Une vidéo à voir en intégralité. Vraiment. Car le gars reprend plein de choses que j’ai vues (il parle beaucoup du lien entre le Coronavirus et la micropuce RFID). Donc il faut que vous écoutiez (en ajoutant ce qui manque : l’Espérance chrétienne).
Une vidéo à voir en intégralité. Vraiment. Car le gars reprend plein de choses que j’ai vues (il parle beaucoup du lien entre le Coronavirus et la micropuce RFID). Donc il faut que vous écoutiez (en ajoutant ce qui manque : l’Espérance chrétienne).
C’est incroyable comme en ce moment, la Bête s’excite, et toujours en lien avec l’homosexualité, la puce électronique, la Franc-Maçonnerie mondiale et la Fin des Temps (cf. mon article sur la « Bête-Hétérosexualité » et mon livre Homo-Bobo-Apo). On en trouve un parfait exemple avec le film « Deadpool 2 » (2018) de David Leitch, où l’homosexualité se trouve à tous les carrefours :
Le héros, Wade (« Deadpool »), présenté comme hétérosexuel, tripote pourtant (accidentellement ?) le cul de son ami Colossus, se voit porté un peu plus tard par lui comme une mariée dans ses bras. Leurs rapprochements corporels sont tellement équivoques que même Vanessa, la compagne officielle de Wade, demeurant dans l’Au-delà, lui conseille ironiquement « de ne pas coucher avec Colossus » (« Don’t Fuck Colossus »).
Il n’y a pas que le super-héros principal de ce Marveil Film qui est concerné par une homosexualité latente (cf. le code « Super-héros » de mon Dictionnaire des Codes homosexuels) : on retrouve aussi le personnage de Weasel (le jeune Indien hyper-sensible qui s’identifie à l’actrice Kirsten Dunst : Wade lui caresse d’ailleurs langoureusement les cheveux pendant que Weasel conduit son taxi), le personnage de Cable (d’abord ennemi de Wade, puis qui finalement vire sa cuti et fait carrément sa déclaration à Wade : « Tu me rappelles ma femme. » ; c’est tellement le grand amour entre eux qu’il le traite de « beau gosse »), le personnage de Negasonic Teenage Warhead (la baby Butch garçon manqué, officiellement en « couple » avec une autre super-héroïne, sa copine asiatique Yukio : Wade renchérit en les félicitant toutes les deux « Vous formez un très joli couple »). En clair, on a vraiment l’impression que tout le monde est bisexuel dans ce film pourtant ouvertement hétérosexuel et destiné à un public beauf hétéro.
Les références homosexuelles prédominent dans les dialogues : par exemple, Wade se fait le chantre de toutes les transgressions qui heurtent la morale, à commencer par la transgression de la différence des sexes (il déclare à plusieurs reprises que « Les règles sont là pour qu’on les viole ») ; à un autre moment, il se targue de « maîtriser les câlins » ; enfin, il mentionne le site de rencontres homosexuelles Grindr comme corollaire à Tinder, deux applis que Cable consulterait.
Concernant cette fois l’équipe du film, les scénaristes – en particulier Rhett Reese – ne brillent pas par leur masculinité. C’est plutôt voix haut perchée et gestuelle très maniérée. Je ne me lancerai pas dans des spéculations hasardeuses. Mais je n’en pense pas moins. Ils avouent eux-mêmes leurs sympathies LGBT et qu’ils ont tenu à inclure dans « Deadpool 2 » des clins d’oeil ouvertement gays.
La thématique homosexuelle n’est bien sûr pas traitée, mais juste affichée et diluée dans un panel de diversités appelé « altruisme » (le mot apparaît) ou « variétés ». Comme dans le film Ready Player One de Steven Spielberg, « Deadpool 2 » nous offre des séquences Nostalgie saupoudrées de références gays-kitsch des années 1980, comme A-ha. Et il est fascinant de voir encore une fois l’homosexualité associée à la fois à la puce électronique (il est question des X – le gang carnavalesque de Wade s’appelle « X-Force » -, des cubes – « Moi Tupac, toi le Cube » déclare Russell à Juggernaut, des énergies cosmiques – Domino suit ses « étoiles cosmiques » -, etc.), à la fois à l’Apocalypse (il est question de la Bête ; Cable dit qu’il voit « Le monde se chier dessus avant l’Apocalypse » ; quant au directeur du pensionnant de Russell, il joue les prophètes de malheur juste avant d’être écrasé par le taxi de Weasel : « L’heure du jugement est arrivée ! »).
La Fin des Temps et l’arrivée de Jésus sont vraiment imminentes. Beaucoup de films actuels l’annoncent à leur insu.
Quand je vous disais que regarder Joséphine Ange gardien servait à quelque chose, et donnait exactement raison à la Bible et à ma description de la puce électronique comme la marque de la Bête de l’Apocalypse… Là, je suis en train de regarder l’épisode 49 « Joséphine fait de la Résistance » (2009), et au moment où Jacques Duval, le facteur, donne à Joséphine Ange gardien (téléportée en 1942 sous l’Occupation) les micros à placer secrètement dans les bureaux des généraux de la Kommandantur (des micros-puces électroniques en forme de pastilles), il lui sort : « Et voici la Bête ! Micro-fabrication anglaise. »
Heureusement que la rédaction de mon livre touche à sa fin. Car il arrive à point nommé.
Par exemple, la puce électro subcutanée débarque déjà en Suède. Pour monter dans certains trains suédois sans billet, les passagers « Premium » n’ont plus qu’à se faire scanner la main… La puce électronique fonctionne avec la technologie NFC. Née en 1994, la NFC permet de communiquer sans-fil et d’échanger des informations sur une courte distance. NFC signifie Near Field Communication (Communication en champ proche). C’est une technologie intégrée dans certains modèles de Smartphone ou sur des cartes de crédit. Elle nous transforme en magiciens.
Par ailleurs, l’Afrique est en train de devenir « Terre de drones », à cause de sa superficie, du terrorisme de Boko-Aram, mais également de son désir d’émancipation.
Enfin, toujours concernant la puce RFID, les implants cérébraux pour éradiquer les déficiences cérébrales (AVC, dépression, fatigue, Parkinson, etc.) mais aussi décupler les capacités cognitives du cerveau, sont promus par Bryan Johnson au salon VIVA TECH de Paris cette année. Il nous dit que ce « progrès » est inéluctable.
Pendant la légitime vague d’émotion suscitée par l’attentat de Nice, on peut entrevoir deux conséquences immédiates :
1 – LA DÉMISSION D’HOLLANDE (président pris en « péché de négligence » et d’« inconséquence », parce qu’il a jugé un peu avant l’attentat qu’« il n’était pas nécessaire de prolonger l’état d’urgence »). Cette démission n’arrivera finalement pas ou se diluera dans la préparation des présidentielles de 2017. Mais symboliquement et intentionnellement, avec l’attentat de Nice, c’est comme si elle avait lieu (les vautours politiciens qui veulent profiter du crime débarquent déjà…). Et elle est au moins dans tous les esprits.
2 – LA COLONISATION NUMÉRIQUE, autrement dit l’imposition mondiale de la puce et du marché connecté (derrière l’alibi-bidon de la « sécurité » et de l’« unité » : bidon parce que la sécurité était assurée à Nice, et que la véritable unité ne peut se faire qu’autour de Jésus, et non autour de concepts oiseux tels que « esprit », « union », « nation », « terrorisme », « guerre », « faire bloc », « espoir », ou même « prière ».). J’en tiens pour preuve tout le vocabulaire mercantile et techniciste de la MACHINE qu’on nous sert à longueur de temps : « cellule activée », « section antiterroriste », « plan Vigipirate », « Niveau de vigilance élevée », « volume », « déclenchement du plan blanc », « dispositif », « mesures préventives », « réserves opérationnelles », les cubes ou bloc, etc.). Hier, au moment de la bousculade à l’École Militaire, face aux feux d’artifice de la Tour Eiffel, les gendarmes sur les camions, armés jusqu’aux dents, scandaient précisément dans les haut-parleurs le mot « dispositif » (« Ceux qui veulent sortir du dispositif le peuvent » ; « La zone est sous contrôle ») comme si la foule n’était plus qu’un quadrillage technologique composé de robots à maîtriser, une machine défectueuse à reconnecter. Les bodyguards zyeutent comme des automates. Par ailleurs, le seul moyen de désengorger les prisons françaises qui sont plus que pleines aujourd’hui, tout en assurant le contrôle de tous, c’est le bracelet électronique et un semblant d’auto-surveillance donnant l’illusion de liberté (cf. l’auteur tunisien de l’attaque de Nice était déjà connu de la police…). L’alibi sécuritaire appellerait de lui-même l’investissement/la colonisation numérique.