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La série Les Combattantes de TF1 : bilan, décryptage et constat inquiétant pour notre Monde (la déshumanisation des Humains)


 

Ce qui est très inquiétant pour notre Monde, c’est le progressif retrait d’Humanité des pourtant êtres HUMAINS (qui n’ont que ça, leur humanité, pour exister !), déshumanisation de plus en plus présente dans le discours de nos contemporains. Résultante d’un noachisme misanthrope galopant ainsi que d’une Marque de la Bête (Apo 13, 17) de plus en plus hégémonique pour cette Fin des Temps générale.
 

 

Je le remarquais déjà dans le discours de certains mes élèves (même musulmans), qui n’hésitaient pas à nier l’humanité d’Hitler (en soutenant mordicus que « ce n’était pas un humain mais un monstre » : le déshumaniser par la diabolisation, c’est le meilleur moyen de l’imiter inconsciemment !). Ou quand un pédophile (genre Marc Dutroux ou Nordahl Lelandais) ou un psychopathe (Jeffrey Dahmer) fait les gros titres. Ou quand Trump niait sérieusement devant les caméras l’humanité des migrants mexicains passant illégalement les frontières des États-Unis (il a qualifié ces derniers d’« animaux »). Ou encore quand le Connard (Emmanuel Macron), à plusieurs reprises, nie l’humanité des rebuts de sa Start-up Nation (À la Station F, il a distingué publiquement les entrepreneurs « des gens qui ne sont rien ») ou l’humanité de ceux qu’il veut écraser de son caractéristique mépris (Devant les princes du Sahel, il s’est permis de dire très sérieusement, à propos des ravisseurs de Sophie Pétronin, que – je cite – « ces gens ne sont rien »).
 

Cette tendance à retirer à l’Humain son humanité (en plus, finalement, de sa divinité en Jésus) est très préoccupante mondialement, car elle s’appuie sur une croyance à avoir droit de vie ou de mort, d’éradication ou de Salut, sur toute personne qu’on estime « utile » ou « inutile », « gentille » ou « méchante/dangereuse », du simple fait de la voir comme un objet ou un animal ou un esprit démoniaque monstrueux. Autrement dit, c’est un eugénisme/génocide déguisé.
 

 

Je l’ai vue, cette tendance déshumanisante, dans la dernière série (« création ») de TF1, Les Combattantes, sur fond de Première Guerre mondiale 1914-1918. Je vous passe les détails de cette fresque « historique » presque totalement immorale (féministe, misandre, anticatholique, pro-avortement, pro-homosexualité et pro-inceste) et insultante de la mémoire des vrais combattants. Pour résumer : du sang, de la boue, des larmes, du sexe, des morts… on se serait cru dans un navet cinématographique de Laurent Boutonnat. Mais pour revenir à ma démonstration sur le retrait d’Humanité des Humains, ce qui m’a vraiment marqué, c’est surtout cette insistance sincère à nous prouver qu’il existerait des « êtres humains qui ne seraient pas/plus humains ». Chacune des 4 justicières-pleurnicheuses professionnelles (Camille Lou dans le rôle de Suzanne l’avortrice, Sofia Essaïdi dans le rôle de Caroline la cheffe d’entreprise, Audrey Fleurot dans le rôle de Marguerite la prostituée, Julie de Bona dans le rôle de Mère Agnès) avait son monstre humain déshumanisé qu’elle marquait du sceau « indélébile » et « justicier » de la Bête et de « l’Inhumanité » : Suzanne a sorti au mari de Jeanne Charrier, Lucien, qu’« il était un monstre » ; Caroline a sorti à sa belle-mère Éléonore à propos de son ignoble beau-frère Charles « Votre fils est un monstre » ; Marguerite a sorti à son maquereau Marcel – secrètement amoureux d’elle – qu’il n’était « rien pour elle » (ce dernier, à son tour, a dépersonnifié une autre camarade prostituée de Caroline, Juliette, en la traitant de « marchandise » : « Juliette, t’es rien. T’es personne. Ferme ta gueule ! ») ; et enfin, sœur Agnès a sorti à l’abbé Vautrin (prêtre pédophile et violeur que campe Laurent Gerrat) « Vous êtes un porc. Plus jamais vous ne poserez vos mains sur une de mes sœurs. Où que vous soyez, je serai là. Je les préviendrai pour qu’elles sachent quel genre de monstre vous êtes. Je ne vous lâcherai jamais. ». Je vous avais dit : chacune des héroïnes avait son être humain à monstruosifier ! Pour qui se prennent-elles ? Et surtout, pour qui se prennent les réalisateurs de ces fictions ?
 

Le comble, c’est que cet homicide-déicide luciférien se fait au nom d’un humanisme intégral (l’autre nom de la Bête) et au nom de Dieu (spiritualisme intégral) : les réalisateurs et acteurs se prétendent « humanistes » et croient qu’une fresque pareille – qui ne fait que semer la guerre – fait oeuvre de de « Paix », est « HOMMAGE historique et résurrectionnel des faits, de la vérité et des héroïsmes ». Sidérant.
 

Ce retrait d’humanité est une mode scandaleuse qui devrait tous nous insurger, mais que personne aujourd’hui ne voit et ne dénonce. Je me devais donc de faire ce constat.
 

 

N.B. : Petit détail qui m’a fait doucement sourire, et qui montre le caractère intrinsèquement spirituel et antichrétien de ce téléfilm : c’est la référence (inconsciente ?) à Agnès Thill (députée catholique homophobe). Car, qu’on ne me dise pas que le choix de prénoms de Mère Agnès et de son soldat allemand avec qui elle va être dépucelée, Till, relève du pur hasard…

« Soirée Dissidence 3 » du 19 août 2021 – LA BÊTE DE L’ÉVÉNEMENT (Topo 1 : État des lieux en France depuis l’allocution de Macron ; Topo 2 : Solutions ; Topo 3 : Principaux leaders du mouvement d’opposition au Pass Sanitaire ; Topo 4 : La Marque de la Bête)

 

Jeudi 19 août 2021 s’est déroulée à Paris la « Soirée Dissidence 3 » avec une dizaine de participants. Il y a eu quatre topos de 30 minutes chacun :
 

#Débat #PassSanitaire #Vaccins #Macron #MarqueDeLaBête
 

– Topo 1 (mené par tous) : État des lieux en France après l’allocution de Macron du 12 juillet rendant la « vaccination » obligatoire.
 

– Topo 2 (mené par Jérémie) : Solutions et recours possibles.
 

– Topo 3 (mené par Philippe Ariño) : Forces et faiblesses des leaders du mouvement d’opposition au Pass Sanitaire (les 4 traîtres).
 

– Topo 4 (idem) : La Marque de la Bête.
 

 

Pour retrouver les soirées antérieures :

Soirée Dissidence 1 (spéciale « vaccination »)

Soirée Dissidence 2 (spéciale Islam)

Le portable-ange-gardien ainsi que la foi aux fils et aux rubans


 

L’Esprit Saint a beaucoup d’humour. Je suis, depuis quelques jours, en train de bosser sur la place du téléphone portable dans la série Joséphine ange-gardien, et tente même de démontrer que Joséphine EST le portable, et pas seulement son ambassadrice. Associer le téléphone portable à un ange-gardien, ça peut paraître complètement con. Et pourtant, hier, j’ai eu une confirmation de cela en regardant le film « Non-stop » (2014) de Jaume Collet-Serra, diffusé sur TF1. En effet, l’assassin de l’avion, qui exécute un à un les passagers toutes les vingt minutes, use de son portable comme si ses textos avaient le pouvoir de tuer. Il est incarné par Zack White, un programmeur de smartphones, se rendant invisible pour réaliser ses forfaits, avec l’aide d’un complice. Bill Marks, le flic à bord, chargé de l’enquête, reçoit les avertissements-notifications des crimes par anticipation, sur son propre téléphone. Et quand il demande au hacker anonyme qui il est, celui-ci lui répond ironiquement par SMS « Je suis votre ange-gardien. » CQFD. Nouvelle confirmation – en parallèle de Joséphine – que le portable-ange-gardien est l’autre nom du diable.
 

 

Par ailleurs, concernant cette fois la Marque de la Bête (de l’Apocalypse), en lien – c’est le cas de le dire – avec mon chapitre sur la lumière-textile et sur le bracelet électronique (dont j’ai beaucoup parlés dans Homo-Bobo-Apo), il est étonnant de voir que, chez les francs-maçons de la Nouvelle Religion mondiale, le bracelet, la montre ou le fil de tissu, portés au poignet, est humanisé et divinisé. Toujours dans le film « Non-stop », Bill Marks (Marx ?), le héros, porte, sous forme de porte-bonheur qui conjurerait ses peurs (notamment sa phobie de l’avion et des décollages), un ruban lui entourant la main, et appartenant initialement à sa fille, comme une attache inter-générationnelle. Et pour délivrer Becca, une fillette de l’avion sur qui Bill transpose sa propre relation avec sa fille, de ses angoisses, il lui donne son fil bleu en le lui présentant comme « un ruban magique avec de grands pouvoirs », et en lui demandant de « croire en lui » (il parle du ruban). La Foi aux fils et aux rubans, vous ne connaissiez pas ?
 

 

Shooting avec la Bête (de l’Apocalypse) dans les Jardins du Palais Royal (Part 1) prise par Zoubir le 4 septembre 2018

 

Avec la Bête, on a des supers lectures en ce moment…
 
🐺🐯🐻🐲
 

(Ces photos ne sont qu’un gentil apéritif du shooting bestial de la semaine dernière aux jardins du Palais Royal à Paris ; merci à Zoubir de les avoir prises)
 


Le dessin-animé « Mutafukaz », illustration parfaite de la Bête de l’Apocalypse


 

J’ai eu la chance d’aller voir hier un dessin-animé franco-japonais pour adultes, « Mutafukaz », très peu diffusé en salles en France, qui brille par son éclairage eschatologique (Fin des Temps), et qui dépeint parfaitement la Bête de l’Apocalypse, à savoir l’Humanisme intégral. Il y est fait la promotion de l’hétérosexualité (culte de la Différence en elle-même), de la volonté individualiste mondialisée, de l’être soi, de la Franc-Maçonnerie (j’y ai même vu des triangles avec un oeil à l’intérieur). Exactement comme dans les films « La Forme de l’eau » ou bien encore « Wonder Woman », la Bête fait semblant de s’humaniser en se présentant comme ennemie d’elle-même par la mise en scène du massacre d’une autre Bête censée être plus monstrueuse et diabolique qu’elle, et en faisant croire qu’elle est gentille parce qu’elle refuserait la puce (en fait, elle feint de la rejeter pour mieux l’incorporer sous sa forme bobo écolo anti-technologiste : Angelino, le héros, ne vit que par sa télé ; il est suivi pour une cour de cafards) et par la mise en scène de son dithéisme (la bipolarité bonté/méchanceté, Humanité/monstruosité) « résolu » par son libre arbitre (et non sa liberté, qui ne peut reposer qu’en Jésus) de choisir entre la bonne partie d’elle-même (l’« Humain », la « Différence », l’« être soi-même », la « marginalité », l’« anti-conformisme », les « pauvres », les « frères », l’« héroïsme », etc.) plutôt que la mauvaise (les puissances angéliques, le 666, le diable, la technologie, l’ombre)… mais c’est là l’orgueil de Satan qui veut choisir le bien et le mal par lui-même. Le frère Samuel, bénédictin exorciste, a parfaitement raison d’écrire dans Les Attaques du démon contre l’Église, que « La Bête est l’Humanisme intégral ».
 

Joséphine Ange gardien et la puce électronique bestiale


 

Quand je vous disais que regarder Joséphine Ange gardien servait à quelque chose, et donnait exactement raison à la Bible et à ma description de la puce électronique comme la marque de la Bête de l’Apocalypse… Là, je suis en train de regarder l’épisode 49 « Joséphine fait de la Résistance » (2009), et au moment où Jacques Duval, le facteur, donne à Joséphine Ange gardien (téléportée en 1942 sous l’Occupation) les micros à placer secrètement dans les bureaux des généraux de la Kommandantur (des micros-puces électroniques en forme de pastilles), il lui sort : « Et voici la Bête ! Micro-fabrication anglaise. »
 

CQFD.
 

N’achetez plus et ne vendez plus, la Bête (Blockchain) s’en charge pour vous


 

Des publicités du bitcoin Ethereum nous engagent actuellement à rentrer dans la Blockchain (à travers l’appli eToro) et à y devenir trader pour que, par sécurité et bénéfice matériels, nous n’ayons plus à nous soucier de ce que nous allons acheter ou vendre. Quand je vous disais que la Blockchain était la « Marque de la Bête » dont nous parle l’Apocalypse de saint Jean, sans laquelle nous ne pourrons – si nous nous y soumettons – « plus rien acheter ni vendre » car elle se chargera de tout cela à notre place…
 

« À tous, petits et grands, riches et pauvres, hommes libres et esclaves, l’image de la Bête fait mettre une marque sur la main droite ou sur le front, afin que personne ne puisse acheter ou vendre, s’il ne porte cette marque-là. » (Ap 13, 16-17)

Les données personnelles, le nouvel « or noir » de la Matrice antéchristique et du Marché mondial


 

La puce est en marche et concrétise le marché mondial des informations, autrement dit l’Empire des données personnelles. Comme l’ont très bien décrit Marc Dugain et Christophe Labbé dans (2016)*, les infos personnelles composent le nouvel « or noir » du capitalisme planétaire, la nouvelle matrice du pouvoir mondial, le nouvel argent à mettre en banque (la banque étant invisibilisée sous forme de Cloud) en échange d’un salaire (autrement dit du « revenu universel »), d’un silence et d’une sécurité factice. Factice parce que chaque individu va avoir l’illusion d’une indépendance, d’une confidentialité et d’une sécurité (grâce à un code, la marque de la Bête, inscrite à la main ou au front : en effet, la collecte mondiale des infos est un communisme et un nazisme cachés, puisque « les statistiques officielles sont ouvertes par défaut » : Nos données ne partiront pas n’importe où ni n’importe comment), et va vivre sous le chantage de l’Arbre de la Connaissance qu’est la Blockchain, cet Arbre que chaque être humain aura l’impression de s’être construit lui-même avec les données qu’il lui aura fournies, cet Arbre-internet qui va nous dire « Je t’aime parce que je te connais par cœur, je te détecte, je te vois 24h/24, je te scrute même de l’intérieur, je te protège », cet Arbre qui est une prison narcissique dorée parce qu’elle est personnalisée selon la couleur de nos sensations, de nos opinions, de notre ADN et de notre passé (à l’image de Facebook), cet Arbre de la Connaissance qui est l’Anti-Croix-du-Christ puisqu’Il nous fait un chantage à l’information (S’Il veut nous manipuler et nous dissuader de nous rebeller, Il n’a plus qu’à divulguer l’historique Internet complet de nos recherches de sites porno, les films de nos sex-tapes, notre casier judiciaire, les enregistrements de nos mauvais souvenirs et nos mauvaises paroles, notre bilan biométrique de santé, le relevé de toutes nos erreurs et nos complexes, etc.). L’inverse du pardon.
 

 

La donnée personnelle (et donc le corps et l’âme de chacun d’entre nous) est en train d’être volé par la Bête. Pour info (sans mauvais jeu de mots), vous retrouverez exactement ce que j’ai écrit sur les X, V, W, et sur le Cube, Rond, Triangle, dans cette brochure de l’ONU pour la collecte sécuritaire des données. Et déjà, ces symboles (Cube, Sphère, Carré) sont associés à la lévitation et au spirituel, comme le montre ce clip de Jura Chulkov (belle représentation de la prison bobo antéchristique et technologique, aseptisée et toute de blanc vêtue).
 
 
 

* « Dans un univers digitalisé et automatisé où le travail se raréfie, l’arrivée des robots humanoïdes va précipiter le ‘chômage technologique’ mondial jusqu’à l’étape ultime du chômage total ! […] Une mutation que les big data ont déjà anticipée en imaginant un ‘revenu universel’ pour les sans-emplois. L’idée, en apparence généreuse et humaniste, est ardemment défendue par les libertariens, ce courant ultra-libéral largement sponsorisé par les big data. En versant une rente à vie aux inactifs devenus majoritaires (80% de la main d’œuvre mondiale), on étouffe le sentiment d’injustice, ferment de révolte, et on tourne la page du salariat, avec ses contraintes réglementaires. […]Les maîtres du big data ont donc imaginé cette astuce du ‘revenu de liberté’, tel qu’ils l’ont baptisé. Pour garantir ce ‘salaire’, l’idée est de payer aux 2,5 milliards d’internautes une partie des traces numériques dont ces derniers se délestent gratuitement. Les esprits sont mûrs. Selon un sondage Havas Media du 30 septembre 2014, 30% des Français sont prêts à vendre leurs données personnelles. Chez les plus jeunes, ils sont 42% à accepter de révéler davantage d’informations sur leur vie en échange de contre-parties financières. […]Une portion des gains de productivité réalisée par l’automatisation sera réinjectée sous forme de baisse des prix, histoire de muscler un peu le pouvoir d’achat des bénéficiaires du revenu universel. Avec, pour boucler la boucle, l’imprimante 3D qui permettra de fabriquer soi-même les produits, après avoir acheté la matière première et le fichier informatique de paramétrage. Le consommateur devient un ‘prosumer’, la contraction en anglais de ‘producteur’ et ‘consommateur’. La valeur des choses ne sera plus dans le salaire, ni dans l’objet, mais dans l’information. Celle stockée dans les immenses coffres-forts numériques des big data. » (Marc Dugain et Christophe Labbé, L’Homme nu, pp. 155-157)
 

N.B. : En lien avec cet article, cette vidéo explique que tout le monde aura de base un salaire du fait « qu’il est né » et comme tout sera automatisé, plus besoin de travailler et donc tout le monde s’adonnera à ses passions ! The Singularity is clear