réalité les attaquer sur l’homosexualité
Le focus sur la pédophilie à la Curie est un moyen détourné de faire du chantage sur l’homosexualité sacerdotale. J’en suis même sûr, même si c’est difficile à prouver car les libertins interdisent le lien homosexualité/pédophilie. Les médias en rajoutent et grossissent le trait de la pratique pédophile dans les rangs cléricaux pour justifier/masquer l’homosexualité sacerdotale. Il ne faut pas tomber dans leur panneau.
Homo et catho ? Lâche l’affaire
Être un gars homo et catholique n’est un cadeau pour aucun homme athée ou agnostique qui rêverait de former un couple avec lui. Il faut juste que les catholiques homosexuels le réalisent, l’accueillent avec paix et humour, et arrêtent de vendre du rêve, de s’illusionner eux-mêmes, de se lancer dans la recherche de l’« amour homo » (sur les applis et sites de rencontres), ou de penser qu’ils vont pouvoir allier Jésus et une pratique homosexuelle/leur copain. C’est peine perdue. Ça ne tient pas. Jésus est plus fort. Leur appartenance à Lui dépasse largement les plaisirs et les douceurs offertes par une vie de « couple » homosexuelle, même « fidèle » et intégrant des « partages spirituels respectueux de Jésus ». Pour tout Homme, a fortiori catholique, le « couple » homo constituera, à plus ou moins long terme, une incohérence, un déchirement, une contradiction, une imposture. Je le redis : une personne homosexuelle catholique se transforme en cadeau empoisonné si elle pratique son homosexualité, et en cadeau mondial si elle renonce à pratiquer son homosexualité et qu’elle l’offre aux autres dans la continence. Elle doit « juste » faire le deuil de sa croyance en « l’amour » homo. Et accepter qu’elle n’a pas sa place sur le marché amoureux homosexuel. Elle fera souffrir son partenaire de vie, ainsi que Jésus, et elle-même.