On est son pire ennemi. Vraiment, le mal intérieur est plus anéantissant que le mal extérieur. Quand on est capable de se dominer, de s’imposer des contraintes tout seul, qu’on ne fait plus de caprice avec soi-même, qu’on ne négocie plus avec son mal intérieur, Dieu nous permet de dominer tous les maux extérieurs, même les plus violents. On devient un exemple de liberté et de force pour tous. Y compris et d’abord pour soi.