Comme je l’écrivais récemment, le Gouvernement Mondial de l’Antéchrist se sert du pouvoir émotionnel (et bien logique humainement parlant) du HANDICAP pour asseoir son hégémonie technologiste et imposer à toute l’Humanité le primat de la CAPACITÉ personnelle, du POUVOIR individuel, de l’optimisme performatif et combatif révolutionnaire, du SAVOIR-FAIRE. #JustDoIt #YouCanDoIt #Mélaniepeutlefaire.
Et personne ne dénonce cette instrumentalisation des personnes handicapées (mises à l’honneur par les maîtres du « Monde des X« , et vivant leur « quart d’heure de gloire télévisuelle » warholien), personne ne dénonce cet honteux marché de la vulnérabilité (car celle-ci est réelle et ressemble à une leçon de vie et d’espoir pour tous). Même la plupart des catholiques sacralisent la vulnérabilité en elle-même. On n’est pas dans la merde… Notre monde devient fou.
(Pour comprendre mieux cette page, je vous renvoie à mon article initial sur le langage du diable et les symboles de la Bête.)
Malgré le peu de sympathie que j’ai pour Trump et sa politique (mais la peste ne justifie pas pour autant le choléra), je peux voir combien les pères-la-morale de la bienpensance mondiale antéchristique viennent d’être admirablement représentés par leur ambassadrice Meryl Streep lors de la cérémonie des Golden Globes hier (les Golden Globes, ce sont les Oscars d’Hollywood mais version bobo, le festival « off » et pseudo anarchiste et rebelle… alors qu’ils sont tout autant les mouton du Gouvernement Mondial). La preuve en est avec la robe portée par l’actrice, représentant la Bête. Les bobos n’y voient que du feu. Mais ça crève pourtant les yeux (le X, le V, les yeux, la Nouvelle Religion Naturelle avec les fleurs et la végétation stylisée et brillante, etc.).
Pour continuer dans la série des X et des W en forme de visage de Bête, le nouveau film blockbuster de science-fiction « Passengers » nous offre également une belle Bête stylisé : cf. l’affiche ou la forme du vaisseau.
Regardez : on lui voit même les oreilles, à la Bête !
Par ailleurs, je retiens votre attention sur l’idéogramme que j’ai vu récemment sur la photo d’une connaissance homosexuelle habillée avec un déguisement en lycra dans une boîte de nuit.
Et je termine enfin par cette publicité de la voiture Citroën C3, qui, idem, regorge de symboles maçonniques et antéchristiques (la technologie qui dit « Je t’aime »).
N.B. : Fait exceptionnel et alarmant (seule l’Italie en a parlé) : le sang de san Gennero ne s’est pas liquéfié cette année. 2017 : Va y avoir du sport…
« Chez le bobo, tout est rituel, rien n’est sacré » (Marie Pinsard)
Ma bonne résolution pour l’année 2017, c’est que mon père se désabonne de la revue La Vie (J’y arriverai !). Le pire, c’est qu’il m’avoue ne jamais la lire ! Il y est abonné et donne des sous à ce torchon sans même chercher à s’en libérer.
Notamment pour le n°3720 de La Vie de la semaine du 15 au 21 décembre 2016, j’ai été sidéré de voir le niveau analytique bébé de cette revue. Je ne m’attarderai pas sur les pages moralisantes qui chantent les louanges de la « solidarité » et de la « charité en action », en gommant toute intériorité ou sens ou Christ dans ces « actions ». C’est bien le propre du catholicisme bobo gauchiste défendu par le directeur de La Vie, Jean-Pierre Denis, que de redire des évidences sans risquer l’impopularité. Je me contenterai simplement de souligner la naïveté, l’aveuglement, l’incompétence, la soumission, de beaucoup de nos intellectuels et journalistes « catholiques » actuels, reflétés par le dossier de La Vie consacré à (attention… les cerveaux vont fumer de suractivité…) « la morale cachée de Disney ».
En arrivant pour Noël chez mon papa, et en voyant ce titre de couverture sur la table du salon, je me suis dit : « Ce journal brille tellement par sa nullité et par sa collaboration au Système Mondialiste qu’il ne va même pas avoir le courage de dénoncer que la firme Walt Disney est une antenne de la Franc-Maçonnerieantéchristique. » Pas loupé ! Les journalistes de La Vie sont si peu catholiques qu’ils n’ont rien vu. Ils se contentent de singer le décryptage analytique (en parlant de « codes », pour faire du Ariño… mais en raté). Et au lieu de décrypter, c’est-à-dire de donner du sens, à la lumière des Évangiles, au lieu de regarder concrètement les messages diffusés, ils restent à la surface de l’univers de Walt Disney, en parlant de la perception extérieure qu’en auraient les autres, ou en partant de paradigmes moralisants datant de mai 68.
Croyez le fan de Walt Disney que j’ai été de mes zéro à dix-huit ans : tout l’univers des créations cinématographiques disneyennes visent à crier la toute-puissance du rêve individualiste sur le Réel et sur le Christ. Tout récemment, en revoyant à la télé « l’église » disneylandisée/protestantisée du film « La Reine des Neiges » (vidée de crucifix, de Jésus, de Vierge, de sacrements, de Jésus) diffusée pour Noël sur M6, je l’ai à nouveau constaté. La fantasmagorie de Disney est antéchristique, cathophobe. Elle célèbre « l’imaginaire » (l’autre nom du mal et du diable), asexualise l’être humain et ses relations, transforme ce dernier en animal et en ange.
Évidemment, La Vie ne dit rien de tout cela : ses critiques parlent de l’imaginaire comme de l’imagination (parce qu’ils confondent les deux termes et n’ont pas identifié la différence), paraphrasent les intentions des films Disney (« garder une âme d’enfant » ; « Jiminy Cricket, la morale incarnée » ; « Pouvoir rêver sa vie et la réaliser, accomplir ce pour quoi on existe, est le schéma directeur des films Disney. » ; « Des héros de notre temps : Disney brise des tabous. » ; « Les films de Disney représentent le rêve américain. » ; etc.), font une analyse manichéenne et pseudo sociologique-symboliste du monde (« Disney est-il puritaniste, conservateur, aseptisé, trop naïf, bourgeois, caricatural, libertaire, émancipateur, engagé, actuel ? »), se risquent à un semblant de dénonciation (« Walt Disney passe les contes populaires à la moulinette. »). Analyses au ras des pâquerettes. À pleurer. Le mal (la sacralisation mondiale de « l’indépendance », de « l’imaginaire », du « rêve individuel », de la « volonté » personnelle, de la « désobéissance » : marotte des bobos francs-maçons) n’est pas dénoncé car il n’est pas vu. Au lieu de ça, La Vie fait dans le folklore (ils parlent du « Carnaval des méchants », par exemple), la carte postale nostalgique (Nous vous racontons l’histoire des studios Disney), la psychologie de bazar à la François-Xavier Bellamy (« Disney est une projection de nos attentes morales » ; « Disney, symbole de la transmission entre les générations » ; etc.), l’érudition adolescente (les « indices d’intertextualité » comme diraient les mauvais analystes de l’Éducation Nazionale : La Vie cite Hamlet, les influences « cachées » telles que Groucho Marx et Schwartzenegger, et fait même de vaseux parallèles « exégétiques » avec la Bible : la grosse pitié) et dans la collaboration à l’esprit du monde. Pathétique. Ils n’ont pas compris ce qu’étaient les codes et ce qui est caché (= Jésus). Rendez-vous compte de l’état lamentable dans lequel se trouve le journalisme « catholique » français actuel…
Le drame de nombreux catholiques en ce moment, c’est le cléricalisme, l’entrisme, le clientélisme, le nominalisme (phraséologie sage et apparemment « vraie », mais qui enchaîne les métavérités telles que je les décris dans mon dernier livre Homosexualité, la priorité niée) et finalement le boboïsme. C’est aussi le remplacement de la réalité de la Charité par la technologie (je pense à l’application Entourage, terrible éloignement bobo des catholiques ; je pense également à ces bougies virtuelles qui évitent de se déplacer dans les églises : cf. le code « Bougies » de mon livre Les Bobos en Vérité). C’est un drame car, comme nous a prévenus le Pape François, « La route que Jésus a voulue pour son Église est la route des difficultés, la route de la croix, la route des persécutions et non pas celle d’une entreprise humaine, où l’on signe des accords pour s’agrandir. » (cf. l’homélie du dimanche 21 avril 2013 à la chapelle de la Maison Sainte-Marthe)
Le « meilleur » exemple de ce lamentable entrisme sous couvert d’« Unité et de Charité », ce sont les posts épate-bourgeois (bourgeoisie bobo) et mondains de Koz Toujours (Erwann le Morhedec) : en ce moment, ce dernier s’extasie devant les quelques œuvres « cathos » de l’art contemporain qu’il conspue en temps normal (exemple : la crèche de la Madeleine de Samuel Yal), il est resté bloqué politiquement sur une idéalisation du gaullisme (c’est pour cela qu’il défend bon gré mal gré Fillon, dernier héritier spirituel de son De Gaulle chéri), il dénonce mollement la grâce présidentielle de Jacqueline Sauvage (alors qu’elle est carrément un scandale), il dénonce aussi mollement les attaques du FN contre l’Église (alors qu’elles sont un véritable scandale). Bref, il n’a pas lu le chapitre 38 de mon livre sur les Bobos… parce qu’en réalité, ses actes et discours en sont la parfaite incarnation.
En général, la manière tiède des cathos bobos (et des prêtres frileux) de dire leur désaccord ou de s’opposer, c’est de se montrer « dubitatifs » (tout comme leur manière molle de dire leur accord ou de « soutenir », c’est d’énoncer que quelque chose est « intéressant »).
Toute aussi sidérante est la langue de bois catholiquement correcte d’un Tugdual Derville. On se croirait revenus au temps du caté soixante-huitard où on nous faisait recracher les formules qui font bien (sur la fragilité, l’Espérance, la Rencontre, la bienveillance, le Bien commun, blabla), qui disent le bien, mais qui ne nomment pas le mal ni Jésus. Les porte-parole des catholiques en France aujourd’hui sont soit des brutes, soit des bébés.
En parlant bobos, je vous renvoie précisément à mon analyse du dernier film d’Omar Sy (qui a nourri certains codes de mon Dictionnaire des Codes homosexuels) « Demain tout commence » pour comprendre l’invasion du boboïsme antéchristique en France.
Pour continuer sur la progression de la Blockchain et de la phraséologie de l’humanisme intégral de la Nouvelle Religion Naturelle antéchristique, je constate que de plus en plus de chaînes d’entreprises « bios » profanes reprennent des expressions de la Bible à leur compte pour La désacraliser et La déchristianiser. En passant hier près de Bordeaux, par exemple, j’ai vu des magasins de jardinage rebaptisés « L’Eau vive ». C’est toute la ruse de l’Antéchrist que de singer/citer la Bible en enlevant le Christ et Sa Croix (cf. j’ai découvert tout récemment que le mot anglais « pain », qui signifie « douleur » se prononce en français comme l’Eucharistie : et ce jeu de mots est très signifiant pour comprendre le lien entre le Pain et la Croix).
Concernant également la puce électro, toujours hier, à Pau, j’ai déjeuné avec un père blanc, prêtre français missionnaire au Burkina-Faso pendant une trentaine d’années. Je lui ai demandé s’il avait vu des changements dans ce pays africain. Il m’a dit, sans dénoncer le phénomène ni le voir comme un danger, que la révolution spectaculaire qu’a connue dernièrement le Burkina, c’est le téléphone portable. Maintenant, quasiment tous les pauvres en ont un.
Autre nouvelle du Journal de l’Antéchrist : l’épidémie d’un nouveau virus appelé comme par hasard « W » (cf. je vous renvoie à mon article « Le Langage du diable », sur les W, V et les cubes). On ne sait pas quel est ce virus, ni ce que contient le vaccin pour lutter contre ce dernier. Mais je ne fais que souligner cette coïncidence non-hasardeuse avec le W. Et un peu plus tard que ce matin, je me faisais la réflexion que la quasi totalité des lettres que j’attribue à l’Antéchrist (V, W, X, Y et Z) composent la fin de l’alphabet, autrement dit indiquent la fin des temps.
Concernant le cube (dont je parle très régulièrement en tant que rationalité divine), on le voit de plus en plus sur nos écrans : regardez cette publicité, ainsi que celle-ci, du café Carte Noire. Le Cube est au centre du Royaume du Plaisir des Sens.
Enfin, pour terminer sur une bonne nouvelle (quand même !), mon grand frère dominicain Miguel (frère Louis-Marie Ariño-Durand) est en pleine rédaction de son prochain livre aux éditions du Cerf : un ouvrage sur les secrets de Fatima, à l’occasion du centenaire des apparitions de Fatima en 1917. Et de tout ce qu’il a publié (après Marie m’a bien aimé et Rosaire un jour rosaire toujours), c’est à mon avis son premier livre risqué et, je crois, évangélique. Je m’avance peut-être pour dire que c’est déjà une bombe, mais tant pis. Et je m’en réjouis.
N.B. : Voir d’autres éditions du Journal de l’Antéchrist : celle-ci ou celle-là.
N.B. 2 : Une raison supplémentaire pour vous demander de lire mon livre Homosexualité, la Priorité niée que je viens de mettre en libre accès ici : cette caricature de Trump et Poutine par Willem, illustrant ce que je dis sur la primauté médiatique et politique de l’homosexualité dans notre monde d’aujourd’hui, pour sacraliser ou diaboliser quelqu’un.
Vous vous intéressez à notre époque, à l’héraldique et aux emblèmes codés qu’utilise l’Antéchrist (et ses agents maçons du Gouvernement Mondial) pour s’imposer dans les esprits des êtres humains du monde entier ? Alors cet article, qui est l’un des plus importants que j’aie écrits, est pour vous ! Je vais essayer de vous expliquer en quoi le diable essaie de s’approprier l’écriture et le langage pour ensuite posséder la matière et (en vain) les âmes humaines et le Christ.
Ma démonstration se découpera donc en 3 parties parallèles :
– Les LETTRES du diable (alphabet, écriture et langage) : Du V en passant par le M et le W jusqu’au X ou au Z.
– Les FIGURES du diable (géométrie, volume et architecture) : Du Triangle en passant par le Rond et le Carré jusqu’au Losange ou au Trapèze ; ou bien de la Pyramide en passant par le Cube et la Sphère jusqu’au Sablier ou à la Quenouille
– Les PERSONNES du diable (démonologie) : De Jésus en passant par Marie jusqu’à l’Antéchrist et Satan. Autrement dit, le diable par les lettres, par les figures et par les personnes terrestres et célestes.
Ne vous en faites pas. Mon exposé ne sera pas très long à lire ni très compliqué à comprendre, car il n’y a pas beaucoup de textes, et il ne comporte quasiment que des images à regarder.
Mais une fois que vous aurez compris le truc, vous finirez par ne voir que ça… et pas partout, en plus ! Alors bonne plongée vers la Fin des temps !
I – Les LETTRES du diable (écriture et langage) : Du V en passant par le M et le W jusqu’au X ou au Z
Tout ce qui est oblique, en biais, en diagonale, non droit, c’est ce qui fait obstacle, ce qui se met en travers du chemin de Jésus, ce qui divise. C’est bien la particularité du diable. On retrouve cela avec certaines lettres de l’alphabet (W, V, M, X, et un peu A, N, Z, K, Y) très communément employées par le Gouvernement Mondial et l’Antéchrist.
Le V (il est très proche du A et du Y) est souvent synonyme d’ouverture, de victoire, de validation, de voyage aérien (l’oiseau), et aussi d’autocensure, de manque de confiance en soi (regardez les ados qui font leur « V » de la victoire avec les doigts pour se donner une contenance et se cacher).
Le W (il est très proche du M et du N) est synonyme de construction, de travail (Work en anglais), de progrès, d’internet (Word Wild Web), de superpouvoir (Wonder Woman), de guerre (War en anglais), et se fond souvent dans le V (étant un double V s’encastrant en lui).
Par ailleurs, V et X se rapportent en général aux extraterrestres et à l’inframonde/supramonde. D’ailleurs la série télé V et la série X-Files en fournissent de parfaits exemples).
Le M est souvent synonyme du diable (Pensons à Méphisto et aux chansons de Mylène Farmer, de Madonna). Il tente de violer le M de Marie tout en l’imitant.
Le X (il est très proche du Z, du K, et V) est synonyme d’orgasme (le marché du porno), d’inversion (symétrie axiale), de sablier réversible, d’immortalité, de suppression (la croix de refus), de modernité. Il parodie le Christ – parfois symbolisé aussi par le X – mais en devenant une anti-croix (antéchristique, du coup) : le X est une Croix du Christ subtilement retournée.
Enfin, dans les Google Doodle maçonniques, j’aimerais retenir votre attention sur l’importance de l’écriture et du scribe. Car selon la pensée nominaliste de l’Antéchrist, c’est l’écrivain qui crée le monde et le modifie par l’écriture, les lettres et les mots. Et notamment les quatre lettres dont je viens de souligner la place prépondérante.
Présent au Salon ViVa Technology de Paris en juillet 2016, à la plus grande gloire du V (Aie confiance…)
Premier nom d’Internet
Plus une personne ou une chose est limitée, plus on lui attribue la toute-puissance du W
Le W est évidemment mondialiste
Et quand les lettres font des mariages hybrides, ça donne ça :
World Omnivore Tour (Regardez le « M » du dessus : on en reparle au 3e chapitre…)
II – Les FIGURES du diable (géométrie, volume et architecture) : Du Triangle en passant par le Rond et le Carré jusqu’au Losange ou au trapèze ; ou bien de la Pyramide en passant par le Cube et la Sphère jusqu’au Sablier ou à la Quenouille
Si je me suis permis de parler longuement de toutes ces lettres – et surtout du W, M, X, V – c’est qu’elles ont sans exception comme dénominateur commun le TRIANGLE. Le diable cherche à conquérir la Nature et la matière pour se donner une contenance et un pouvoir.
Dans le premier chapitre, nous avons étudié le triangle du point de vue alphabétique/scriptural. Le point de vue hiéroglyphique/symbolique/pictural/pluridimensionnel/en 3D, c’est maintenant ! Nous allons parler construction, architecture. Les lettres prennent « magiquement » du volume et de la « vie » !
Il y a bien sûr un lien entre toutes ces figures géométriques et les outils des francs-maçons : équerres, compas, quenouilles, plans de construction des architectes-ingénieurs, etc.
Globalement, le triangle est figure de progrès et également de monisme : dans la pensée antéchristique, l’Humain se prend pour la base du sommet de sa transcendance et pour le point de départ et d’arrivée d’un grand Tout énergétique cosmique dont il serait l’une des émanations (monade). Le triangle renvoie à la pyramide, en particulier égyptienne (cf. le noachisme et la panmythologie), sorte d’assemblement de pierres philosophales qui serait dans son ensemble l’Homme divinisé lui-même. Tout comme le cube d’ailleurs, très à la mode en ce moment, notamment le Rubik Cube, présenté comme un condensé d’humanité divine, mais sans Jésus et sans le passage par la Croix d’Amour (renoncement à soi-même). L’Antéchrist essaie de faire croire à l’être humain que ce dernier pourrait se construire, avec son aide et l’entremise de ses légions d’anges extraterrestres humanoïdes, comme une pyramide ou un totem ou cube, et qu’il aurait en lui-même le secret de sa fondation et de son immortalité. Une fois qu’il arrive au sommet de son intériorité, à la source de son désir (le trou du sablier), l’Homme pourrait ensuite diluer son Moi dans le grand Tout cosmique d’où il identifierait son origine, comme dans un sablier qui se renverserait éternellement. Il ne vous échappera pas que la figure architecturale du sablier (deux pyramides qui s’opposent par le sommet, ou encore un X devenu bâtiment-armature) renvoie au mythe icarien/prométhéen/sisyphien/luciférien de l’éternel recommencement, de la réincarnation, bref, de la damnation et de l’esclavage perpétuels.
Tour Triangle à Paris
Tour Part-Dieu à Lyon
Le Triangle comme symbole de danger (radioactif)
Le triangle comme signe de lecture, de progrès
Progrès optimiste
La chanteuse nord-américaine Beyoncé
Le Complexe Carré de Soie à Boboland (Lyon)
La X-Box One Scorpio
Photo prise le 14 décembre 2016 en Suisse, près de la Cathédrale
Cube Apple
Cube Häagen-Daz « Style Inside » à la Gare Saint-Lazare à Paris
La Pyramide cubique : non, je ne rêve pas
Cube Windows 10 à Pompidou (Paris)
Google Doodle
British Got Talents 2016 (Voir mon article sur le cube)
Le Cube vu comme un humain divin par lui-même et sa rationalité
Le Cube comme émanation d’une humanité cosmique, d’une réalité augmentée
Jaillissement d’une énergie
Et quand les figures géométriques font des mariages hybrides, ça donne ça (et parfois des sabliers et des losanges pyramidaux) :
Google Doodle
Le film « Le Vent se lève » de Miyazaki (cf. mon article sur la quenouille maçonnique)
« Veux-tu un monde avec pyramide, ou sans pyramide: moi j’ai choisi un monde avec des pyramides, même si je n’oublie pas qu’elle sont issues de la souffrance » dit le personnage de Caproni se rêvant debout sur les ailes d’un avion de la Seconde Guerre Mondiale, dans le film d’animation « Le Vent se lève »
(Regardez bien la déformation stylisée du « R »)
C’est la fête du losange pyramidal !
Pièce de théâtre sur l’homosexualité et l’asexualité conjointes
Symboles maçonniques (l’équerre et le compas correspondant au cube et au cercle)
Temple de la Rose-Croix, Loge maçonnique
Le Quartier des Affaires à Lyon (Part-Dieu), top bobo et donc franc-maçon !
Institut du Monde arabe à Paris
Satellite
Installation lumineuse et musicale O X à la Gaite Lyrique
III – Les PERSONNES du diable (démonologie) : De Jésus en passant par Marie jusqu’à l’Antéchrist et Satan. Autrement dit, le diable par les lettres, par les figures et par les personnes terrestres et célestes
Vous aurez peut-être remarqué à travers les deux chapitres précédents que Satan utilise la Bible, la Croix du Christ, et les figures parfois attribuées à Jésus (le X, le losange), à l’Esprit Saint (le W), à la Vierge (le M, la sphère) et à la Trinité (le V, le Père, le Fils et l’Esprit avec le triangle) pour les inverser, les distordre, les détourner et se faire passer pour eux. Donc raison de plus pour ne pas diaboliser ces lettres ni crier au diable ou à l’Antéchrist dès qu’on voit une pyramide, un V ou un X ! Mon relevé n’est là que pour apporter de la confiance et de la conscience christique et mariale : pas pour nous inquiéter ni nous crisper encore davantage. Oui, c’est vrai, Satan va s’approcher de notre Roi (Jésus) et de notre Reine (Marie) pour les violer/singer par les mots, la matière, les esprits et les personnes. Il va les transpercer de 7 glaives. Et ça nous transpercera un peu aussi. Mais il a déjà perdu. Et même s’il avance masqué, son orgueil est sa signature visible. Donc il se trahit lui-même à son insu, y compris symboliquement (avec le 666 et les lettres/figures géométriques dont j’ai parlées, je crois). Alors confiance et en avant vers la victoire de Jésus en nous (qui ressemble à une défaite d’un point de vue humain et mondain) !
C’est l’Instant X…
Le diable en toutes lettres :
Série V (sur les OVNI)
devil fire font – letter W
(Regardez la croix christique inversée sous le S)
Plateau de Nazca
Publicité SONY Xperia
Série X-Files sur les extraterrestres
Saga X-Men, des êtres antéchristiques
Le diable en toute géométrie :
Publicité Adopte un mec
Film « Black Swan »
La Passerelle enchantée de Daniel Hourdé, sur le Pont des Arts en 2016
Google Doodle
Jeu en lien avec le Triangle des Bermudes
Le Voleur satanique (Drone)
Le diable travestissant Jésus et la Vierge, reprenant ses symboles :
Le soir, la Tombée du jour (1869) de William Rimmer
Représentation de Dieu, le « Grand Architecte » soi-disant satanique, par les Francs-Maçons
Lucifer prométhéen vu au Louvre à Paris
Archange Saint Michel (en forme de V) à l’église éponyme à Paris (17e)
Tableau Tentation du Christ (1854) d’Ary Scheffer (Le 4 contre le W)
Symboles de la Rose-Croix (Franc-Maçonnerie)
Novak Djokovic et sa religion de l’Amour…
Croix du Christ travestie en X. C’est l’affiche du prochain « Projet Blairwitch »
La Toute-puissance de la Rationalité vantée par les lucifériens