Je crois que le désir homosexuel, étant particulièrement pulsionnel, sied naturellement non pas aux homosexuels (espèce qui n’existe pas) mais aux hommes et à la nature masculine, davantage titillés par les pulsions que les femmes. D’où ma conclusion : l’homosexualité est une étape masculine absolument pas bizarre, pas exceptionnelle, pas révélatrice d’une identité homo éternelle, fondamentale, durable et isolée.