La bande-annonce jamesbondienne de DALS (Danse Avec Les Stars) de cette année est truffée de symboles maçonniques : Paris (une des places fortes de France et surtout de la Franc-Maçonnerie mondialiste), thème de la Quête du Graal (le trophée exposé comme une pierre précieuse philosophale à dérober), carriéristes-espions, Tour Eiffel et triangles (Pyramide du Louvre), égyptologie et Renaissance, données et informations (omniprésence médiatique), course contre la montre (horloge), lampadaires-chandeliers (dans l’hôtel), chaînes d’Union égrégoriques de danseurs dénudés (hypermusclés et en même temps androgénéisés) « à la Lady Gaga » ou « à la Sia », énormément de doubles colonnes, ordre par le chaos (Ordo ab chaos), beaucoup de sphères et de cercles (notamment le cercle final d’initiés-concurrents), 666 (Marque de la Bête) apparaissant dans la malle de Wejdène et provoquant la puce digitale d’Aurélie Pons (qui porte à l’intérieur de sa capuche le Pavé Mosaïque…) ou bien le 666 encore dans la salle où est exposé le trophée de DALS (avec, comme par hasard, six danseurs…), plafond du Château de Chantilly avec la peinture de L’Enlèvement de Psyché (1885) de Paul Baudry (reprenant le thème du viol de la vierge, cher aux loges maçonniques), de nouveau le Pavé Mosaïque 666isé (avec les écrans de surveillance), le casque-cérébral (avec triples triangles) de Lââm, rayons laser rouges, lumières (lampes-torches et faisceaux), ponts, féminin sacré, œil, pince de construction et de mécanicien de construction serrée par Dita Von Teese, drones, transidentité toute-puissante (avec Bilal Hassani bestialisé, et en Moïse-Créateur qui sépare les eaux par télékinésie), ouverture de la porte, final avec le cercle de stars initiées-apprenties.
Comme nos contemporains, aveuglés par le matérialisme, la peur, et leur manque de Foi, se désintéressent de la Franc-Maçonnerie qui pourtant les gouverne, je suis bien obligé de faire ce travail de décryptage.