Je viens de discuter pour la première fois avec l’un des membres du « couple » homo du quartier de mon enfance (eh oui! La Girardière à Cholet se « modernise » : les personnes âgées laissent peu à peu place aux musulmans et aux « ménages » homos!). Je suis à la fois super heureux d’avoir fait sa connaissance (depuis le temps que j’en entends parler), à la fois perturbé, car ils ont l’air d’être un couple stable, composé de deux gars gentils comme tout, adorables individuellement parlant. Et le message de l’Église Catholique là-dedans, de Dieu, qu’est-ce qu’il fout là, quel sens il a, quelle place et quelle justesse peut-il trouver ? Pas facile de comprendre les desseins du Seigneur, la radicalité demandée aux personnes homos, la dureté de la menace qui pèse sur nous si nous nous mettons en « couple ». Car il y a du surnaturel et du Mystère qui se greffent là-dessous… et qui ressemblent à un arbitraire peu charitable voire diabolique. L’enfant de la crèche se fait tout petit et muet.
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La potentielle violence de la bisexualité : le cas Nordahl Lelandais
Notre monde continue de banaliser/idéaliser la bisexualité, alors que dans les faits, elle est souvent le signe d’une sexualité blessée et parfois ulta-violente. Après le tueur d’Orlando, l’assaillant du Bataclan, et le conducteur du camion fou de Nice, Nordahl Lelandais : bisexuel. Le directeur de sa salle de boxe dévoile que Nordahl était « attiré par les filles et les garçons aussi » CQFD. (cf. code « violeur homosexuel » de mon Dico)
Walt Disney, franc-maçon ?
Wikipedia nous dit que l’appartenance de Walt Disney à la Franc-Maçonnerie est une rumeur insensée. La question n’est pas nouvelle. Mais elle est souvent mal traitée. À mon avis, il ne faut pas chercher la Franc-Maçonnerie chez Disney dans les détails trop matériels ou trop visuels (ex : le positionnement des doigts, les gants blancs de Mickey, les équerres et les compas, le pavé mosaïque, les méchants de Disney étiquetés diaboliques, etc.) mais davantage dans les idées, souvent hyper positives et bien intentionnées.
En effet, ce qui caractérise l’idéologie franc-maçonne (comme je l’explique dans mon livre Homo-Bobo-Apo), c’est, entre autres :
1) le lexique de la lumière (et également celui de la force, de l’électricité, de l’énergie, de l’astrologie).
2) le lexique de la construction et de l’architecture (notamment par le recours à l’alchimie, à l’hermétique et aux déplacements de conscience qui transformeraient le cœur humain en cube d’or). La Franc-Maçonnerie défend l’idée que l’Homme se construirait Lui-même par sa propre sincérité/franchise et se sauverait par ses propres actes de solidarité.
3) le lexique de l’humanisme intégral (les valeurs du Christ mais sans le Christ ; le processus de création, de changement et d’amélioration de l’Homme par Lui-même ; la défense de la paix, mais non celle du Christ ; l’optimisme et l’espoir, remplaçant l’Espérance et la Résurrection) et du spiritualisme intégral (comme si nous étions des anges + manichéisme basé sur le dithéisme, comme si le bien et le mal étaient deux forces antagonistes et complémentaires qui s’équilibreraient l’une l’autre).
4) le primat de la subjectivité personnelle (la franchise, la sincérité, les rêves, les projets, la volonté, les sentiments amoureux, l’impression, la conscience) et l’idéologie du non-renoncement (Pour être libre, il ne faudrait renoncer à rien, ni même au mal et surtout pas à soi-même.
5) l’anticatholicisme, le satanisme et le noachisme (le remplacement de l’Homme par la nature et les animaux ; le retour au temps de Noé).
6) la promotion de l’hétérosexualité (toutes les différences sauf la différence des sexes dans le mariage et sauf la différence Créateur-créatures à travers Jésus et l’Église Catholique) et de l’homosexualité. J’ai développé dans Homo-Bobo-Apo pourquoi l’hétérosexualité était le pilier de la Franc-Maçonnerie mondiale.
C’est exactement cette idéologie que l’on retrouve chez Walt Disney et dans ses films :
1) « Quand on prie la bonne étoile » de Jiminy Grillon est la chanson-phare de l’Empire Walt Disney. Et la Fée bleue qui est priée est la fée Électricité. À ce propos, beaucoup de chaînes d’Union (rituel maçonnique appelé aussi égrégore) sont visibles dans les grands classiques Disney.
2) La toute-puissance de la conscience est parfaitement bien représentée par la figure de Jiminy Grillon, le cricket de « Pinocchio ». D’ailleurs, à l’issue de ce film, comme par hasard, le petit insecte reçoit à la place du cœur une médaille plaquée or (« Magnifique ! De l’or contrôlé ! » s’écrie-t-il).
3) Ce sont les valeurs d’amour, de paix, de justice, de respect, de tolérance, de vie, qui sont défendues par Disney. Mais pas du tout la paix divisante et crucifiante de Jésus. Et bien sûr, Jésus n’est jamais nommé par Walt Disney. Il est juste suggéré : « L’esprit d’amour, l’enfant qui naît, sont des trésors qu’il faut garder. Que la paix soit éternelle. » (cf. « Belle Nuit » de « La Belle et le Clochard ») De même que la Franc-Maçonnerie vise l’amélioration, le changement et la création de l’Homme par Lui-même, Walt Disney est obnubilé par l’amélioration humaniste : « Quand je vais faire un tour, je pense toujours à quelque chose qui ne va pas et à comment cela peut être amélioré. »
4) Il est difficile d’ignorer dans la cosmovision de Walt Disney la prévalence de l’onirisme, du rêve, de la volonté personnelle, de l’esprit d’enfance, sur la réalité. « Si vous pouvez le rêver, vous pouvez le faire. » « Tous nos rêves peuvent devenir réalité, si nous avons le courage de les poursuivre. »
5) Toute l’œuvre de Disney transpire l’ésotérisme, le noachisme et le satanisme. Quand on proposa à Walt de réaliser des films sur la religion, il refusa. Bien que baptisé chrétien (chez les protestants), il ne mettait pas les pieds dans les églises et ne pratiquait pas. En revanche, dans ses Silly Symphonies, il se réfère à la Bible, mais seulement pour s’intéresser à Satan, Hadès, ou bien l’Arche de Noé. Question Franc-Maçonnerie, Walt Disney faisait partie d’une loge franc-maçonne connue : Demolay. Il développa une véritable fascination pour la figure d’Abraham Lincoln, le maître des Droits de l’Homme et des Lumières aux États-Unis : quand son studio créa le premier personnage humain totalement fonctionnel d’audio-animatronic pour la foire internationale de New York (1964-1965), Walt Disney lui donna les traits d’Abraham Lincoln ! Et quand on regarde la Walt Disney Company, tout son fonctionnement et ses codes obéissent au fonctionnement et aux codes d’une obédience franc-maçonne : son noyau d’animateurs (que Disney a lui-même baptisé Les Neuf Sages) avec ses tables de la loi (les 12 principes de l’animation), les imagineers (planificateurs et ingénieurs de Disney), la prépondérance de la magie (blanche, rouge et souvent noire), la place des héros et des légendes, le lexique de la quête, l’invocation d’esprits (parfois des défunts, des marabouts, des génies, des feux follets, des demi-dieux), etc.
6) De plus en plus chez Disney, l’amour n’est plus relié à la différence des sexes, et encore moins au mariage, mais juste au culte de la diversité, des « libertés » (« Libérée, délivrée !!! ») et des différences en elles-mêmes. L’anticonformisme et le désir d’autonomie du héros le poussent à croire en l’auto-suffisance et en sa divinité individuelle qui se diluera dans un grand tout énergétique. Quant à l’homosexualité et à la transidentité, elles sont chaque fois plus visibles chez les personnages secondaires des films Disney.
Émission sur Radio Courtoisie du 16 décembre 2017, par Anne-Laure Malleyre
Émission sur l’homosexualité et sur la Manif Pour Tous, où Philippe Ariño était l’invité d’Anne-Laure Malleyre pour Radio Courtoisie. Elle a été diffusée le samedi prochain (16 décembre 2017).
Ce fut une discussion à bâtons rompus, à l’occasion de la sortie du livre Homo-Bobo-Apo.
Une autre émission, cette fois en binôme avec le philosophe Sylvain Durain, en direct, et d’1h30, est programmée pour le samedi 13 janvier, toujours sur Courtoisie.
De quelle sainteté parle-t-on pour les personnes homosexuelles ?
Vous nous proposez une pastorale dirigée aux personnes homosexuelles et orientée vers la sainteté ? OK. Super. Mais si et seulement si vous la reliez à une pastorale de la vocation et aussi du martyre universel/public. Je vous dis cela car en ce moment, l’apostolat Courage nous bassine avec la « sainteté », mot plus vendeur que la « chasteté » (ou pire, que la continence), alors qu’en réalité, de la sainteté, il n’en est rien : l’anonymat, les Alcooliques Anonymes, l’image d’Épinal de la sainteté ou d’une « fraternité homosexuelle offerte » (qui glorifie les saints du passé pour mieux nier voire étouffer les saints et les prophètes d’aujourd’hui), ce n’est pas ça, le chemin grand et joyeux et saint que propose l’Église aux personnes durablement homosexuelles. Les chantres actuels de la sainteté, en particulier à Courage International, agitent en ce moment le mot « sainteté » pour laisser miroiter aux personnes homosexuelles qu’ils leur font confiance, qu’ils les appellent à viser haut, qu’ils les valorisent, qu’ils les accompagnent, et donc sous-entendent que nous n’avons rien à espérer de plus que la structure d’ « accueil » ecclésial qui nous est proposée. Et ça, c’est faux. Nous sommes loin, très loin, de la reconnaissance de l’apport SAINT des personnes homosexuelles dans l’Église. Nous ne sommes qu’aux balbutiements de l’apostolat des personnes homosexuelles, qui bien plus qu’un accompagnement, ont besoin d’une vocation. Pour l’instant, nos « accompagnateurs » n’ont pas perçu la dimension politique, sainte, joyeuse, sacramentelle, universelle et même eschatologique, de l’homosexualité : ils ne la voient que comme un problème ou une irréalité à étouffer, et mettent les personnes homosexuelles continentes dans une voie de garage, un salon de « chaste-tea » du genre Alcooliques Anonymes. Alors, oui, je suis donc en faveur de la vraie sainteté (celle qui fait prendre des risques et qui fait risquer la vie, la popularité), et non simplement en faveur d’un joli mot-slogan – « sainteté » -, certes séduisant intellectuellement et catholiquement parlant, mais creux, triste et inopérant dans les faits.
Deux conférences en Suisse les 10 et 13 novembre 2017
Pour écouter deux des cinq conférences suisses que j’ai données à Genève (« Homosexualité – Transsexualité : quel avenir pour l’Humanité ? » + « Homosexualité et Suisse. Quels enjeux dans l’éducation de nos enfants »), c’est ici et en ligne.
Avis à mes contacts italiens, l’homosexualité n’est pas une maladie
Je vais commencer à faire un sérieux ménage dans mes contacts italiens de Facebook. Surtout ceux qui applaudissent ou excusent Silvana di Mari qui soutient que « l’homosexualité est une maladie ». Une peur n’est pas une maladie, que je sache. À la rigueur, qu’ils disent « blessure », « héritage du péché originel », « handicap », « péché » (concernant l’acte homosexuel), « signe de péché », « fragilité », « arrêt dans le développement psycho-sexuel », « bug », « dysfonctionnement », « honte », OK (le meilleur étant « peur »). Mais là, « maladie », ils dépassent les bornes.
Le Pape François n’a rien compris à l’idéologie du Gender / El Papa no ha entendido nada de la ideología de Género
Es un desastre (cf. véanse este articulo). No es esto, la ideología de género. El Papa no ha entendido nada. Y me parece que Aciprensa tampoco.
1- La ideología de género no busca borrar la diferencia sexual entre hombre y mujer : pretende justamente sacralizarla y abrirla.
2- La ideología de género no es una « colonización ideológica » : se tiene que nombrar el mal. ¡ La palabra « ideología » en sí ES ideológica si no se nombra su verdadero nombre, es decir la heterosexualidad ! El Gender ES la heterosexualidad.
3 – No es cierto que la ideología de género presenta una sociedad sin diferencias de sexo y vacía el fundamento antropológico de la familia. Eso, son esloganes natalistas sin fundamento y alejados de la realidad. Esta ideología de género no quiere destruir sino añadir. No trata de borrar la diferencia de sexos en absoluto. Sólo la transforma en opción.
4 – La ideología de género no se exporta desde Europa (y la palabra « confusión » es confusa) : decir eso es una estupidez antieuropeista o antioccidental. La ideología de género viene de la palabra « heterosexualidad » que ha sustituido la diferencia de sexos. Viene del pecado original. No tiene origen geográfico ni humano. Tiene un origen sobrenatural.
5 – No tiene sentido decir « Cancelar las diferencias sexuales es dar un paso atrás ». Sólo hay una diferencia sexual : el ser hombre o ser mujer. Y la jerga del progresismo (« dar un paso atrás ») es la jerga del mundo.
6 – « Denunciar la ideología de género no implica negar ayuda o compañía a los homosexuales » : No necesitamos ni ayuda ni acompañamiento, sino vocación. Además, no somos « los homosexuales », sino personas ! Y decir este tipo de frases huecas muestra que el Papa se interesa más por la presunción de homofobia, es decir la imagen y su propia fama o por los ataques, que por las personas homosexuales o la resolución de la verdadera homofobia.
¡¡¡ Qué vergüenza !!!
C’est un désastre. Ce n’est pas ça, l’idéologie du Gender (cf. l’article du Pape). Le Pape n’a rien compris. Et je pense que Aciprensa non plus.
1- L’idéologie du Gender ne cherche pas à effacer la différence sexuelle entre l’homme et la femme: elle vise précisément à la sacraliser et à l’ouvrir.
2- L’idéologie du Gender n’est pas une « colonisation idéologique »: il faut nommer le mal. Le mot « idéologie » est lui-même idéologique si personne ne dit son nom, c’est-à-dire l’hétérosexualité ! Le Gender EST l’hétérosexualité.
3 – C’est faux de dire que l’idéologie du Gender veut d’une société sans les différences des sexes et ôte le pilier anthropologique de la famille. Ça, ce sont des slogans natalistes sans fondement et éloignés de la réalité. L’idéologie du Gender ne veut pas détruire mais construir et ajouter. Elle n’essaie pas du tout d’effacer la différence des sexes. Elle prétend juste en faire une option.
4 – L’idéologie du Gender n’est pas, comme le prétend le Pape François, une exportation européenne (et le mot « confusion » est confus) : dire cela est une bêtise anti-européenne et anti-occidentale. L’idéologie du Gender vient du mot « hétérosexualité » qui a remplacé la différence des sexes. Elle vient du péché originel. Elle n’a aucune origine géographique ou humaine. Elle a une origine surnaturelle.
5 – Ça n’a pas de sens d’affirmer « Annuler les différences sexuelles est faire un pas en arrière« . Il n’y a qu’une seule différence sexuelle : être un homme ou être une femme. Le jargon du progressisme est le jargon du monde.
6 – « Dénoncer l’idéologie du Gender ne signifie pas nier l’aide ou l’accompagnement aux homosexuels » : Nous n’avons pas besoin d’aide ou d’accompagnement, mais de vocation. De plus, nous ne sommes pas « les homosexuels », mais des personnes ! Et ce genre de phrases creuses illustre que le Pape est plus intéressé par la présomption d’homophobie, par l’image, par sa propre réputation ou par les attaques, que par les personnes homosexuelles ou la résolution de la véritable homophobie.
Quelle honte !!! C’est vraiment proche, cette Fin des Temps.
Os advierto en cuanto al cardenal Sarah (je vous avertis à propos du cardinal Sarah)
Os había advertido pero no me habéis escuchado : si respaldáis a este impostor de cardenal Sarah, os quito de mi lista de contactos Facebook. ¿ Me habéis oído bien ? Ya se han ido 4 personas más. ¡ Basta ya de ceguera y de estupidez !
Je vous avais prévenus mais vous ne m’avez pas écouté : si vous soutenez cet imposteur de cardinal Sarah, je vous enlève directement de ma liste de contacts Facebook. Est-ce que c’est clair ? 4 personnes supplémentaires ont déjà viré. Ça commence à bien faire, cet aveuglement et cette bêtise !
Journal de l’Antéchrist, du 16 novembre 2017
J’ai un milliard de choses à vous dire et à faire. Je ne sais pas comment je vais m’en sortir (haha !), mais j’ai la joie de Jésus au cœur, donc tout va bien !
J’ai appris plusieurs bonnes nouvelles : je vais témoigner à Orléans en décembre prochain ; je serai aussi l’invité (pour la première fois) à Radio Courtoisie en décembre ; je suis invité à Louvain-la-Neuve (Belgique) en mars 2018 ; et je témoignerai au Festival d’été du Chemin Neuf « Welcome to Paradise » (Hautecombe) en août.
Et là, dans les semaines qui viennent, je vais me lancer dans la finalisation de mon livre L’homosexualité en Suisse, puis sur un autre livre qui me tient à cœur, L’homosexualité dans la série Joséphine Ange-Gardien. Peut-être que ça débordera sur la série Demain nous appartient. Vu le nombre de fois que je suis allé en Belgique, je pense qu’un nouveau livre L’homosexualité en Belgique se profile aussi, mais pour plus tard. Et j’aimerais beaucoup, entre-temps, enregistrer en audio mon livre Homo-Bobo-Apo un jour (il n’existe pour l’instant qu’en version papier).
À propos de ce dernier, quand je constate actuellement les efforts que le Gouvernement Mondial déploie pour nous obliger (sans que nous nous en rendions compte) à avoir à tout prix un téléphone portable (et donc la puce électronique) et à nous y identifier, je me pose la question du « Comment va-t-on réussir à nous débarrasser du téléphone quand nous le souhaiterons ? ». À moins d’avoir un potager, d’être célibataire, ou d’avoir un compte en banque vide, je ne sais pas comment quelqu’un va réussir à vivre sans téléphone, sachant que maintenant, notre portable devient notre banque (de plus en plus de banques veulent que nous télécommandions notre compte à partir de notre portable), devient notre main (avez-vous vu les nouvelles publicités de soirées jeux vidéos où tout un public de « gamers » se sert de son téléphone portable comme d’un joystick ?). Va-t-on avoir, à un moment donné, la possibilité de nous passer du portable, et si oui, dans quelle condition et à quel degré de renoncement (autre que la mort) ? Je me pose la question. Le téléphone portable va bientôt demander à faire corps avec notre corps, comme il cherche désormais à faire corps avec notre banque.
Enfin, dernière chose que je voulais vous dire : j’ai regardé en replay l’émission Zone Interdite spéciale « transgenres », diffusée dimanche dernier sur M6. Ce n’est que le début d’une longue série d’émissions de vulgarisation et de banalisation de la transidentité et de la transition puisque mercredi prochain, 22 novembre, sur la chaîne France 2, va passer un téléfilm – « L’Épreuve d’amour » – sur la question transsexuelle, suivi d’un débat sur la question « transgenre ». Et sur Anal + arrive la série Vernon Subutex. Au-delà de la gravité du phénomène et de la peine qu’il peut générer, je mesure ma chance de connaître personnellement des amis transgenres/transsexuels, et de pouvoir débriefer/critiquer/commenter/confronter ensemble nos impressions sur ces reportages. Là, je viens d’avoir un coup de téléphone avec l’un d’eux. C’est une joie de pouvoir parler librement, et de comprendre à deux la perversion de ces émissions qui nous dressent un tableau idyllique de la transition/réassignation/dysphorie tout en nous mentant sur la réalité de la transidentité (suicide, isolement, risques décuplés d’embolie et de cancers, drogues, exploitation, fausses amitiés, business, prostitution, possible ratage d’opérations, haine du corps, problèmes du passé non réglés, viol, etc.) et de l’homosexualité par la même occasion. Jésus m’a permis de ne pas approcher le phénomène social et médiatique à distance, comme un fait désincarné, effrayant et désespérant, mais de le rattacher à des personnes, des amitiés, une relation belle, un accompagnement mutuel, la chaleur d’une fraternité et de la Vérité.